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 [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora

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Røgette
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MessageSujet: [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora   [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora EmptyLun 24 Jan - 15:54

Brasilia était toujours ensoleillée quand Laora retapait les murs de la salle de bain marocaine du Manoir des Duracelle, et bien que la journée se déclinait en éclats d’étoiles, faisant tomber la nuit bienveillante, la jeune maman n’arrivait pas à démordre des travaux ménagers.
Après le vinaigre, les cristaux de soudes, les couches de peintures et le ponçage des murs, maintenant elle était en train de traiter la peinture avec un produit anti-mycoses.
L’infatigable Laora s’arrêta uniquement quand elle entendit une sorte de grognement au niveau de son ventre, autant dire qu’en temps normal elle aurait juste insulté son estomac pour terminer ses travaux.
Mais maintenant qu’ils étaient deux à partager son corps, autant dire qu’elle évitait les grosses folies . Et puis, en se relevant, elle passait son avant-bras sur son front en soupirant de fatigue : Elle avait tout terminé concernant la salle de bain, restait le bassin principale, le bain « Turc » aux jets d’eaux à nettoyer… Une prochaine fois.

Refermant les outils en allant se décrasser le visage et le reste, elle récupéra ses affaires de nuit pour retrouver la cuisine, chopper un livre … Se décrocher la mâchoire lors d’un baillement puissant, et feindre de lire une recette intéressante avant d’appeler le Frangipanus d’abord en douceur. En répétition, jusqu’à taper du pied… Pas qu’il était dur de la feuille, mais 42 branlages par jour, ça rend sourds !


Quand il arriva, ce fut tout d’abord l’énorme saut dans les bras, caresses lascives, jeux de regards, puis nez et face cachée dans son torse avant de le resserrer encore plus fort dans ses petits bras de jeune femme même pas musclée.
Bien sur que cela faisait quelques jours qu’ils bossaient dans les abysses mais aussi qu’elle parcourait Dreamland de son coté de manière indépendante pour x ou y raison.
De ce fait, elle avait eut tout le loisir de réfléchir avec indécision à quand comment et où pourrait se passer leur petite nuit de noces. Et C’était justement maintenant qu’elle désirait aborder le sujet.
Entre l’odeur forte du white spirit, de la peinture, mais aussi du chlore, des algues et des savons aux huiles essentiels.
Relevant son petit nez rougie par le bonheur d’aspirer autre chose que les parfums chimiques, bien que lavée jusqu’au derme, elle tendit ses lèvres en ne cachant pas tellement son impatience.
Elle jonglait d’un pied à l’autre et ses mains tremblaient d’excitation.

«  - quand, Ce soir ! Où, royaume du cuir ! Comment ? En jouant au chat et à la souris, je pars en éclaireur de manière à prendre de l’avance et tu me poursuis ! On fera ça dans tous les lieux où tu me surprendras. Ca peut être super sympas avec ton pouvoir et le mien ! Ca me donne déjà énormément d’idées et d’envies… »

Ajoutait-elle en se mordant la lèvre inférieur les prunelles remplies d’étoiles et la peau brûlante d’une passion enflammée.

«  - Je vais prendre ma douche, je te laisse à la cuisine, je tombe de fatigue… On se retrouve là-bas chéri ? »

Demandait-elle en rougissant un peu plus en se retournant vers le lieu d’où elle venait en lui reposant le livre de cuisine dans les mains et les doigts noueux de son mari.
Après quelques minutes et heures à se retirer les odeurs nauséeux, à savourer le plat préparé et à s’être faite accompagnée à la chambre, elle s’engouffra une nuit de plus, dans l’univers magnifique de Dreamland.

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Røgette
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MessageSujet: Re: [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora   [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora EmptyLun 24 Jan - 16:33

Le Royaume du cuir, deuxième où troisième rendez-vous ?
Elle arrivait comme la première fois, debout devant l’énorme champs d’herbe où l’on pouvait entendre le chant salvateur des cris s’élever, mais également des cuirs infatigables, des cliquetis des métaux et des râles d’extases s’ouvrir vers les cieux de ce royaumes du plaisir.
Pour sûr que Dominatrix devait bien s’éclater dans l’observation de certains voyageurs comme elle, qui devaient arriver tels des supers puçaxx et qui repartaient aussi accomplis que Rocco l’étalon !

NyxA la différence de sa première arrivée, elle ne se cacha pas à plat ventre dans l’herbe tendre, et balayait tout devant elle en faisant agir son cerveau et sa mémoire à image – Adrénaline- pour repérer vite et bien, les lieux potentiels de cachettes.
Très rapidement elle observa son costume.
Le même, en cuir, porte jarretelles noires et bottes à talons, la même que lors de sa dernière venu, quand elle était venue travailler en tant que servante pour se cacher des VK.
Mais aujourd’hui ce n’était pas des VK Qu’elle devait se cacher et non pas de la peur qui l’étreignait aux tripes.

Un coups d’oeil circulaire et la voilà canalisant l’adrénaline dans ses jambes et partir telle une gazelle entre les herbes, les arbre sous les coups d’oeil curieux de créatures se donnant à coeur joie dans leurs ouvrages de passion.

Le souffle court, elle se dirigeait à l’intérieur de la demeure du cuir, mais avant toutes choses, une de ses mains se mit devant la porte pour la faire patienter.
Elle attendit que Frangipane soit dans sa ligne de vue.
Une fois certaine qu’il l’avait repéré et qu’il allait être consentant de leur jeu de la nuit… Elle afficha un énorme sourire édenté, toute joyeuse, en éclatant littéralement de rire, main au ventre, avant de faire un premier pas en arrière et de se propulser en avant, tous muscles tendus et iris perçants recherchant la moindres parcelles de cachette.

Elle avisait les tables, les chaises, les rideaux, bouscula une créature, en continuant de courir et de rire, pouffant en se retournant en entonnant un  léger «  excusez-moi » en levant les épaules, elle observa l’entrée avant de lâcher un nouveau rire d’amusement et de continuer à courir vers le couloir qui menait aux chambres. Qu’importes !
Il fallait éviter le plus possible les terrains découverts, le pirate avait des armes et des pièges qui risquaient de lui faire perdre cette partie de cache-cache. Par contre, s’il y avait des angles droits et des exercices de souplesses, pas dit qu’il réussirait non plus à la suivre.
Dans le deuxième cas, elle se féliciterait de lui donner des cours particuliers de remises en formes, la pizza à la raclette n’allait pas au teint du pirate.

Toujours était-il que la demoiselle mit ses deux mains devant une porte qui semblait verrouillée et fermée à clef, le problème était que son époux connaissait le lieu comme dans sa poche alors que Laora… bah c’était la première fois qu’elle visitait réellement l’endroit.
En voyant que la porte ne cédait pas, un rapide coups d’oeil à l’arrière et peut-être une potentielle esquive en gémissant des :
«  - Ohh non non non non non ! »

Elle tira sur toutes les poignées avant de continuer à courir, son ptit cul de cuir noir et les talons claquants sur le sol, elle galopait en dératée, entre l’excitation et la panique d’être prise dans un cul de sac.
Jusqu’à ce qu’une porte notée «  Private » s’ouvre d’elle-même.
Une porte verte avec des piliers de lierres et de lianes creusées dans le bois.



A l’intérieur, Laora s’était retrouvée dans une jungle, de manière littérale.
On pouvait y entendre des rugissements de tigres, des cris de singes et d’autres bêtes qu’on ne saurait retrouver, sans parler des créatures en soit qui étaient aussi particulières qu’elles en étaient dangereuses.
Une fois à l'intérieur, La demoiselle, en entendant la porte s’animer de nouveau, se plaça derrière un arbre en retenant sa respiration, il fallait dire que le lieux était relativement sombre avec une touche de luminosité qui s’apparentait à un soleil brûlant les cimes des arbres, qui en cachaient ses rayonnements.

Le coeur battant la chamade, elle ne fit pas de bruit, en essayant de se glisser derrière son conifère le temps d’essayer d’observer l’ombre de la porte et d’entendre les bruissements de pas.
Toujours un sourire sur le coté, elle s’arrêta enfin, en réfléchissant à toutes allures aux multiples choses qu’ils pourraient faire ici.
Cependant il y avait trop de lianes et de végétations pour elle, déjà que le délire BDSM elle n’y avait jamais mit les pieds, alors s’imaginer directement prise dans ce royaume entre les mains du spécialiste du cordage… C’était un peu terrifiant pour une première fois !

Elle soupirait en levant les prunelles vers le ciel face à cette pensée, puis…
Ayant compris qu’elle avait fait un bruit peut être de trop, Laora exerça un bond de biche, adrénaline à fond, en switchant d’un arbre à l’autre, en essayant de monter au dernier arbre d’ailleurs.
C’était quoi cette chambre au juste ?
Au bout de l’arbre y avait déjà un couple d’araignées, deux femelles qui s’initiaient déjà à l’art du … hey bien ... l'art de ce que la demoiselle observait avec des yeux ronds et qui n’en revenaient pas.

«  - Oups pardon. »

Un regard vers le bas, puis elle s’élançait sur un autre arbre limite en se pétant un coude, pas assez prête de la réception de l’arbre, avant de sauter au sol et de courir de nouveau.
Malheureusement pour elle, la distance entre elle et Simon s’était écourtée avec cette mauvaise manipulation, il n’y avait que quelques manipulations habiles à faire pour cueillir la demoiselle...
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Le Trader

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MessageSujet: Re: [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora   [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora EmptyLun 24 Jan - 20:07

La journée avait été fructueuse en ménages et Frangi n’en pouvait plus. Tout astiquer, tout faire reluire, tout frotter, caresser pour ne pas casser, être délicat même dans du vinaigre et dans le ponçage de madame de la villa. Il avait vu sa moitié de femme s’agiter dans tous les sens et il l’aidait autant qu’il pouvait, entre le véritable ménage et les sms d’Akmon qui traitait Laora de folle qu’il aimait bien quand même mais bon hein. Pour le princpe. Il fit semblant de ne pas l’avoir entendue pour finir un sms d’insultes inspirées, à ses frères, à sa sœur aînée, à Agata, et à Akmon, et il poussa ce petit soupir de satisfaction du travail rondement mené. Sa brésilienne sauta dans ses bras, à en faire chuter son téléphone et un sms non moins inspiré à Stella, si elle avait du temps bien sûr. Etant donné qu’elle était la Première Ministre de la Norvège, Frangi hésitait toujours avant de la déranger, même s’ils gardaient le contact en ayant toujours en cours une ou deux parties d’échecs en ligne à un coup/semaine, car Stella était une ancienne championne de son pays, avant de se lancer dans la politique, au moment de ses études. Bref, la brezilovass dans les bras, l’australien pensait à tout autre chose, entre autres celles de l’amour, évidemment.

Elle annonçait un retour au Royaume du Cuir, ce qui n’était pas pour lui déplaire. Une chasse à la femme mariée, voilà qui s’annonçait...plus que prometteur...Tandis qu’il lui cuisinait une spécialité brésilienne à base d’indécis et de fromage à paella (lui même ne savait pas ce qu’il faisait, c’est un australien, donc un anglais, allo), il réfléchissait à de potentielles idées pour cette cuir-moust-chasse ! Lol ! Après le repas et leurs mamours de jeunes mariés, il la suivit donc dans le monde onirique, au Royaume de Madame Dominatrixxx, car une fois n’est pas cuircoutume !

> Il arriva directement dans une chambre mansardée, celle qu’il avait quand il résidait ici, après quelques services rendus à Domdom. La pauvre avait des attaques sur ses cargaisons de jouets et de cuir non encore travaillé...Frangipane à l’époque faisait la police et le videur, parfois le cobaye et dans les périodes de célibat, il avait ses entrées dans la chambre de la Reine. Car s’il n’avait jamais goûté le fruit défendu d’Agata, c’était loin d’être vrai pour Madame Dominatrix. Si ça c’est pas de la révélation qui pourrait rendre Laora hyper jalouse, je ne sais pas ce que c’est ! Dans sa chambre mansardée, des articles des Caesars, sur les pirates, des faits de gloire de Kanaka et quelques articles sur Akmon à l’époque où il était encore fréquentable. Des affaires de marin, des livres sur les îles de Dreamland et des cartes aux trésors qui avaient depuis été trouvés, évidemment. La rumeur du Royaume lui parvenait souvent, sous les toits, avec les coups de fouets et les râles de plaisir ou de souffrance


Tenue de la nuit :
Spoiler:


Il avait retrouvé sa tenue de policier du cuir, celui qui participait aux festivités ou qui mettait dehors quand un client dépassait les consentements de ses partenaires de jeu. Avec les lunettes qui pouvaient réperer du sang non-consangtant à des dizaines de mètres de distance, qu’importe les obstacles, murs, plafonds ou même orgies de créatures fortement proportionnées, à tous les niveaux respectifs qu’on imagine...Les multiples poches du blouson de cuir avait toutes les clés pour ouvrir toutes les portes, même les plus tenaces, même les plus...récalcitrantes...Sa double ceinture était pourvue de trois cravaches, dont une qui pouvait s’enflammer et une autre qui pouvait laisser apparaître des crocs de loup sur elle. Les gants permettaient de démultiplier la force des claques et des fessées, et la cravate tenue au maillot de cuir assurait une armure de corps qui ne laissait rien passer. Enfin, la casquette de cuir faisait qu’il pouvait commander aux créatures dominées par Dominatrix, comme s’il était un lord de la Reine. Le parfait apparât du strip-teaser, en d’autres temps, d’autres mœurs, évidemment. Cette nuit, il était en chasse. Et pas de n’importe qui. Sa femme était la proie, perdue dans la jungle qu’il connaissait comme sa poche. Elle n’avait aucune chance de survie, mais...oh, oui, il s’amuserait sans doute un peu en la laissant croire qu’elle pourrait s’en tirer...ou peut-être pas…


La chasse avait commencé et Simon courrait comme un dément, pour se mettre sur la piste de Laora. Il reniflait l’air, qui sentait le cuir, la chair, le sang, et l’haleine qui hurle d’extatiques souffrances. Que c’était bon de revenir au pays. C’était un peu Bilbo qui revenait dans la Comté, et les hobbits avaient d’étranges pratiques. Alors qu’il venait de balancer un coup de cravache sur la fesse gauche d’une créature qui en redemandait dans un couloir, les quatre pattes sur un canapé et le cul en l’air, il repéra Laora qui se battait contre une poignée de porte. HAHAHA...trop facile. Porte 247, le magasin des ciels z’ouverts, aussi appelé le Paradis des Braguettes par la gente féminine qui était la seule admise à dominer dans cette pièce. On la fermait à clé pour une bonne raison, car ces messieurs ne souhaitaient vraiment pas que n’importe qui ouvre la porte et les voye en train de se prendre un gode-ceinture de par leurs femmes.


- COURS ALICE, LE LAPIN NOIR EST A TES TROUSSES !
- Salut Simooooooon ! Tu viens me la-piner tout à l’heure ?
- Oh tiens salut Roger ! Comment ça va depuis le temps ? Toujours expert-comptable à Relouland ? T’es venu avec ta femme ! Quoi ? Tes enfants aussi ! C’est bien t’es toujours aussi barge.
- Tu veux venir, je te donne ma femme ou ma fille...un professionnel comme toi !
- Merci du compliment Roger, mais ce soir je dois faire vibrer une personne très chère à mon coeur.
- J’espère qu’elle sait te fouetter, mon grand !
- La meilleure.



Il continua de marcher en suivant les pas de Laora, qu’il venait de marquer avec sa cravate qui retenait chaque cuir qu’il avait en visuel. Oui, oui c’est cheaté, et alors ?
Laora venait de passer la porte de la jungle du bondage, une sublime création de Madame Dominatrixxx, évidemment. Frangi allait s’y perdre de temps en temps avec une conquête, et parfois avec Domdom elle-même et quelques amis savamment invités. De son souvenir, les animaux étaient réels mais avaient leurs particularités, et la cabane en bois permettait une tranquillité pour profiter de la nuit...entre amis consentants, bien sûr.

Il eut une idée pour satisfaire l’ambiance de chasse qui régnait. Il fit sortir ses cordages internes par ses orifices, et les mêla aux lianes et aux branches. Il fit sortir assez de cordages pour que chacun d’entre eux soit sur un arbre, soit accroché à une liane, et repère de loin la brésilienne. Frangi la trouva, allant d’arbre en arbre, un peu paniquée, un peu amusée. Excitée, aussi, à force de voir les autres s’amuser et pas elle...dilemme du royaume, ça. Le capitaine s’infiltra dans la végétation et grimpa dans un arbre pas loin de celui de Laora. Puis, feignant de ne pas l’avoir vue, il se laissa tomber au sol, arriva sur ses deux pieds et avisa le couple d’araignées qui tissait sa propre toile de manière savoureuse et sensuelle...Laora finit par bouger et sembla se faire mal sur un arbre, mais elle se remit à courir. Simon la laissa ahaner et il fit passer un de ses cordages devant la voyageuse pour lui faire un croche-patte, et envoya deux de ses cordages saisir les chevilles de sa délicieuse femme, puis les faire remonter le long de ses cuisses...les lianes suivaient le mouvement en suivant les pensées de Simon, car ici toute la jungle répondait aux désirs et fantasmes des locataires des lieux.


- Ma chérie, je crois que ça va serrer un petit peu…

Avançant vers elle, il fit claquer sa première cravache, la Précieuse, de son petit prénom, sur un tronc d’arbre qui poussa un cri orgamisque, de surprise et d’ardeur soudaine mêlées.


- Ce qu’il y a de bien dans la jungle, c’est qu’on peut laisser libre cours à son côté...bestial...
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MessageSujet: Re: [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora   [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora EmptyLun 24 Jan - 21:28

Laora fit à peine un bond de biche quand à sa réception, elle se prit une corde vouée à à lui crocher les jambes et à la mettre au sol, inutile de dire qu’avec sa mémoire à image et son adrénaline, elle en était tellement surprise qu’elle ne sut même pas comment se réceptionner.
Tête la première au sol, son cul par-dessus les épaules et le dos enroulé comme un escargot, elle retomba lourdement tel un fumble, sur sa poitrine non sans grogner de malaise et de douleur.
La tête tournait et le, non LES problèmes ne s’arrêtaient pas là.
Se mettant sur les coudes pour reprendre la course, elle put sentir un truc qui agripper ses bottes et créer un chemin sinueux le long des courbes du galbe de ses jambes, jusqu’à ses genoux, ou le contact fut un peu plus rugueux et sec qu’elle n’aurait pu y penser.
Ca faisait combien de temps qu’il n’avait pas sortie ses cordes ? Elle soupira, c’était vraiment pas facile d’échapper à frangi… En me temps, lvl100 contre lvl30 c’est compliqué…

Fronçant les sourcils en laissant les cordages approcher sensuellement du haut de ses cuisses, elle réfléchissait en imaginant plusieurs théories possibles, sur le comment se sortir de cette merde sans devoir se réveiller.
La première était simple, couper les cordes, mais cela voulait aussi dire couper les organes de Simon et lui faire mal… très mal.
C’était pas vraiment ce que notre demoiselle désirait, et le paradoxe de s’en sortir et laisser Simon faire se lisait sur son petit nez qui s’agitait de la droite vers la gauche.

Jusqu’à ce qu’un arbre se mette à crier d’extase et que son mari ne la prévienne que cela allait serrer un petit peu..

«  - Serrer ? Attends, qu’est-ce que...HEYYY ! »


Évidemment Quand il ajouta la dernière phrase, les cordes arrivaient en haut de ses cuisses et frôlaient sensuellement ses petites lèvres et les hanches de la belle, qui, dos à Simon ne put réprimer une envie irrésistible de rougir de honte. Oui oui, de honte.
Encore Catholique hier, mais pure dans ses idées, elle attrapa sa tête dans le creux de ses mains, la vapeur dû aux pensées volcaniques se mêlaient au froid de son non-consentement.
Se répétant qu’il ne s’agissait que d’une cravache, et qu’elle pouvait se casser sur son cul si elle réussissait à faire en sorte que, son derme soit aussi solide qu’un acier. (1-5/jet de 20)

De ce fait, elle analysa son corps, pendant qu’elle entendait bien que son Amour de Pirate, aille dévoiler ce coté bestiale qu’elle redoutait mais en même temps, attendait pleinement à chacune de leurs nuits dans Dreamland.
Et pulsa son adrénaline d’une manière subtile et féroce depuis ses cuisses jusque dans son cul et son dos pour la suite de la nuit, de manière à briser tout ce qui voudrait se heurter ou entrer dans ses fesses ou autours, sans son consentement.
Sauf que… Simon, ça reste son premier Amour avec un grand A, son premier Amant, sa confiance, son confident, son âme, sa force, sa faiblesse …
Par conséquent, le sentir marcher derrière elle en sa direction, entendre ses pas lourds peser la game sur chacune des ronces et des feuilles du sol, entendre le cuir grincer d’une manière totalement sensuelle et resserrer ses doigts d’excitation sur la cravache, qu’elle imaginait, à la vue de son cul bombée et musclée, bien que protégé par quelques tissus fins, la ravisait autant que cela l’apeurait.

Laora avait pleinement et totalement conscience de la dualité qui existait en elle dans ce royaume, et se laissa quelques secondes totalement happée par la terrible sensualité que cela laissait sur ses lèvres qu’elle humectait de désir.

Quand soudain, il y eut un bruit assez magique, tel un petit courant d’air, d’électricité qui stoppa totalement l’avancée des cordelettes et en brûla le bout avant d’en geler définitivement les appendice jusqu’à parsemer la corde de stalactites, stalagmites et de gel, toute la corde jusqu’à Simon en lui-même.
Ne comprenant pas, Laora retourna sa tête vers son dos, puisque toujours au sol, elle pu néanmoins bouger ses jambes, de nouveau, libre de tous mouvements, et en profita pour reculer et aviser Simon d’un œil entre la stupeur et l’incompréhen…
Ah si !

Un éclair de génie !
Elle leva le petit voile de son corsage et vérifiait… depuis son dernier voyage ici, au royaume du cuir, elle avait demandé à la patronne de la cafétéria, aux coté de Niagara et Kelua, d’obtenir quelque chose susceptible de la protéger de l’impureté de ces lieux, afin d’y revenir revoir Simon… Alors qu’ils n’étaient pas encore ensemble à l’époque.
En soit…
La patronne de la cafétéria lui avait offert la ceinture de chasteté qu’elle avait elle-même portée au royaume des esprits, puis au royaume de la lumière et maintenant, elle revenait à Laora, présentement au royaume du cuir.

Repliant ses jambes galbées et dorée sous son fessier en se remettant très rapidement debout, dévoilant son trésor, en le recachant, derrière les quelques étoffes d'onyx, lâchant un petit rire nerveux mêlé d’un ricanement moqueur, elle fit quelques pas chassés en se redressant et en commençant à faire quelques pas en arrière, pendant que le monsieur se prenait des piques de glaces et de grands froids, afin de … geler ses ardeurs.

«  - J’imagine qu’on reviendra sur le coté bestiale un peu plus tard dans la soirée… Tu remercieras la cantinière, mon aimé. »


Elle lui fit un baiser soufflé, avant d’anticiper d’éventuels projectiles ou cordes et de se réfugier derrière un arbre et de continuer a se volatiliser, rapide comme l’éclair le long des plantes et des buissons. Hésitante, elle tomba sur un petit trou de lapin à un moment donné, curieuse comme une chatte, elle courut et s’y engouffrait en glissant dedans sans avoir besoin de lubrifiant.

Elle tombait et chutai le long d’un énorme toboggan de terre où quelques serpents essayaient de la croquer, mais non sans se prendre quelques baffes et donc, joues rougies tendues quand Simon passerait pas là.
Puis elle fut projetée dans un énorme champs d’herbe et de pierres, avec divers animaux sauvages et créatures ayant des penchant en effet plus… animales ? Bestiales ?
Elle tourna sa tête vers la droite en exerçant une grimace et en disant «  YEERK » en voyant Aden…
Aden… Mais !!! Depuis le temps qu’elle ne l’avait plus vue depuis la tombe Issoire !

Laora fit un petit geste de bras en sa direction pour le ou la saluer, avant d’entendre Simon encore une fois derrière, impossible de ne pas le louper, c’était comme si un fil, une intuition, quelque chose les liait à jamais l’un avec l’autre.
A moins que ce ne soit la cravate buveuse de sang et le coude de la demoiselle qui s'étaient liés?
Lâchant prise, elle reprit sa course, cette fois vers les rochers en essayant de grimper vers l’extérieur du champs, ou bisons et créatures dansaient et s’extasiaient de leur corps charnels et s’en donnaient à coeur joie.

Laora la Tornade, cheffe de sa propre rapidité, donna un coups d’oeil derrière elle et vérifiait que Simon ne fut pas trop proche,
Dans ce cas, elle attrapa une pierre au sol.
D’un puissant coups de rein se retourna en sautant et dans ce saut, balança sur un coups d’adrénaline et de calcul mathématique, le cailloux qui devrait arriver au niveau du bas ventre de Simon.
La roche avait gémit quand elle l'avait ceuillit, mais avait on ne sait quoi de moelleuse et d'humide, aussi quand elle attérissait sur le cuir noir du pirate, n'avait ni fait mal, ni n'avait "heurté" le vêtement, l'effet en fut tout autre...

Chemin faisant, à la réception de ses talons, notre Brasilovass fit attention aux serpents, lianes et à son cul, que rien ne lui arrive…. À peine le pied posé, qu’elle dirigeait son regard et son énorme sourire vers la porte menant au coeur de la jungle...
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Le Trader

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MessageSujet: Re: [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora   [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora EmptyLun 24 Jan - 23:09

Simon, assez naturellement, accusa le coup. Les cordages qu’il déployait brûlaient dans du gel mais aussi, il le reconnut quand sa femme reprit sa fuite, à autre chose. Il regarda le bout de ses cordages et les analysa. Oui, il y avait bien là un effet d’un objet magique, mais pas que...pour l’avoir côtoyé, il sentait également la présence et même, pour ainsi dire, l’intrusion d’un autre pouvoir présent dans la chasse à la brésilovass. Tant mieux, le jeu n’en serait que plus savoureux, mais ça voulait dire qu’il n’était plus maître en la demeure, plutôt soumis aux aléas des pièces et des couloirs, avec des réflexes que sa moitié n’aurait pas. Il esquissa un sourire amusé et déploya deux voiles sous ses bras et ses aisselles. Toujours capter d’où viennent les courants d’air, au Royaume du Cuir. C’était une règle de base pour trouver des issues.

Laora venait de s’éclipser en parlant d’une cantinière du Royaume, et sans comprendre il comprit tout de même qu’elle avait reçu de l’aide. Devait-il aller demander des infos à la susnommée ? Pas le temps, puis après tout, c’était un jeu...il haussa les épaules, sentit le vent s’engouffrer derrière eux et partir vers un trou, une zone dans laquelle Laora s’était jetée. Soit. Elle avait de la ressource, et un peu de cran, vu que le trou était réputé pour amener vers des animaux plus dangereux et mieux formés dans l’art du sadisme que les créatures des premiers couloirs. Il prit de l’élan et plongea tête la première dans le trou. Les serpents qu’il croisait laissaient couler une larme de leurs yeux cocardés et les joues rougies par les baffes gonflaient leurs visages si jouissifs sous la claque. Il les salua, en se rappelant qu’il avait pris des cafés avec eux durant leurs pauses. Puis il arriva dans la zone des animaux sauvages exotiques…pour tomber sur Aden…

Poussant un soupir, il fit peu attention aux autres animaux qui prenaient leur pied de bien des manières, et salua du bras Aden qui tenait son fameux fouet de combat. Le.la pirate-biquette lançait son arme de prédilection sur une demi-douzaine de victimes qui bêlaient et broutaient de la paille, à genoux, en slip de laine, des cornes sur la tête et des feuilles de vigne et des fleurs blanches en couronnes dans les cheveux. Il semblait que c’était là une sorte de jeu de rôles, avec Aden en capitaine fouettard.e, et ses chèvres-victimes jouaient le rôle de pirates ou de corsaires, qu’il.elle appelait vaillamment ses « matefiottes » ou « manches-à-couilles » d’une voix qui se voulait virile et qui n’était pas loin d’être une caricature de Simon...ou de Kanaka ?

Simon allait vers son ami.e pour quand même le.la saluer mais un caillou vint fracasser sa route et son entrejambe. Oh, bien sûr, Laora n’avait lancé qu’un caillou, mais le Royaume du Cuir sait réagir des meilleures idées. Le caillou se changea en paire de menottes qui se fermèrent sur les bourses du pirate. Le cuir fut serré comme il fallait, les testicules pendouillaient depuis son pantalon de cuir noir de manière visible, toujours dessous le cuir, accrochées, tenues par les menottes de pierre qui rendaient le mari australien à la fois fou de douleur au premier abord, mais très vite il se calma et n’eut plus aucun désir de chasse à la femme. Il se demanda même ce qu’il faisait, comme un taureau ou un furet en rut, à chercher à s’emparer de sa moitié alors qu’elle devait sans doute préférer visiter le Royaume. Hé oui, déjà que le sang n’irriguait pas en haut, et maintenant le bas n’était pas plus abreuvé que le reste, ce qui allait rendre les choses compliquées !

La paire de menottes ouvrit sa bouche dans un bruit métallique de succion et de réveil. Un bruit qu’on n’espère pas entendre, surtout en garde à vue. Ne demandez pas pourquoi j’écris pas. Non, vraiment, ne le faites pas, s’il vous plaît. La paire de menottes autour des bollocks de Simouss s’exprimait avec le charme d’un camionneur obligé de stationner sur une aire d’autoroute sans chiottes ni restaurant sur la rocade de Niort, un peu.


- Heu dites mon ptit pote, c’est à vous les baloches que j’enferme ?
- Heu, oui…
- Faudrait penser à les vider, mon vieux. Et à les laver aussi. Et à les raser. Et à…

Les menottes semblaient faire la morale au capitaine pirate, qui se tenait, genou contre l’autre, les jambes tournées vers l’intérieur, les pieds en pointe avec les gros orteils qui se touchent. Il n’osait pas répondre, enchaînait les « heu, oui » d’une voix fluette et timide, emprisonné qu’il était dans son costume de policier de cuir. Aden arrêta pendant un temps sa cinématique grandeur nature et contempla le spectacle, bouche bée. Les menottes étaient en train d’engueuler Simon qui, selon elles, perdait son temps, devrait prendre un rasoir, une douche, et s’acheter une dignité pure et une pureté digne, ou l’inverse. Alors là...le sang d’Aden ne fit qu’un tour de coming-out...Le transgenre indécis s’approcha de Simon et lui décocha une magnifique gifle qui envoya le pirate dans des fourrés. Aden était à la fois en colère et en pleurs, dégoûté et dans un état de haine impossible.


- C’EST PAS POSSIBLE, CA PEUT PAS ÊTRE TOI FRANGIPANUS ! T’ES UN PIRATE D’HISSEO, UN CAPITAINE, T’ES LE FILS DE KANAK ET TU FOUS TA MERDE PARTOUT OÙ TU PASSES ! TU VAS PAS TE LAISSER MENER PAR UNE PAIRE DE MENOTTES SANS FROUFROUS NI MOTIFS LÉOPARDS !!!!
- Heu, oui…
- REVEILLE-TOI, ESPÈCE DE LANCASTER, OU TU DEVIENS MON ESCLAVE JUSQU’À LA FIN DE LA NUIT !!!
- Heu,  voui…


Les menottes faisaient des doigts à Aden, Aden voulait étriper les menottes, pendant que Laora se carapatait, les couilles du Frangipane vivaient leur propre shonen.
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MessageSujet: Re: [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora   [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora EmptyLun 24 Jan - 23:58

Le coeur battant et les talons frappant le sol à une cadence moins élevée qu’au début de la course de cette nuitée, la brésilovass étira un bras, attrapa un arbre et se laissa glisser dans l’élan de sa course, derrière le baobab dans un suave mouvement de pole dance.
A œil curieux, elle sortit sa tête et son énorme crinière en cascade noire depuis le tronc de l’arbre pour vérifier le pourquoi de ce que Simon ne la poursuivait pas.
Déjà parce qu’il avait mal aux … bijoux de familles..., mais aussi parce qu’il se faisait passer le savon et prendre une leçon par Aden, les menottes et ses bourses.

Levant un sourcil en prenant un air perplexe, les « ... » s’affichant a-dessus de sa tête comme une tiare de l’indécision, Laora hésitait entre s’excuser du fait d’avoir fait mal à son époux mais aussi d’avoir utilisé un objet non identifié sur lui et qui aurait pu s’avérer très dangereux.
Cela dit, les ardeurs du capitaine avaient l’air d’être on ne peut plus calmées et il avait de moins en moins l’air enflammée par Laora, voir… l’avait oublié avec cette paire de menottes de chasteté.

De ce fait, la Brésilienne releva un peu sa guêpière pour observer sa culotte d’argent et se demander s’il existait des objets pire encore que ces deux-là, et une réponse à lui en faire friser ses poils vint à glacer ses pensées.

La soupirante levait ses iris turquoise vers le ciel, le plafond, avant de s’avancer devant l’arbre et revenir pas à pas vers le couple Aden-12 biquettes et Frangi, sans vraiment se dissimuler, ni vraiment s’approcher de trop prêt.
Même si cela aurait pu être une mascarade, une duperie, un mensonge montée de toutes pièces par Simon au summum de son envie de se vider les couilles, Laora n’en était pas moins humaine et partageait la souffrance des couilles serrées… étroitement serrées avec son mari.
Quoi que cela veuille dire, avec son tatouage du mariage de ces morts.

«  - Ca va chéri… tu ne m’en veux pas … trop… ? On va pouvoir reprendre la … Poursuite… ? »

A une distance assez éloignée, histoire d’avoir un mouvement d’esquive si jamais l’autre lui refoutrait une corde ou vous pensiez et assez prêt pour qu’il l’entende s’excuser quand même…

«  - Jveux pas foutre la merde, mais c’est vrai que c’est pas de la première fraîcheur là-dedans ! Je parie que même ta Domdom ne serait pas contre un petit lavage et carénage au sel de tes larmes, mon chou. »

Ajouta-t-elle dans une ultime grimage assez chouquette, tirage de langue intégrée, puis repartit en marchant, le cul se balançant volontairement et d’une manière plus que sensuelle, de la gauche vers la droite, dans un déhanchement du diable, à en faire pâlir de jalousie les Putissimas.

Restant dans le secteur, elle cherchait liane ou morceaux de bois, histoire de quand même utiliser une arme de SM pour se protéger, et pour capturer le Simouss au bord de la rupture des couilles, surtout avec une.un Aden au fond du tiroir caisse dans un univers des pirates.
La demoiselle tendit une main depuis un baobab en attrapant une liane, vérifia sa solidité en tirant dessus de toutes ses forces, l’idée d’attacher Homme derrière elle et de le trimballer dans Forêt comme Viande, était peut-être un choix limité, mais ça éviterait bien qu’Aden s’accapare son mari durant leur seule et unique nuit de noces.

Au bout de quelques secondes à tirer la liane-corde, un énorme rugissement digne d’un Godzilla en rut vient à retentir dans la jungle et une floppée d’oiseaux arc-en-ciel s’envolèrent en rasant de prêt nos trois pirates favoris, tandis que les biquettes émirent un bêlement à en fendre l’âme, les créature qui avaient l’anus dilatée le resserraient et ils finirent tous par sautiller par l’endroit ou Panus et Laora était venu .

«  - le Gorille fisteur ! Zavez pas le level, fouyyyeez !! »

Ajouta une créature à moitié à quatre pattes en train de remonter le toboggan de terre, tandis que les arbres semblaient trembler, leurs feuilles éprouvées par la dureté des pas.

«  - Un Gorille fisteur… Sans blague… Encore un de tes potes mal luné et bien conseillé par ta reine Domdom Panus ! Bon.. Aden… C’est l’histoire de ta vie de devenir chèvre… et de faire des trucs avec ton cul dans la cale des navires. Donc on te laisse ! Allez la bise ! »

Elle fit un bond pour voir si Simon était toujours présent, avec ou sans menottes… Poussant un énième soupire… Laora fut soudainement prise d’une impulsion de survie pour sauver le cul de son Homme !
Tout à coups elle attrapa la liane dans un poing ferme et d’un habile coups de main-adrénaline couplé de sa vigueur de l’extrême, elle lui flanqua un coups de fouet-tordu sur son cul de cuir.
A ce stade de l’aventure, il était obligé de bander et ses poils de se relever en mode super sayen.
Si ça ne se passait pas ainsi, Laora le déshéritait.

D'ailleurs, pour couronner le tout, elle déchira son bustier en montrant son putain de décolletée, sans les tétons, un peu de décence quand même ! De sa super poitrine de super-maman qui commençait à devenir bien ronde et ferme !

« - Allez Sim, te laisse pas bouffer par des menottes, j’croyais c’était toi l’affamé… voilà allez hop ! Oublie pas ta nuit de noce, pirate d’eau douce ! Puritain ! Sac à sel ! Mauvais client ! Mauvais mari ! Hop hop ! On se concentre et on vient distribuer la fessée ! »

Quelques paroles bienfaisantes, et la voilà reprenant sa liane, pivotant toujours avec ses hanches de diablesse pour courir à plein gaze vers le Gorille en rut, qui avait déjà les bras ouverts prêts à se saisir du cul du premier voyageur ou créature qu’il verrait.
Manque de pot pour Laora, elle avait fait un magnifique plongé de footballeuse professionnelle, taclant un pied du géant avec sa liane, pour le faire tituber et l’éviter de pécho Frangi.
On ne pourra hélas pas dire la même chose d’Aden, RIP.

De son coté, Laora courrait à en perdre l’haleine, les sens à leur paroxysme, elle rajoutait l’oxygène à ses muscles dans une ultime tentative de saut de biche pour quitter la clairière et arriver au niveau de fourrés et de bois paisible, avec une petite cabane, silencieuse, en passant devant, ses yeux lui firent voir qu’elle était inhabitée.
Simon était encore loin, elle pouvait donc visiter sans vraiment se laisser distancer.
Elle ouvrit la petite porte du cabanon en refermant soigneusement derrière elle, les talons frappant le parquet de bois avec détermination.
Tournant sur elle-même comme une danseuse avec grâce et légèreté, elle observait la petite cabane où milles choses y étaient entreposés, petit lieu vraiment à l’abri des créatures et des pervers, un petit bijoux dans un écrin de forêt, cachés.

Entendant un bruit sur la porte, le souffle redevenant cours, les muscles tendus, elle fit un saut, pour prendre une latte de bois situé au premier plafond pour s’y cramponner et se hisser au niveau de la mezzanine, mais à peine avait-elle réussie à attraper la première poutre, pour se saisir de la deuxième, qu’on entrait déjà dans la pièce... essoufflée après cette course poursuite, elle ne donnait pas plus de dix secondes à attraper la deuxième latte si elle ne voulait pas passer à la casserole avec toutes les conneries qu'elle avait dit!
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MessageSujet: Re: [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora   [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora EmptyMar 25 Jan - 14:16

Simon était la victime de la nuit, manifestement. Tandis que ses coucouilles pleuraient à sa place, il regardait Laora avec une expression de vide intense dans ses yeux. Ce n’était plus le capitaine, ni même le dépressif, mais le NEGASIMON, la partie de Simon vidée de toute sa substance, de sa substantifique moelle, à savoir sa précieuse et australienne semence qui pouvait se sentir comme prise dans une écluse qui se refermait des deux côtés des navires qui tentaient de passer...Si bien que Simon ne réagît même pas comme il aurait fallu...il voyait la scène, les gens tout autour de lui, au ralenti du shonen de sa vie, sans le son, juste Laora qui revenait qui lui parlait, Aden qui lui hurlait dessus en pleurant, honteux.se à sa place, des menottes qui faisaient des doigts au ralenti et qui compressaient ses bourses...il ne comprenait pas, le sang n’affluait plus dans la zone nécessaire, et il était tel un zombie dans un film de Romero.

Puis il y eut un déclic. Oh, il ne sortait pas de nulle part, on est loin du Deus Ex Machina...comment ça « ça change de d’habitude » ? Mais pas du tout ! Là Simouss, zombifié, maloufié, simonifié-dans-une-semaine, était vide et stérile, toute la piraterie et la puissance virile qui émanaient de lui partaient par tous les pores de sa peau qui perdait même ses premiers poils. Mais...son regard croisa le déhanché fabuleux de sa femme...et chassez le naturel, et il revient au galop. Là, à force de suivre comme hypnotisé le mouvement de balancier de sa brésilienne d’amour, le diable lui-même suivant les hanches de Laora, tout explosa dans son slip comme les chutes de Niagara...du Niagara pardon ! Le sang força les remparts qu’étaient les menottes, qui se brisèrent en mille fragments et mille phalanges et mille insultes envers Aden qui ouvrait grand.e la bouche, les yeux en étoiles comme dans un vrai shojo manga, et on reste poli. Frangi se tenait comme Naruto sentant l’énergie de Kyubi. Est-ce que cela voulait dire que les couilles du capitaine était un démon à une queue ? Au moins la blague est faite. Le capitaine se mit à rugir, les bras faisant pulser ses muscles, ses petits poings serrés balançant de l’aura meurtrière retrouvée. Ses couilles balançaient de l’énergie et inondaient la zone de leur odeur si particulière, mélange de rhum vieilli en fût de poils, tout simplement, de manière authentique, comme un vrai pirate.

...Bien sûr, personne n’entendit le rugissement du lion pirate. En effet, son cri fut supplanté par celui d’el famoso gorille fisteur. Un des artistes les plus incroyablement fisteur, selon Dominatrixxx elle-même. Un ancien collègue de Simon, qui ne l’appréciait pas beaucoup et vous savez pourquoi. Si, ne faites pas les innocents et les mijaurées, surtout toi Aden, vous savez pourquoi. Simon était prêt à le combattre encore une fois, mais ce fut une liane lui fouettant le cul qui le poussa à rugir une nouvelle fois...mais de plaisir-souffrance, comme il se devait dans un tel lieu.


- AGRAOOOOOOOUWWWWWWWWW !!!


Voilà, le lion revenait dans sa savane, le cri de guerre était lancé et ses couilles qui avaient viré au bleu flippant redevenait rouges explosives, comme d’habitude. Ses poils se hérissaient de tous bords, à babord c’était jaune saiyen, à tribord c’était susanoo uchiwa, et au centre Simon poussait un cri de plaisir-souffrance, comme un appel à la Reine des Lieux, ou à sa propre Reine, Laora, qui savait jouer avec son mari comme le mariage l’exigeait (what?). Il ne manquait que pas grand-chose pour que Simon se digivolve en Super-Simouss, et son regard croisa le décolleté fabuleux de sa femme, si bien que son rugissement devint mugissement, son corps prit l’allure d’une multitude de navire, du bois et d’acier mélangés, et un énorme canon surgit de sa braguette, avec une dizaine de mèches à allumer dessus, pour autant de boulets. Il se transforma un géant fait de navires, de poulies et d’énergie sexuelle débordante. Il commença à pourchasser sa femme qui le rendait fou de désir et de menuiserie navale, mais Alonso le gorille fisteur se mit en travers de sa route. Poilu comme un gorille, doté de deux gants en latex inoxydable, lubrifié comme la maman de Pascalin, le gorille l’attendait fermement, surtout au niveau des fessiers qu’il avait galbés et musclés comme il fallait.


Du fait que Laora se dirigeait vers Alonso et qu’elle bondissait telle un petit boule de carn-avaleuse dans un festival de Rio, Simon crut qu’il y avait là infidélité sous adrénaline, et fonça, les yeux entièrement blancs et écarquillés, de la bave aux lèvres, sur le gorille fisteur qui l’attendait avec son meilleur poing, qui était aussi son plus beau profil. Dans le même temps, la brésilienne faisait chuter l’énorme gorille, qui se prit en pleine tête le genou de Simon, mais qui attrapa Aden avec son poing, ce qui renouvela les expériences sexuelles de notre chère amie chevrette de Délivrance. Une histoire qui aurait mérité quelques paragraphes supplémentaires, mais Aden n’étant pas le.la protagoniste, on s’en ballec.

La brésilovass se planquant plus loin dans une cabane silencieuse...en fait la chambre à coucher de la zone, mais il était impossible pour elle de le savoir...Simon la pourchassa mais il fut stoppé dans ses recherches par un couple qui venait tout juste de réserver la chambre pour être tranquille. Il ne s’agissait ni plus ni moins que d’Enzo Mattiméo et Mademoiselle Sacha, bras dessus bras dessous, qui avaient sans doute pris le Royaume du Cuir comme un endroit secret, spoiler où tout Dreamland venait pour batifoler et faire claquer ce qui devait l’être. Simon reprit ses esprits en voyant le petit frère de Laora devenir un homme, et se calma surtout face au choix qui s’ouvrait à lui : soit aller prévenir sa femme qu’elle allait contempler un drôle de spectacle, soit laisser les choses se faire et préparer des pièges quand elle sortirait en criant de dégoût...il esquissa un sourire qui se transforma en ricanement sadique, et mit en place ses pièges de cordages, de planches et de voiles partout autour de la cabane, tandis que manifestement, soit le couple regardait un film d’horreur qui faisait vraiment très peur, soit ils avaient commencé leurs préliminaires sans préliminaires. Ca fait deux fois le même mot, mais l’idée est là. Enzo devenait enfin un homme.


- Je vais pleurer de la bite, c’est beau de voir que la famille va encore s’agrandir…


Disait Simon le pirate sadique en préparant des pièges bien putassiers !
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MessageSujet: Re: [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora   [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora EmptyMar 25 Jan - 15:31

Laora était en train d’essayer d’attraper la deuxième poutre traversante du plafond, son bras droit bien tendu et sa main ouverte, ses cinq phalanges s’allongeant à chaque centimètres durant lesquels la demoiselle grimaçait en sentant ses muscles douloureux commencer à refaire descendre l’adrénaline utilisé durant la course jusqu’ici.
Puis, la porte émit un barouf pas possible, elle écarquilla ses prunelles turquoises en mettant un nom sur la voix qu’elle venait d’entendre.
Son gros cul de Brésilovass posé sur la poutre du dessous, et son corps reposant sur la légèreté de ses jambes, telle une acrobate en équilibre, il ne fallait un rien pour qu’elle se casse la gueule.

« - Petit… frère… ? »

Murmurait-elle une grosse goutte de sueur glacée lui traversant les tempes jusqu’au menton et qui réalisait son chemin jusqu’à son épaule avant de se lâcher vers le sol pour indiquer sa présence….
NON ! Laora attrapa la goutte du bout de ses doigts pour éviter que celle-ci n’interrompe le … moment de son frangin.

Ses poils et ses cheveux en cascades devinrent super-sayan également en se dressant le long de son échine : LA SALOPE DE SACHA ! Elle avait bien joué son petit jeu depuis Candy Rush cette connasse ! Hein quoi ? Laora Jalouse ? Non mais surprotectrice…
Bon, elle leva son poing contenant la goutte en soupirant silencieusement, en se disant que bon, elle ne pourra pas toujours protéger Enzo, et encore moins éviter de courir après toutes les gonzesses… déjà parce que s’il veut, il emmerde Laora en lui faisait remarquer qu’elle n’était pas sa sœur, puis aussi parce qu’il était bien plus puissant qu’elle.
Badinant sur les deux solutions en mode grosse dépressive, et parce qu’elle entendait les gosses commencer les préliminaires, enfin gosses PETIT FRERE ! On se comprend !
La voyageuse au Nénuphar réfléchissait à l’allure du Zeph, pas de Frangi dans les parages, mais que faisait-il ?
Oh sans doute des affaires de pirateries soit avec le gorille soit en train de lécher des cailloux ou elle y avait mis son sang et sa sueur durant la course.

Laora était à des kilomètres de savoir son compagnon aussi sadique et pervers, et c’est avec un petit sourire innocent qu’elle observait le haut de la maisonnée en esquivant les préliminaires des yeux, ce qui était déjà une bonne chose en soit.
Aussi, elle ne regardait rien, mais les bruits qu’ils faisaient étaient assez équivoque de leur moment érotique, Enzo 3 Sacha 0.
Pour sûr que Laora en grimpant les planches se retrouvait très rapidement au plafond, à ciel ouvert et d’un saut agile et félin, grâce au peu d’adrénaline qui lui restait sur les doigts et les hanches, pu se retrouver nonchalamment sur la toiture de la cabane, non sans affaisser ses épaules, regarder les étoiles en soupirant de soulagement.

«  - Et n’oubliez pas de vous protéger les enfants ! »

Termina-t-elle sagement par entonner en murmure, histoire qu’ils pensent quand même à utiliser la capote surprotectrice Madara qui avait des effets plus qu’improbable sur les moment X.

Enfin ; pour ce qu’ils ont dus entendre, la jeune demoiselle d’Epinéphrine s’avançait à pas de loup, accroupit tel le plus alerte des assassins en observant depuis la toiture, vers le contre-bas, une scène typique… Nimbé de voiles, de mécanismes en cordes et en aciers… Bref une sorte de labyrinthe forme voilier XXL ou Frangi avait l’air de s’arracher même des parties de son corps de navire pour créer un truc.

Innocente, elle se coucha sur le toit, la tête à l’envers au niveau de la gouttière, ses longs cheveux ondulés en cascade chutant dans le vide, ses grands yeux d’un bleu intense fixant les allés et retours de Simon qui faisait des trucs assez louche.
Elle se passa un bras sous sa nuque, dans cette position assez relaxante, une jambe levée, minimisant des gestes de curiosités, tandis qu’elle semblait littéralement offrir la beauté de son corps, de sa poitrine sous les lacets et le cuir de Dominatrixxx, à ce royaume, le temps de quelques secondes plutôt relaxantes.

Il y eut un bruit assez suspect, des cris dans la cabane, A croire qu’Enzo n’était plus le petit puceau de petit frère, un homme en soit, et la toiture commençait à surchauffer et la demoiselle commençait à avoir le cul qui brûlait, littéralement.
Soupirant de lassitude, elle étira ses deux bras en gémissant de plaisir à voix haute, tandis que la chaleur lui massait le dos, les vertèbres, les lombaires et développait l’odeur tanné du cuir.

«  - Sim’ouss ? Tu veux pas me rejoindre ? »

Ajoutait-elle, dans une voix lascive, ronronnant mais bien audible, toujours à l’envers, les deux bras tombants, le corps totalement détendu sur le toit en brûlance, alors qu’il terminait son énième piège en un temps record.
C’est à dire, a peut prêt 10min, c’est ce qu’avait tenu le petit couple d’ado pour leur première fois, 10min. c’était déjà pas trop mal en soit pour une première !

Un énorme sourire et une main taquine qui vint de manière subjective, caresser son genou pour entrer au niveau de ses cuisses, tandis que, morte de rire intérieurement, la féline demoiselle, imitait quelques grimaces de plaisir et expressions d’amour en direction du dit Simon.
Quand enfin après quelques secondes à observer à l’envers les voiliers et les choses mises en places, elle comprit qu’elle avait mis en place plusieurs pièges pour attraper la demoiselle…
Elle leva un sourcil, afficha un énorme sourire en retirant sa main de l’endroit délicat.

«  - Mais quel Salopard… Mais quel Connard… »

Ses dents passèrent la frontière de ses lèvres souriante franchement et de ses petits yeux pétillants d’intensité et de luxure.
Non, elle ne détestait pas l’idée, elle adorait l’idée.
Mais bon, Laora la prude, Laora l’innocente, Laora la pure quoi, donc elle préférait largement dire le contraire de ce à quoi elle pensait véritablement, de peur de se faire passer pour une pute.
Normal, vu le corps de Brésilovass qu’elle avait, beaucoup de putissimas et de grognasses dans Dreamland en serait jalouses.x !
A commencer par Aden, sinon jamais il n’aurait osé prendre sa plastique !
Et puis en ce moment il doit le payer puissance mille avec son ptit boule de biquette raclé depuis chaque recoin à l’intérieur de son … domicile ! DOMICILE, ramonage de cheminée à Domicile.

Soupirant en se remettant gentillement sur le ventre en poussant son rideau de Nyx, elle avisa les pièges, les comptait et en quelques secondes, grâce à la magie fabuleuse des mathématiques, de la comptabilité, de la géométrie et de la trique de son Pirate, elle avait totalement oublié Sacha et Enzo, et même ce qu’ils faisaient.
Après tout, c’était sa nuit de noce, fallait bien… oublier les autres pour mieux se mettre en avant.
Les lèvres inférieur se faisant délicatement pincées par ses dents, elle indiqua quelques pièges avec son index avant d’ajouter d’une voix suave :

«  - Celui-là c’est une œuvre d’art, quel dommage de ne pouvoir le bafouer... »
Petit rire saugrenu.
«  - Celui-là, une vraie puterie, heureusement que tu l’as fais pour toi… D’ailleurs à l’envers avec le mat et la voile on dirait qu’il est écrit «  LOVE » tu es tellement Romantique mon chéri... »

Alors que peut être pas du tout, juste son imagination. Le cerveau à l’envers ne l’avait pas du tout aidé !

«  - Humm… C’est lequel ton préféré ? Non parce que j’imagine que tu as déjà dû tous les tester pour être sur que ça fonctionne, non ? T’as pas une petite nouveauté à nous faire tester, entre grands voiles, grands mats… et petite gateries ? »

Ajoutait-elle avec un clin d’oeil appuyé, avant de se mettre debout…
Vérifié qu’il regardait ailleurs et se …
VOLATILISER.

Oui oui, elle était en train de repartir de l’autre coté de la maison, ayant malaxé son chakra d’énergie durant ces belles paroles, pour mieux s’appréter à courir à l’opposé… Où il y avait aussi des pièges, qu’elle essayait de déjouer en les survolant d’un énorme saut de biche, avant de se prendre dans une voile et d’enclencher d’autres procédés… Mathématiques.
Entre les différents clics et clacs, elle donna un coups de point dans un mat, atterrissant sur le sol, chercha un calcul, avant de faire quelques pas géométriques qui pouvaient ressembler à des pas de danse.
Oui elle était Doom, elle savait que les pièges étaient une perte de temps, un coups de maître, car le temps de dégager d’un piège, un autre se refermait.
Perte de patience, elle soupira et finit par attendre Simon, sagement, debout, dans une position... Assez sportive, même pour une pile comme elle.

«  - Putain de bondage, ça n’a rien de mathématique ni de géomatique, il n’y a rien d’une logique calculatrice là dedans... pffff! T'as triché! De quoi? SIIII T'AS TRICHE SIMON DIS PAS NON C'EST DE LA TRICHE! »

Ajoutait Laora, au royaume du sel-cuir.
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MessageSujet: Re: [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora   [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora EmptyMar 25 Jan - 21:29

Alors que la capote Madara était en train de vivre ses derniers instants...ou pas, parce qu’on va pas s’mentir, Enzo Mattiméo est encore dans les titres Roi des Brigands, et voit-on un brigand utiliser une capote ninja pour tringler ce qui doit être sa millième amante ? Mademoiselle Sacha étant une voyageuse, et bien plus âgée que lui, pas dit que la capote serve beaucoup, mais après tout, ça fait toujours des souvenirs pour plus tard, comme on dit !

L’essentiel était plutôt ailleurs, et cette fois pas dans Lactel. Non, ce serait trop dégueu. Simon voyait Laora se coucher sur le toit, et Laora voyait Simon s’agiter parmi les arbres...une sorte de danse nuptiale, apparemment. La brésilienne appelait son amant à venir la rejoindre, mais le plaisir de la chasse résidait dans l’attente et le fait d’attraper ou ne pas attraper sa cible...sa proie...l’objet de son désir. Offerte telle qu’elle l’était au plafond de cette salle bestiale, Simon ne trouvait aucune félicité à venir la rejoindre...pas comme ça, Zinedine, pas maintenant...pas après tout ce que tu as fouetté ! La voyageuse avait beau allumer un feu de joie entre ses cuisses et celui de son mari, ce dernier restait concentré sur ses œuvres de cordages et de voiles, ses pièges et ses manigances camouflées par les bois. Tandis que Laora revenait et comptait les pièges, Frangi créait des doubles de lui-même en bois, et les faisait s’avancer ici et là, pour faire croire qu’il se baladait, alors qu’il matait salement sa femme, une main dans le froc de cuir, donc trop petit pour sa main...il pesta intérieurement et se retrouva avec la poutre aparente qui partait sur le fémur gauche, bien visible avec son pantalon en cuir…

Le temps de calmer son ardeur toute de cuir vêtue, la brésilovass venait de se volatiliser comme par magie, avec son pouvoir. Mais le capitaine pirate savait y faire, en pièges comme en cordages, comme en amour et comme en navigation, et comme en...oui non on ne va pas faire toute la liste. Il savait que la réaction en chaîne de ses pièges attraperait sans doute la biche en cuir et en dentelles. Il attendait patiemment, et quand tout fut redevenu plus calme, sauf avec Laora qui gueulait, il s’approcha d’elle, amusé, poutre apparente, en s’épongeant le front, casquette à la main. Triomphant et imbu de lui-même comme un chasseur devant sa biche, il posa un index sur la cuisse de Laora, appuya un peu sur sa chair encordée, serrée au possible. Elle flottait dans les airs, tenue par des cordes, à l’horizontale, les chevilles au même niveau que la tête, les jambes repliées vers le haut, le ventre et dos droits, la tête un peu relevée. Elle se faisait balancer par le mécanisme de poulies et de cordages enlacés les uns dans les autres. Frangi s’approcha de sa femme, lui caressa le crâne d’un air satisfait, tandis qu’il essayait de se défaire de son pantalon de cuir noir.


- Alors...j’espère qu’il te reste des forces pour le reste...enfin, quand je dis le reste, je pense surtout que ce n’est que le début des...maltraitances ?


Il tenait entre ses doigts les deux côtés de la bouche de sa chérie, et voulait approcher ses lèvres des siennes, mais il n’en eut guère le temps, car au moment où leurs lèvres allaient se frôler, un « clic » se fit entendre. Pas le temps de réagir que Laora tombait au sol, et que le sol sous son corps encordé s’enlevait pour former un toboggan. Elle disparut avec tout l’ensemble de cordages à travers le sol, l’étage, laissant Frangi tout seul avec ses pièges déjoués par les arbres, et aussi et surtout par des petites créatures face de cuir et de latex noirs , aux yeux ballons-baillons et aux bras fouets à crocs. Des envoyés spéciaux de la Reine, ici et maintenant ? Le pirate eut un soupir amusé. Manifestement ils n’étaient pas seuls à vouloir jouer, et l’australien accusa le coup. Est-ce que sa femme avait demandé à la Reine de l’aider dans la chasse qu’elle proposait ? Etait-ce encore un coup d’Aden ? Kanaka et Hisseo avaient-ils connu cet endroit ensemble comme le laissait entendre le dernier Dream Mag ? Il commençait à douter de tout. Cherchant un endroit pour changer d’étage, il se mit en route pour sortir de cette salle et trouver sa femme qui avait disparu...oh non, pas ça.


- Non...à l’étage du dessous, c’est la réception versaillaise et l’élection du Roi des Cadenas et de la Reine des Fouettés...de mon souvenir il faut un carton d’invitation, mais tout accès secret mène...dans les chambres royales et les donjons nobliaux...mon dieu, il faut que je fasse vite, très vite, encore plus vite que d’habitude…


Il parlait tout haut tout seul, un peu comme un Sorceleur qui est sur une piste chauffante. Parlant de ça, un plan large sur Enzo Mattiméo se faisant chevaucher par Mademoiselle Sacha, volontairement accrochée aux poignets, aux murs, en faisant onduler son bassin enflammé, ça vous dit ? Voilà, merci, de rien. Sur ce, El Franyipano del Fuego della Muerte Laorette se mit en route pour trouver des cartons d’invitation à la réception à la cour royale sado-maso. Et bien évidemment, une certaine personne bêlante était toujours invitée partout, en tous temps et en tous lieux...


Pendant ce temps, à l'étage du dessous...Laora arriva comme une fusée - comme à son habitude, dans un bal costumé avec du clavecin, avec des cages dorés, des barres de pole-dance dorées, des gens habillés tout en cuir ou en latex, avec des masques vénitiens en cuir également...On enleva les cordages pirates qui la retenaient au-dedans de son corps, on la caressa un petit peu, histoire de tester la marchandise, et on l'amena devant un couple pour le moins étrange, qui trônait...sur un trône fait de corps enchevêtrés qui faisaient des choses et d'autres, de la plus pénétrante à la plus torturante. Morsures, griffures, colliers, chaînes, embrassades, pénétrations à plusieurs, tout était possible sur ce trône depuis lequel le couple toisait la brésilovass...en s'attardant bien sûr comme l'assemblée dansante sur son petit boule d'Epinéphrine...

Le couple

Spoiler:


- Voici donc la petite protégée de Môsieur "PâleTrou" Lancaster...la Reine vous attendait avec impatience...
- ...Et volupté...votre chambre de jeunes mariés est prête, miss, mais pour l'avoir, la Reine a demandé à voir...si vous en étiez...
- Alors répondez...en êtes-...
- ...-vous ?
- Dites à Merlepole...
- ...Ou à Bailanote...
- ...Si vous en êtes...
- Ou pas ! Hi
- Hi !


Merlepole et Bailanote, deux lords du Royaume du Cuir, en charge de l'accueil des invités, de la bonne tenue des bedrooms et également des déviants et des orgiaques invités. Réputés comme étant parmi les confidents de Kelua, les deux créatures avaient du fouet à revendre, et du piquant pas piqué du piment de Jalapenos...les vrais savent. Tandis que le couple se dandinait sur les barres de pole-dance à côté de leur trône de chairs (ou chairs of thrones), les invités se pressaient - littéralement - autour de Laora tandis que les deux lords la dégustaient déjà du regard.
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MessageSujet: Re: [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora   [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora EmptyMer 26 Jan - 16:12

«  - Pfff... »

La soupirante extériorisait une large bouffée d’air froide tout en agitant frénétiquement ses poignets de façon à se dégager du mécanisme perfectionné par son époux. Ses muscles se parant d’un léger rougissement à chacun de ses mouvement, une perle de sueur glissait sur sa peau de soie basanée, entre ses épaules et le long de sa moelle épinière, le temps pour la demoiselle d’essayer un dernier dégagement avant d’enfin rendre totalement les armes, non sans un soupir de contentement, d’acceptation.
Le mouvement des cordages avait ce quelque chose de berçant, sensuel et réconfortant, loin des petites brûlures qui striaient sa peau de petits coups d’électrochocs qui la maintenaient dans un état perplexe. Son cerveau refusait de lâcher prise, cherchant des yeux, des calculs improbables, une issue dans l’espoir de pouvoir s’extirper du sort qui lui était réservé.

Le paradoxe totale d’une demoiselle en aventure sur un territoire totalement inconnu, à la totale découverte de son corps, de ses sens qu’elles n’avaient jamais utilisés d’une manière aussi profonde et subtile dans un même temps. L’art du cordage érotique n’avait rien pour lui plaire, dans ce lieu, dans les formes inconnues et dans l’attente dans laquelle elle se trouvait.
Et pourtant, la captive arrivait, elle ne savait elle-même comment, à trouver un grand plaisir à découvrir autre chose que la dureté sans pareil des coups et des bandes rugueuses raides effrayantes qu’elle avait pu apprendre dans les théories et l’observation.

La pratique avait ce quelque chose de totalement différent, où elle finit par laisser tomber son indignation et sa petite innocence pure, au bout d’un souffle de résignation qui fut accueillit par le premier contact de son chasseur. A un doigt, index froid sur sa cuisse rougie de brûlures à force de frottements de cordes, à force de luttes et d’espoirs d’y échapper.
Au final, c’était mieux ainsi, se fit-elle la réflexion.
La résignation fit place à l’élégance de l’acceptation, ne serait-ce que par curiosité envers la suite qui se passaient dans les idées et les pensées de Frangipane, mais également par confiance, et par un début de reconnaissance sur son toucher qui se faisait un peu plus sensuel, un peu plus doux. Contrastant sur sa position musculaire qui lui tirait de plus en plus sur chaque membres de son corps qui était en total désaccord avec cette reddition.
Elle râla intérieurement, sur ce désaccord en essayant de penser à réduire son flux d’adrénaline naturel à cause de son grand état de peur, d’excitation, de plaisir et d’autres éléments paradoxaux.

Naturellement elle avait ses yeux perdus dans l’univers oniriques de la mer sensualité, les étoiles filantes du désir sur la toile peinte d’une nuit de plaisir, le corps revenant à l’aventure, les muscles se décontractant à chaque toucher, les pensées s’en allant sur les planètes aux pensées lascives, dépeintes aux couleurs de la tendresse.
Elle poussa un énorme soupire de soulagement, d’aise, de remerciement, le teint de sa chair hâlée recouvert par les toiles noires de ses bas sexy et les tissés blanc des cordages avait atteint une couleur rougie plus subtile du fait que la lutte n’était plus envisageable. A chaque seconde, la peau se tannait au miel châtain un peu plus naturel à chaque instant de relâchement.

Seul demeurait cette tâche à la fois de honte et de chaleur qui se dégageait de cet instant improbable sur ses pommettes et ses joues rougies. Observant de ses grands yeux d’amande bleutés, chaque gestes, essayant de ressentir sa peau, son aura et les intentions de son compagnon-maître, elle ne chercha même pas à se dérober où à ajouter quoique ce soit quand il essayait d’ôter son pantalon en lui caressant le crâne jusqu’à la commissure des lèvres.
Pantalon toujours trop raid, trop étroit qui ne permettait pas de descendre selon la bonne volonté du capitaine pirate, mais dont les paroles hypnotisaient totalement sa prise, qui avait commencé à avancer, dans un mouvement aussi tendre et doux, sa tête et sa bouche pour happer avec délicatesse les doigts de son époux entre ses lèvres et sa langue, comprenant et jouant avec l’avenir certain qui se développerait au gré de leurs envies. Jouant de passes et de caresses lascives avec les doigts, la langue, de succions légers sans paraître trop pressée, ni brutale, elle liait la tendresse et la douceur, le temps, la patience entre chaque baisers buccaux sur les doigts et entre les phalanges de son mari.
Sans doute ravi, leurs baisers l’a également été.
Ravit.

Par une chute de plusieurs mètres depuis le sol, qui devint un plafond, depuis l’intérieur d’un toboggan jusqu’à s’étaler comme une crêpe en bas d’un lieu hypra lumineux alors que la jungle avait été beaucoup plus sombre, remplit de bruits, d’un sol glacé et dur.
Le changement avait été brutale pour la demoiselle qui s’était apprêtée pour son mari, apprêtée… dévouée également en équilibrant son âme, son corps et son esprit pour parfaire leur moment… LEUR MOMENT !

En attendant, encore un peu perdue, du fait d’avoir sublimé ses sens pour apprécier le moment avec Frangipane, et d’en avoir versé un peu d’Adrénaline de manière à activer les cellules de la subtilité, là maintenant, avec tout ce bruit et cette luminosité, c’était comme avoir prit une énorme dose de LSD et entrer en plein délire ou le corps n’était plus en accord avec plus rien.
Sans parler des voix qui se dédoublait, et le bruit qui lui faisait mal à la tête.

«  - huummm… Aoutch ! »

Un œil fermé, l’autre ouvert, elle se mit en position de tailleur, en se grattant et massant le crâne le temps de refaire bouger ses muscles, et de les réchauffer après cette descente de température soudaine et douloureuse.
Elle sentit quelques caresses et en contrepartie il n’y eut que des revers de mains et des répliques assez cinglantes du genre :

«  - Le prochain qui me touche il se prend les miennes dans la gueule ! »

Ou encore :

«  - MAIS PUTAIN JSUIS PAS CONSCENTANTE CASSE TOI ! »

Revenue putoise gueulante, qui l’aurait cru qu’elle s’était faites pattes de velours et biche d’abandon et de luxure il y a à peine quelques secondes ?
Elle se mit debout en dégageant les cordes et le restant des morceaux de Frangi, avant de se faire pousser-accompagner devant deux personnages assez bizaroïdes.
Très simplement…
Le premier qui la poussa, même gentiment, se prit un droite, genre monstrueuse, avec pulsion d’Adrénaline dans le coude, ce qui eut pour effet de déboîter une mâchoire et d’envoyer la tête de la petite créature s’étaler contre un mur, avant de repeindre la couleur or en rouge, quand au deuxième qui avait comprit et avait retiré presque à temps sa main du cul de la « marchandise » il se prit un coups de pied du coups de pied sur la tête, ce qui l’envoyait valdinguer littéralement sur l’espèce de trône de chair où tout l’univers BDSM semblait s’activer en énorme orgie pour former un trône.
Sous le coups de pied footesque magnifique de Ronaldin… Laora, le trône vacilla, et la créature fut avalé toute cru par quelque chose de vachement moins classe et délicat que ce début de texte.

Le regard cette fois noir, les phalanges redressés comme les griffes d’une tigresse prête à déchiqueté le danger devant elle, la Brésilienne comprit qu’on en voulait à son cul.
Déjà par les regards mortifères pour certains -jalousie oblige- et envieux pour d’autres. Sans parler du duo dégueulassement habillé en cuir, qui lui causait.

La ligne du lion s’inscrivant depuis son front nimbé de colère, le nez retroussé jusqu’aux commissures, retroussés en dévoilant légèrement le blanc de sa dentition prête également à déchirer ce qui se présentait à elle, Laora observait les deux trucs dégueulasse de bas en haut avec ce regard indigne et hautain, signe qu’elle n’épargnerait personne.
Ce même regard qui avait Transpercé Abby, Enricco, Abso Paolo… Et qui avait fait sa renommée au Nécro'mag Et qui maintenant fixait les deux trucs qui faisaient du pole Dance.

Ca C’était des émissaires de Dominatrixxx ? Ca c’était des confidents de son fils adoptif Kelua ?
Elle tourna sa tête de la droite puis vers la gauche d’un mouvement négatif.

«  - Non mais vous vous prenez pour qui? Le prochain qui me touche, directement ou indirectement il fera partit de la Nécrologie de Dreamland. Et ça, c’est pas un choix. »

Ajoutant en pestant :

«  - Sans déconner… Les Français, tous les mêmes ! Avec votre fierté en blingbling et vos fausses manières royalistes vous me faites gerber !  Commencez par votez Humain et Socio avant d’essayer de dépenser le fric que vous avez jamais eut, bandes de connards.»

Pensée pour Tristan et la moitié des voyageurs qui étaient dans ce hall versaillais qui venaient d’avoir une attaque cardiaque foudroyante à leur fierté.

«  - Et sans dec, une chambre ? »

Ajoutait-elle en dépassant le tas d’orgie qui la fixaient en mode «  OMG » sans se préoccuper des singes qui habitaient les dessous de la jungle.

«  - On a pas besoin de ces conneries.
Par contre si Dominatrixxx souhaite discuter, y a pas de soucis, mais en attendant je vais essayer de retrouver le chemin de Mon Mari, pour me purifier les oreilles et les yeux avec vos conneries. Déjà que Kanaka m’a flingué mon mariage, maintenant c’est Domdom qui me flingue ma nuit de noce… C’est quoi leurs soucis… On dirait qu’ils se sont tous leagués avec Kelua pour savoir lequel à eut l’idée la plus pourrave pour nous faire regretter de revenir à Dreamland. Bah vous savez quoi ? Continuez ! Continuez à nous faire chier et votre monde on le laissera entre les mains d’Edenia ! La pour sur du fist blanc et propre vous en aurez bandes de chacals !  LA POUR SUR QU’ON REVIENDRA PAS 


Tout cela dit sous une espèce de force de rage mêlé de colère, avec les grosses larmes du dégoût qui trahissaient son corps de jeune maman tendu qui n’en pouvait plus de combattre les créatures des abysses et de se faire bolloss par des rois et reines, sans parler de Bakerloo qui en avait rien à foutre de la vie privée des …. DE TOUS EN FAIT. Laora en PLS de ne pas pouvoir se faire tringler comme elle pouvait et maintenant qu’elle avait goûter à ce petit bout de liberté corporel et mental, elle rageait qu’on l’ait délibérément dérangé.

Elle allait continuer à rétorquer et à répondre en marchant vers la sortie de la pièce Versaillaise devant le petit assemblé de cuir et de créatures qui étaient devenues bouche bées, cependant un ballot BDSM vint se caler inopinément dans la bouche de Laora en refermant une charnière derrière sa tête. Ses mains qui allaient retirer le baluchon se retrouvaient avec des liens d’acier à crocs qui mordaient sa peau à chaque pensées ou paroles qui était de trop.
Elle afficha une mine blasée en observant la personne devant elle avec un œil hagard et mauvais…
Inutiles de préciser qu’elle se prit une bonne douzaine de morsures sur ses mains et poignets, qui rependaient un peu de son liquide vitale le long de ses dentelles noirs.

Mais que faisait le mari? Le chasseur avait-il trouvé une autre biche en se lassant de cette première chasse?
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Le Trader

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MessageSujet: Re: [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora   [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora EmptyJeu 27 Jan - 23:11

- Allez Adeeeeeeen-heuuuu !!
- Nyon.
- Allez quoi, c’était pas ma faute le coup du gorille !
- Nyon.
- Mais allez, fais pas ta mauvaise chèvre, je t’ai dit que j’étais désolé !
- Nyon.
- Bon...si tu le fais pas pour moi, fais-le pour Laora.
- Nyon.



Aden, couché.e sur le sol de la jungle, les bras croisés sur son torse, boudait comme une vraie Laorette de compèt. Mécontent.e de sa situation et de sa mauvaise expérience avec le gorille fisteur, la chèvre la plus connue de toute la piraterie foudroyait Frangi d’un regard à la fois noir et rempli de désirs fugaces...mais bien vivaces, comme si son aventure malencontreuse avec l’animal qui gisait démembré, et pas de la plus belle des manières, l’avait chauffé.e. Croisant les bras et jouant avec ses boucles blanches, iel semblait réfléchir à la manière dont il tuerait le voyageur des bateaux, ou alors si sa poutre apparente était pour lui.elle ou pour son amante à la peau mate si tentante. Aden préféra garder le silence, balançant ses « nyon » à la face du pirate qui ne savait pas comment s’en sortir. Il lui fallait ce carton d’invitation. Et il fallait le cuir de fidélité, qu’il n’avait plus depuis un bail. Aden, par contre, en possédait deux ou trois, le sien propre et celui de quelques conquêtes qu’il avait buté. Iel avait du mal à retenir son caractère de prince.sse qui pouvait péter un énorme câble à cause de la jalousie, tromperie ou vernis en désaccord avec son gilet ou sa redingote. Frangi se passa une main sur le visage, le front pour se calmer, et envisagea une autre stratégique face à la chèvre qui allait le faire devenir comme elle. Lol.


- Bon...je vois que tu es décidé.e à ne pas m’aider...c’est dommage, c’est vraiment dommage...après tout ce qui était prévu…
- …



Frangi se releva, l’air désolé, un œil sur la réaction d’Aden qui avait quand même tressailli. Le voyageur connaissait la manie de l’autre de ne rien vouloir manquer, de vouloir tout savoir, non pas pour avoir du pouvoir, mais tout simplement pour le plaisir de faire la commère et de bitcher dans le dos de quelqu’un qu’iel connaissait.


- Ahlala, c’est Laora qui va être déçue...après tout ce qu’elle avait préparé pour toi, et ce qu’elle a vu de ce que j’avais en tête pour ce que tu sais...non vraiment, c’est terrible...mais bon...haaaaaa que veux-tu...je comprends que tu m’en veuilles, après tout. J’assume, écoute.



Aden venait de relever une oreille de chèvre sur le côté gauche de son crâne, les yeux écarquillés et suivant le rythme des ponctuations évasives du Frangi. Iel se mit à hocher la tête en suivant les syllabes du pirate, un grand sourire commençant à s’étirer au fur et à mesure du marathon que le pirate était en train de lui faire courir. Se levant, Aden voulait prendre son ami dans ses bras mais iel écoutait encore ce qu’il avait à dire, les yeux encore plus révulsés par le désir de savoir de quoi l’autre parlait. Frangi, à moitié tourné, faisait toujours attention aux réactions de la biquette, comme il savait si bien le faire lorsqu’ils étaient encore ensemble sur le même navire.


- Non puis bon...c’est vrai que c’était volumineux comme préparation, on a vu trop gros, mais c’était pour faire plaisir, pour faire du lien...pour se retrouver entre nous, quoi, tout simplement. Non je comprends vraiment que tu sois vexé...j’aurais eu besoin de ce carton d’invitation pour retrouver Laora et finir le taf, mais on a merdé, c’est vrai. Bon, on s’appelle c’est ça ? Allez.
- ATTENDS C’EST BON J’ACCEPTE ! C’EST QUOI QUE VOUS PRÉPAREZ ?




***




Quelques minutes plus tard, le pirate et la.e pirate arrivaient à l’étage de la réception versaillaise. Frangi avait déjà été chargé à la surveillance de la zone quand il créchait ici. Un territoire de jeux pour les nouveaux lords, et un bon moyen pour se faire respecter et aussi pour être tranquille avec la suite des boulots à faire dans le Royaume, étant donné que c’était la pire zone. Et pour cause, ici on tentait toutes les expériences et toutes les folies qu’un esprit un peu déviant pouvait rêver. Frangi était accosté par tous types de gens, on lui caressait les épaules mais pas longtemps car Aden et quelques canons qu’il mettait dans les bouches des gêneurs et gêneuses étaient suffisants pour rester tranquilles. Aden virait ceux et celles qui venaient vers lui, toucher sa chevelure ou sa tenue. Iel giflait et envoyer des répliques cinglantes, comme s’iel le roi.reine ici, comme à son habitude. On ne dira pas que ça a fini deux trois fois en baston rapidement terminée, mais disons que deux pirates pour un seul Versailles, c’est bien suffisant.

Ils arrivèrent dans la salle du Chairs of Thrones, dont la population venait de connaître la furie d’une Lancaster toute juste mariée. Frangi eut un sourire en contemplant le spectacle de l’énergie de sa femme, et avisa Merlepole et Bailanote. Aden, par son langage corporel très clair et son air patibulaire, dents serrées, sourcils froncés à la Végéta et sabre d’abordage couvert de sang, bottes de cuir qui avait des bouts de cervelles encore accrochés...voulait en finir et tuer tous les peigne-culs et les traine-cravaches des lieux. Mais le voyageur se mit devant iel et prit la parole, en faisant claquer son aura meurtrière car plus il observait les lieux orgiaques et teintés de sang(s), moins il trouvait sa Laora-à-chasser. C’était sa proie à lui, et uniquement à lui.


- J’ai deux questions, les amis. La première, où est ma femme ? Et deuxièmement...vous vous croyez assez puissants pour me stopper ici ?



Merlepole agitait ses cheveux et leva ses lunettes de soleil une demi seconde. Mais c’était une demi seconde trop tard pour placer le pirate sous son emprise. Il était déjà derrière elle et venait d’enfoncer un mât dans son bide, devant Bailanote qui avait le sabre d’abordage d’Aden sous le coup, et cette fois, la chèvre était dans un état de rage avancé. Tout simplement parce que, quand on navigue ensemble sur les mers, on ressent l’aura de son camarade d’équipage, et on part avec lui à l’abordage, avec la même hargne et la même intensité. Aden avait presque mécaniquement suivi Frangi, qui finissait Merlepole et qui se mit à regarder Bailanote de toute sa hauteur.


- Je dois répéter la première question ?


Le lord de la réception versaillaise se mit à trembler comme une feuille en voyant le pirate détruire sa collègue. Il enleva son masque de pics et de cuir en criant et en dégageant du pied les corps entreposés sur le trône. Il montra une porte dérobée du bras en jurant qu’il n’avait rien fait à la jeune brésilovass.


- Elle est partie de là, c’est un fauve cette fille, elle est ingérable et personne ne doit la toucher, on avait jamais vu une telle lionne avec autant d’insultes envers d’humbles adultes consentants et respectueux…
- Tais-toi, ou tu finis dans ma cale. Et pas comme t’aimerais.
- Ouais, même pas comme j’aimerais finir dans sa cale, surtout pas.
- TG Aden.



Soudainement, un cri retentit du côté de Laora. Bailanote eut un rire sournois et annonça à Frangipane qu’ils avaient laissé la jeune voyageuse de l’adrénaline partir pour une bonne raison. Ils étaient deux lords présents à l’étage, mais une ancienne Madame de domination, une spécialiste, une créature de la Domination, présente depuis longtemps dans le Royaume, allait intercepter Laora pour lui faire connaître les vices et coutumes des lieux, mieux que le Frangi. Ce dernier prit la cagoule de pics de cuir de Bailanote et l’enfonça dans sa bouche, en l’obligeant à la manger entièrement. Puis il se mit en route vers le cri. Il ne connaissait qu’une Madame dominante à cet étage...il fallait faire vite, très vite.


- Aden, tu as eu des nouvelles de la Directrice Jessica ?
- Non, on disait qu’elle avait pris sa retraite.
- Elle était spécialisée dans les sessions enterrements de vie de jeune fille, non ?
- Oui, pourquoi ?
- Parce que je ne crois pas que Laora ait fait le sien…
- Ah…



Il se mit à tracer comme s’il avait Aden au cul. Wait...non là l’image ne marche pas, attendez. Bon trop tard ! Frangi refusa d’abandonner sa dulcinée au moins d’une vieille maquerelle qui allait la souiller. En plus elle était déjà mariée ! Il prit de l’inspiration et utilisa du bois pour faire une caisse de résonance.


- LAORAAAAAA JE VIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIEEEEENS !!


Et tout le Royaume se mit à trembler. Ouep, rien que ça !
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MessageSujet: Re: [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora   [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora EmptyVen 28 Jan - 13:15

La créature s’était penchée du haut de ses talons d’une douzaine de centimètres en toisant l’assemblée Versaillaise d’une posture des plus hautaine, levant la cambrure de ses reins en poussant sur ses épaules pour sortir sa poitrine pratiquement hors de son bustier de tissus mauve, les mains tenues sur chacune de ses hanches arrogantes, elle surplombait totalement l’ensemble des personnages présents.
Dont Laora, baîllonnée, les mains aux prises dans de mystérieux gants cadenassés dotés de crocs qui lui bouffaient la chair et aspiraient son sang à chaque fois qu’elle osait lever un regard trop noir, ou avoir une pensée trop funeste envers la créature devant elle.

Dans tous les cas, la salle avait fit silence, lugubre et à la limite du funeste à son apparition, ce qui avait l’air de complètement plaire au personnage qui venait de sortir de la porte, au fond du couloir sombre des miroirs de Versailles.
Une porte de glace au beau milieu des miroirs… Si Simon devait chercher la porte menant au repère de Jessica un jour, autant dépenser son temps et son énergie à trouver un Kelua dans milles tableaux en son portrait, au moins là il y avait une chance de remporter le jeu des trouvailles.

Affichant un air blasé, ne pouvait ni parler ni cogner du poing, comme chaque membre d’épinéphrine savait parfaitement le faire, elle patientait en observant par milles calculs et stratagèmes, la chose qui se pointait devant la sauterie Française, non sans une légèèèèèreuh pointe d’amertume et de colère sur la chair tendre du palais de notre Reine Pirate.

« - Je n’ai reçu aucun de vos cartons d’invitations… Je suis blessée !
En convenance, Vous n’y verrez aucune objection de ce fait, à ce que je m’accapare totalement, et de droit, de la raison de votre… Réunion, petites vermines. »


La créature nommée Jessica la Dominante poussa un rire effroyable avant de faire quelques pas en avant en faisant bien sur trembler l’assemblée et de la faire reculer, tandis que ses longues griffes, ongles vernis de mauve aux cimes rouges, se plantaient dans les cheveux, jusqu’au crâne de Laora.
La créature semblait avoir des yeux derrière un fin bandeau de soie noir, mais même en poussant l’adrénaline au calcul, il était impossible de noter avec précision ce que la créature semblait faire, il n’y avait que sa gestuel, ses paroles et son comportement qui indiquaient les événements assez… imprévisibles… Dont Laora se méfiait.

«  - On va bien s’amuser… hin hin hin… Tu y penseras chaque nuit et à chaque réveil, ton Jules ne sera qu’un détail à l’avenir…  »

Pas le temps de rajouter quoi que ce soit que la Brésilovass lui balança un énorme coups de tête dans son bandeau. La cible était noire sur peau blanche et il était impossible pour Laora de la louper vu sa proximité. On entendit un énorme « CRAC » et la tête de la créature fut projetée en arrière et sous la force de l’adrénaline, Madame Jessica du reculer de quelques pas pour conserver son équilibre sur ses hauts talons.  (19 adrénaline-16 force)
Il y eut quelques exclamations, les mots « sauvage » « fauve » et « indomptable » fut quelques peut prononcés en bas murmures, tandis que la demoiselle de l’adrénaline fit craquer son cou de la droite vers la gauche en sentant de nouveau la pleine puissance de son adrénaline fluctuer dans chacune des parties de son corps tel le plus brûlant des cours d’eau.


Bien sûr que les poignées continuaient de lui bouffer le sang puissance mille, mais à croire que le danger des menottes n’étaient pas pour augmenter la rage et son état berzerk, et en sentant une telle puissance monter en elle, ses bras se tendirent d’un coups, ses muscles boostés finirent par répondre à sa volonté et ses deux énormes poings vinrent à frapper le sol avec une puissante et une intensité qui vint à briser les carreaux, valser le cuir et faire voler les morceaux de métaux en forme de crocs qui avaient striés sa peau de morsures profondes et parallèles, telles de véritable mâchoires de loup.

Laora allait avec rapidité et fulgurance renvoyer un coups dans les dents de la créature au nez cassé, néanmoins elle n’en eut pas le loisir et aussitôt libérée, aussitôt de nouveau en cage, le bâillon toujours en bouche. La cage était composée de cuir et de boucles qui entouraient le corps de la demoiselle d’une manière à la transformer en rôtit de chair, dont les bandes rugueuses étaient encore plus compressées que les cordages du voilier tant aimé.

Le nez de Laora émit le millième soupir de la soirée et loin d’être le dernier en expirant de toute son âme sa colère de non-consentante, autant vous dire qu’avec l’adrénaline boosté dans son corps, on pouvait nettement voir de la condensation sous forme de buée sortir depuis ses narines brûlantes, oui oui, un peu à la façon d’une dragonne attrapée vulgairement dans un crétin de piège.
Manquant d’équilibre elle se vautra littéralement au sol, pieds en bottes joint et Jessica eut juste à saisir la poignée sur son dos pour porter son petit cadeau du jour jusqu’à ses appartements personnels, non sans cette fois porter des insultes à l’encontre de Laora, qui récidivait d’insultes sous formes de «  HUUMM HUMMPPFff !!! » bien compréhensifs et dont l’assemblé en semblait hilare.

Une porte de verre dans un mur de verre, de quoi perdre la tête en plus de l’orientation que Laora n’avait pas et totalement entortillée elle ne put rien faire pour marquer son emplacement, si ce n’est qu’une petite idée lui vint à l’esprit et tant pis si cela allait être l’un de ces derniers moove de la soirée.
Elle imita Aden, en faisant des bonds de cabri dans les cuirs entrelacés jusqu’à en faire mal aux bras la dominante qui se mit à pester et à l’insulter en essayant de la passer par la porte non sans retenir son nez cassé qui cascadait de sang depuis le milieu de son visage voilé jusqu’à sa poitrine en parsemant même Laora de son propre liquide vitale.
Satisfaite… Laora vit les quelques goûtes de sang gerbant du nez de la créature s’aligner et sur le sol et sur la porte, preuve suffisante que la biche s’était faite capturée dans les parages… A savoir si le mari allait être assez intelligent pour reconnaître la porte et la défoncer, c’était encore autre chose…

De ce fait, une fois calmée par la fatigue, les liens étroit et surtout… par une claque immense sur son cul… Chose qu’il ne faut jamais faire sauf s’il on s’appelle Simon où Koda… wait… la Dominante ferma la porte en jetant Laora au sol, non sans se prendre la main claqueuse entre ses doigts pour tenter de la masser et d’y refaire circuler le sang.
Le cul de Laora pulsait tellement en adrénaline (19 quand même ! C’est mon ptit moment de gloire et du renommée national du Cul de Laora !) que Madame Jessica s’était faite une entorse en mettant une fessée, même pas bien méritée… Elle qui n’avait même pas mise toute les intentions et toute sa force dans la fessée, dû se remettre rapidement et bien vite en question sur son existence et ses facultés de dominante retraitée avant de trouver autre chose pour dompter la Tigresse Brésilienne.

L’idée fut simplissime, elle invoqua de nouveaux cuirs en liasses, créa une laisse et un collier qu’elle ajoutait au niveau du cou de la demoiselle avec la force de sa volonté et, traîna sa prise au sol. Laora avait beau se débattre, le sol était froid et la morsure déplaisante du cuir sur sa peau la fatiguait d’autant plus que son trajet de tirer-à-la-laisse lui brûlait la peau sur le sol. Sans parler du sentiment d’être un Clebs, sa fierté en prit un putain de coups.
Elle fut traînée sur un long couloir de dalles blanches, aux multiples peintures de chasses marines à la baleine, à l’Orc Fushya et à Maggy Craby, cherchez pas, c’est la bonne référence.
Intelligemment elle faisant le poissons en s’étirant volontairement de la droite et vers la gauche pour allonger les traces de sang sur le sol de façon à réellement créer un jeu de fléchette vers sa direction de kidnapping.
Le couloir n’était pas si long que cela et au fond on voulait entendre une musique assez spéciale en son genre et enfin, un rideau de fer.


Puis derrière le rideau de fer, un rideau Portugais c’est à dire de longues cordes avec des boules de verres accrochés tous les centimètres, puis un troisième rideau de soie mauve, puis un lourds rideau de velours rouge qui fit place à une lumière tamisée bleutée menant à un énorme espace-pub de pole danse, de rambarde de danseuses avec strapontins et étages à show de steap-ties.

On sentit un énorme tremblement de terre, secousse qui arrêta la dominante qui se tournait ver sles portes avec un petit sourire sur le coté. Laora blasée ne nota même pas que Frangi son mari était à quelques pas d'elle et essayait de s'évertuer à la retrouver... Pour une fois que les roles de la princesse barbue était inversé! Oui Laora est barbue, mais on ne vous dira pas d'où!

Autant vous dire que quand la Brésilovass arriva dans les lieux, elle remarqua qu’il y avait déjà UNE personne non-étrangère à sa mémoire, il s’appelait comment déjà ?
… FURIOSO ! L’enfoiré d’ancien pirate de ce très cher connard d’Hisseo et ex d’Aden de surcroît si la mémoire de la Brésilovass était bonne.
Toujours était-il que les iris et les prunelles de la belle étaient ronds comme des billes mais lâchaient toujours des éclairs, des tempêtes et des échos d’une noirceur terrible à quiconque la matait.
Et le cul toujours bombé, elle avait ordonné à son corps d’adrénaline de mettre tout le reste de son adrénaline sur et dans son cul pour péter les ustensiles et les mains de quiconque lui toucherait son royale postérieur.

Il se passa quelques minutes ou la dominante parla a voix haute en ordonnant la mise en tenue légère « slip¬hing » pour la nuit d’enterrement de jeune fille d’une donzelle déjà mariée à l’un des fidèles-infidèles de Domdom.
Puis, après avoir augmenté la musique, furioso en se grattant la tête opina du chef avant de se mettre lui-même à faire ce qu’il savait mieux que personne, à savoir sa version personnelle du streap-ties, d’autres créatures se mirent à danser de manières sensuelles et érotiques… en amenant des jouets précis et en les éparpillants autours de la Dominante pour son amusement... Personnel.

Jessica éclata la tenue de Laora en milles pièces de tissus volant et à l’aide d’un fouet de cuir à cent pointes la fit se placer sur un tube à pole danse, non sans attacher la laisse du cou au niveau de la barre et en faisant en sorte de resserrer le collier autours du cou de Laora à chaque geste suspect: Un nez péter ça allait bien!
Laora passa un certains temps, culotte de chasteté et rien d’autres, boobies à l’air, cuir de dominante en collier et bâillon en bouche, à faire des exercices de pole-dance assez sexy tandis que la dominante, morte de rire, continuait à cingler le dos et faire saigner Laora à chaque faux mouvements ou mauvais mouvements qu’elle faisait... Sans parlait qu'elle alternait avec chaque effet de ses jouets multiples aux formes diverses et aussi variées que leur textures...

Laora recevait des ordres du genre de sourire au publique, de le saluer… elle répondait en jurant: « MFUCKMMHPF » entre ses dents et en faisant courir des doigts d’honneur tandis que son corps semblait bouger tout seul à cause de ce putain de cuir ...
Jusqu'à ce que le râle du mâle retentisse partout et que Laora s'arrête tout à coups de danser, le collier se resserrant jusqu'à plus d'air.
La Dominante se plia sur elle-même en mourant de rire, avant de faire un pari débile avec Furioso sur l'arrivé du mari et de son ex.
Laora dans son étouffement et sa suffocation ne pu pas très bien comprendre et du se résigner à combattre pour continuer à danser, l'oeil rouge de haine, de colère et de honte, la larmichette rose de sa sensibilité commençait à couler, sans parler de son cou qui devenait rouge à chacun de ses mouvements.

Il devenait important pour Simon d'arriver rapidement, pauvre petite chose fragile qu'était Laora!

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Le Trader

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MessageSujet: Re: [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora   [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora EmptyLun 31 Jan - 10:51

Le royaume se mit à trembler, et pour cause, on avait mis en colère la mauvaise personne, comme souvent dans Dreamland. Le Frangi aurait pu être parmi les Kaysers, s’il n’avait pas passé six ans sous la mer à se toucher la corne d’Aden. Laissant son corps exprimer des émotions à sa place, il fit apparaître de manière incontrôlée une armade sur sa peau, en modèles réduits qui s’agglutinaient sur ses pores, tout autant de navires qu’il avait pu intégrer à son corps d’avaleur d’épaves. Oui c’est bourrin, vous croyez que les Caesars l’avait recruté parce qu’il était simplement australien ? Mauvaise réponse ! Nul ! Frangi courait dans un palais de glaces qui devenait petit à petit un enfer de labyrinthe. Partout son reflet, sa peau d’acier, de bois, de voiles, de canons, il était cette chose horrible, née pour tuer, pour défoncer quiconque se mettait sur sa route. Etrangement, il repensait à ce qui lui avait dit et répété Akmon quand ils étaient plus jeunes. Il était une machine à tuer, une abomination que seul Dreamland sait faire émerger à la surface des conflits. Une horreur, qui avait du sang de la cale à la vigie. Bon, l’autre essayait de le transformer en assassin, et suite à ça l’australien avait quitté la compagnie du jamaïcain, après un combat d’anthologie, oublié, au Royaume des Titans. Mais leur souvenir de leur discussion restait tenace, quant à la nature du pirate, nature visible face à autant de miroirs, tant et tant que même Aden avait des frissons de peur et de la crainte en voyant la mort se porter avec autant d’aplomb main et de volonté de fer. Frangi envoya son poing de batterie de canons dans un miroir en hurlant. Il se voyait, oui, peut-être, mais dans sa tête, il n’y avait que le sourire de Laora. Les cheveux de Laora. Le petit nez retroussé de Laora. Les bras de Laora. Les hanches de Laora. La voix de Laora.


- Oui oui on a compris, Roméo...maintenant il s’agit de la retrouver, ta Juliette. Enervée et énervante comme elle l’est, elle ne doit pas être bien loin derrière ces miroirs. Jessica l’a mauvaise du fait d’avoir été reléguée...mais tu dois connaître ses habitudes. Essaie de te concentrer et de sortir tes meilleurs capacités, Simon Lancaster !! Sinon je m’occuperai de ton cas, comme je le faisais quand tu étais petit !!


Aden était passé.e du côté maternel de son personnalité et venait de mettre une gifle verbale au pirate. Malgré les sous-entendus grivois et ses avances malsaines, Aden était aussi quelqu’un qui s’était occupé.e du gamin Frangi avec tout l’amour inconditionnel qui l’habitait. Iel lui parlait quand ça n’allait pas, iel savait le remettre en place avec bienveillance, et surtout Aden avait ce talent d’écoute patiente et attentive qui le.a rendait si attachant.e. Juste après la mise au point de la tenancière de Délivrance, Frangi sentit un lien fort avec sa femme, venir du tatouage. Un mal de crâne, qu’il pouvait tracer aisément, s’il suivait son instinct...ou son coeur ? Il fronça les sourcils et décida de passer à la vitesse supérieure. Laora était manifestement en train de se battre contre Jessica, et la simple idée que sa dulcinée souffre le mettait dans un état de rage avancé...il commença à grandir, devant les yeux écarquillés d’Aden qui murmurait des « non non non non non non non non non non... »



**


Dans la salle de strip-tease, Madame Jessica, dominante retraitée, et Furioso, qui prenait du bon temps pour la première fois depuis sept ans, savouraient le spectacle de la jeune pirate qui servait d’excitant à toute la bande de créatures qui venaient mater et prendre leur pied sans toucher, comme de coutume. Les cris successifs gutturaux qui résonnaient dans les murs étaient couverts par de la musique, et par les jeux. Jessica savait comment recevoir, et on ne parlait pas que des cocktails et des artistes de strip-tease qui s’agitaient autour des barres de pole dance, bien évidemment.

Cependant...l’instinct de Furioso reprit le dessus. Il avait l’habitude de sentir les montées de pression, l’approche des tempêtes ainsi que des voyageurs qui pouvaient casser un navire comme le Kael en deux. Il avait eu la charge d’anticiper les allées et venues d’Akmon et Stella qui déposaient ou reprenaient le petit Frangi à l’époque, car même Hisseo flippait de leur duo quand ils s’y mettaient et qu’ils avaient décidé de la jouer mexican stand off. Et là, Furioso avait la même sensation, qu’une tempête approchait. Ca criait tout autour des appartements personnels de Jessica, et le même cri résonnait dans les murs et faisait trembler jusqu’aux liquides présents dans les verres. Il regarda Laora avait inquiètude et une phrase parcourut son cerveau et son échine : n’étaient-ils pas allés un peu trop loin, cette fois ?


- BOUC-EMISSARIAT DES ENFERS !


Le cri qui annonçait sa technique-signature fit s’arrêter la musique. Un bras de laine venait de traverser un mur pour attraper le cou de Furioso. A l’autre bout de la main, Aden approchait, version féminine, sa chevelure blanche enroulant toujours plus ses boucles lissées à la perfection. Furioso tenta de saisir ses armes et d’utiliser son pouvoir, mais Aden se téléporta devant lui et l’enfonça au sol avec toute la violence qu’elle pouvait déployer. C’était pas la Reine de Délivrance pour rien, quand elle s’y mettait. Furioso traversa l’étage et tomba dans une chambre égyptienne avec des sarcophages qui accueillaient deux personnes et des animaux. Sautant dans le trou qu’elle venait de causer, Aden fit rugir son aura meurtrière et sauta à pieds joints sur son ex qui n’arrivait pas à reprendre ses esprits. Un combat entre pirates pouvait aller très loin dans la vengeance et la douleur infligée, c’était sans pitié ni pourparlers. Surtout, Aden n’avait pas supporté la vision de Laora enchaînée les boobs à l’air, alors que c’était à elle que devenait revenir ce luxe ! Enfoiré de Furioso, toujours à se rincer l’oeil et pas que !


Le public allait se masser autour du trou, comme avec la mère de Pascalin, mais c’était pas du tout du tout la bonne idée, car le nouveau Seigneur des Pirates était en train de passer par le premier trou dans le mur, créé par le bras de laine d’Aden. Haut de 3 mètres, il touchait presque le plafond. Son corps était composé d’une multitude de bateaux, tous plus effrayants les uns que les autres. Simon Lancaster fit son entrée dans la salle, avec le sang récupéré dans les couloirs et les portes, là où Laora avait été traînée. Son tatouage qui la reliait à elle était en feu et sentant le vieux rhum. Le visage de Frangi avait disparu dans une multitude de voiles et de canons, et son corps avait la forme du tir de barrage, mais tenu, sur le long terme. Jessica avait d’abord eu un visage enjoué en le voyant arriver, mais elle déchanta vite. Très vite. D’un coup de rame tranchante, Frangi découpa le public sans se poser de questions, et le pouvoir de la Rame du Dernier Trirème, de l’époque du Royaume Hellénistique, envoyait toutes les victimes ramer dans la rame, lui donnant plus de puissance et plus de force au tranchant. Il poussa un nouvel hurlement en voyant l’état de Laora, son sang couler abondamment et Jessica qui la tenait en laisse, en cuir, en fouet, et tout ce que faisait ce royaume. Jessica se mit en place et commença à invoquer des colliers et des baillons de taille suffisante pour maîtriser le Frangi, et elle essaya de gagner du temps.


- Tu ne m’as même pas invitée à ton mariage, mon petit Simon…après tout ce qu’on a vécu tous les deux, à l’époque où j’étais sans rivale...tu as oublié ta bonne amie Jessica mais je te saurai gré de…


WOOOOOOOOSH…



Le temps qu’elle parle, Simon avait chargé des coups de canon sur ses jambes et il venait de se téléporter d’un coup massif de canon sur elle, et envoya une figure de proue composée de centaines de figures de proues, en forme de poing, droit dans la face de la Madame, dont les os du visage craquèrent sous le choc. Elle fut envoyée dans le décor de ses appartements, et son visage déformé mit du temps avant de se reformer. Capacité de toutes les créatures dotées d’un minimum de puissance, originaires du Royaume de Cuir. Le choc était de taille pour Jessica car le coup, en plus de faire rentrer la partie avant de son visage sur lui-même, était sonnée, et pas qu’un peu. Frangipane avait mit une force de soudard, de marin-pêcheur, et pas que dominateur ou amateur de cuir-moustache. Non, avec la puissance qu’elle venait de se prendre, Jessica comprit immédiatement un fait qui lui donnait envie de fuir la zone au plus vite : d’une manière ou d’une autre, la vision de sa femme dans cet état rendait le Frangipanus complètement ingérable et perdu pour la nation du cuir.


Au milieu de la salle, marchant à pas lents vers Laora, le mari grognait petit à petit. Laora pouvait sentir au fond du fond de tous les bateaux présents en petit format à la place de son corps humain...elle pouvait sentir...des sentiments mêlés. Simon était dans une rage sourde, une colère extrême, et une douleur énorme traversait son coeur. Il souffrait, plus que qui il était devant elle, que de ce qu’il voyait d’elle. Mais ce qu’il voyait d’elle le rendait encore plus horrible, et ainsi de suite sa douleur donnait encore plus de transformations et de navires qui le déformaient pour détruire encore plus fortement tout obstacle. Il arrivait devant elle, et par le tatouage, mais aussi parce qu’elle était sa femme, Laora pouvait sentir la puissance brute et la rage inexpugnable de son homme, mais il n’y avait pas que ça. Au fond, tout au fond de lui, elle pouvait aussi sentir que les sentiments de destruction et de sauvetage entraient en échos à la présence de Necronomignon, si bien que certains navires s’obscurcissaient et Frangi laissait un peu trop libre cours au pouvoir obscur qu’il avait enfermé en lui. Il hurla dans la salle et fit tomber les tableaux, brisa les verres avec son aura, tandis que Jessica revenait vers lui, avec des godes-katanas et un kaléidoscope de fouets à crocs pour l’enchaîner pour de bon. L’énorme masse du Frangipane se plaça devant Laora, qui pouvait depuis quelques secondes respirer de nouveau et reprendre ses esprits. En effet, Madame Jessica avait relâché son étreinte sur elle pour mieux se concentrer sur le pirate.


En un éclair, les fouets s’enroulèrent sur la masse du pirate, et un énorme gode-katana noir traversa son corps et arriva devant le petit nez de Laora. Un temps de silence, un sourire satisfait apparut sur le visage de Jessica. Mais ce qu’elle ne voyait pas, c’est que Simon fucking Lancaster venait de sortir son visage depuis le torse de son propre corps, pour parler à Laora, qu’il enlaçait pour la protéger...ou juste la serrer dans ses bras. Du sang commença à ruisseler sur sa masse corporelle, tandis qu’il ronronnait, son front contre celui de sa dulcinée.


- Désolé du retard, mon Amour...je t’aime si fort, tu sais…


Il tourna un œil de mort-de-faim de violence vers Jessica et arma le tir de barrage. Come get some.
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MessageSujet: Re: [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora   [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora EmptyLun 31 Jan - 21:42

Une troisième branche de cravache vint à s’écailler et s’éclater en trois morceaux, criant de maltraitance au contact de la peau de la jeune fille attachée au cou contre une bar de pole-dance. Les écailles tombèrent au sol comme des dizaines de pétales noires, tandis que les trois morceaux de tiges qui en restaient roulèrent sur le podium jusqu’à tomber sur le sol, à quelques mètres d’un couple de créatures très entreprenantes.
La Laora les boobs à l’air retenus par ses coudes, faisait ce qu’elle pouvait pour cacher sa pudeur dans… cette boîte à streap ties.
Ses cotes montaient et redescendaient à un rythme chaotique, ses abdos suivaient la cadence entre la peur, le mal-être et l’impression d’être constamment violée par les iris les plus perçants des pervers les plus mals habillés de DL, autant dire que notre Brésilovass et Brésilaboobs n’avait pas le temps de s’ennuyer !
Sans parler de l’autre greluche de Dominante qui était dans une transe entre la jouissance du fouet et la déception de voir ses jouets, les plus adorables et habituels, se fracasser et s’arracher tels des vagues animées pas la tempête sur les falaises Rocheuses d’une île indomptée.

Parfois les iris saphir de la belle se perdaient sur la barre de fer poisseuse qu’elle tenait d’une main, parfois sur la dominante avec un air de grosse râleuse en continuant de tenir sa poitrine, baîllon en bouche. Elle n’osait pas, mais Laora était également parfois obligée de lancer un regard et un sourire vers les attablés du Dimanche qui s’en donnait à coeur joie la braguette ouverte.
Autant dire que si la quête principale de cette pute de Jessica était de faire perdre innocence et pureté à la demoiselle qui se faisait passer pour une reine du passée, d’une histoire de pirate dépassée, cette dernière était à deux doigts d’y parvenir. Loin d’être un pokémon fabuleux légendaire, Laora était plutôt le genre de monture d’Alola longues jambes crinière au vent à vouloir défier temps et espace pour gratter quelques minutes ou jours de plus avec ceux qu’elle aime dans DL.

Autant lire la déception directement dans l’esprit de la demoiselle encore debout qui se faisait frapper et fouetter à tour de bras et tour de fesses, par les chaines d’aciers en retenant les râles profanes. Elle savait qu’elle pouvait aussi bien être pourchassée par Ethan du volcan ou d’autres pélus-PU aussi chiants que colle-au-bec ! Et elle savait aussi qu’elle serait contentée de ne rien y faire et d’être impuissante… Son pouvoir avait d’énormes failles ! Et le problème quand tout le monde te connaît… mais que ce n’est pas réciproque, c’est que le monde, même ton mari devient l’ennemi !
Mais comme tu es Laora et que tu as décidé d’aider tout le monde, même ceux qui te la mettent à l’envers, tu ravales ta fierté. Et dans ce genre de moment où tu saisies la barre à deux mains en crispant tes muscles sous le centième coups de fouet, tu remets ton existence en question en faisant délicatement un tour de barre de manière assez aérienne et artistique.
Quand tu es Laora, tu évites aussi de regarder les yeux de la compagnie des fapages ambulants, tu te limites à simplement balayer la salle d’un regard morne, en continuant de faire un pas de coté pour faire semblant de danser. Le bras qui se lève pour aller chercher de manière délicate une sorte de vent au-dessus de sa tête pour essayer de dégager ton cou de l’étaux de cuir qui se desserrait à chaque mouvements correctement exécutés.

C’était simple, plus il y avait de crachin et de fapages et plus Jessica était ravit et donnait un peu de lest et dès qu’il y avait du leste, Laora attrapait le bout du collier en cuir pour s’en dégager…
Et se retrouver de nouveau dos à la barre avec une liasse de cuir rajoutée sur son cou pour l’étrangler. Question de force et de détermination, Laora avait quelque chose de très furet au fond et qui ne la connaissait pas, savait très bien que ce manège pouvait durer des heures, jusqu’à ce que sa fatigue s’estompe et que son adrénaline revienne au galop !
En attendant elle le malaxait difficilement, puisqu’elle dirigeait surtout la force de son endurance et l’essence de son pouvoir vers son bassin et ses hanches. De manière à briser tout ce qui la touchait à ce lieu-là.

A force de se prendre des coups de griffes acérées en dansant avec une sensualité qu’elle ne s’était jamais doutée, son sang se rependait abondement sur le sol de son podium et au bout de cinq minutes entre l’endurance éprouvante de ce moment difficile, et la perte de son liquide vitale, Laora pouvait petit à petit sentir une rage sourde… Et pas que la sienne. Quelque chose de ténébreux, d’obscur et de très… très… influent qui assaillait son coeur et lui faisait vibrer ses neurones et ses pensées.
S’arrêtant en se vautrant le cul au sol, ajoutant sa main au niveau de ses tempes, elle ne comprit pas immédiatement ce qu’il se passait dans sa tête. Le front était brûlant et ses pensées s’enchevêtraient…

C’était comme si… Une conscience, une petite conscience d’elle, plus jeune, en guerre contre le monde et contre l’univers, contre Dreamland, contre tout ce qui était vivant, tout ce qui était bon se manifestait. Les pensées étaient turbulentes et précipitées, elle allait jusqu’à se demander si Jessica avait aussi le pouvoir de télépathie, mais concernant la règle des créatures de DL, ce n’était pas possible, à en juger la créature, elle était invocatrice de cuirs.
Par contre, le fait d’avoir le lien du mariage et d’être en raccord sur une petit manifestation de Nécronomignon lui effleurait gentiment l’esprit, et elle finit par comprendre qu’il était aisé… si aisé de péter un câble avec une distraction pareil !
Mais qu’est-ce qui a rendu le personnage-Imperator aussi noir et mauvais ? La solitude ? Ou le fait d’avoir été trop longtemps enfermé ? Le manque d’amour paternel et maternel sans doute ?

Laora soufflait comme un bœuf assise au sol et l’autre dominante en profitait pour lâcher des insultes totalement irrespectueuses sur le titre de la reine des tantouses, des perlouses et des lâches en rajoutant des coups de cuirs cloutés jusqu’à en faire couler une rivière de sang depuis le haut du dos de la Brésilovass.
Laora retient un hurlement de mal, mais un gémissement de douleur parvint quand même à persifler entre ses crocs clos jusqu’à déclencher une crampe de la mâchoire.
Une servante en petite tenue de cuir midinette passa sous ses yeux avec un plateau d’argent et des coupes de champagnes aux bulles pétillantes grâce à une fêve au fond du verre.
Laora fronçait les sourcils en se rappelant que Dominatrixx avait donné le fameux nom de la «coupe Frangipane» grâce aux bons et loyaux services du voyageur qui maintenant, était son mari.
Elle fit un rapide résumé de sa vie avec les idées pas très clairs, se reprenant en dansant de nouveau, en glissant parfois, se rattrapant de justesse à la barre en essayant de chercher une faille dans le cuir, dans l’usure ? Mais il y avait de plus en plus d’épaisseur, il allait donc falloir passer sur l’usure.

Durant son dernier numéros aérien et sensuel, elle croisa malheureusement le regard de Furioso qui n’avait pas l’air très serein de par un teint un peu plus pâle et du fait qu’il semblait se dégager la gorge… Était-ce le collier de cuir de Laora et la peau rougie à ce niveau qui le rendait aussi mal à l’aise ?
La réponse fut rapidement donnée, la Brésilaboobs entendit un cri venu de nulle part avec une sorte de main de laine qui vint chopper le dit Furioso pour l’encastrer dans le sol à quelques mètres et quelques pièces sous les appartements de Jessica.
Ca y est, l’enterrement de vie de jeune fille partait en couille totale !
Les iris bleutés de Laora se mirent de nouveau à s’activer d’un feu d’espoir ardent et de manière assez naturelle elle se précipita à la barre et la tint fermement contre son corps.
Au cas ou il y aurait des explosions, des vents, des tempêtes, un tsunami… de manière à ne pas être emportée dans le tourbillon qui allait venir… Parce qu’on ne sait jamais ce qui peut se passer avec the famouso New Fucking Pirate King !

Voyant que rien n’arrivait, même pas la semence du bestiau, quoi que cela veuille dire, la voyageuse d’épinéphrine lança un regard derrière elle, non sans observer une Jessica étrangement braquée, entre la pause de la héroïne et de la meuf dominante qui assume quand même sa connerie parce que PTDR royaume du cuir quand même ma gueule. Et matant Jessica sous toutes les coutures, Laora pu voir qu’il y avait de l’envie, du sale et pas comme l’épouse l’aurait aimé, mais genre pas du tout ! Jessica était du genre frappée du bulbe et s’était retournée vers el Famouso Frangipanus pour tester sa coque et sa cale, à en croire l’expression salace de la salope, il y avait un plaisir non dissimulé à pécho le voyageur légendaire du cuir moustache.
A croire que le boule de Laora ne l’avait pas contenté, sa haine étant trop petite, Jessica était certaine d’obtenir une bonne taille de Haine du coté du beau marin d’eau salement salé, et puis le petit coté Dark-Ténèbre avec les bateaux collés à sa peau noire et les armadas qui flottaient sur le corps du titan n’avaient plus aucun sens ! Simon était totalement partit en couille mais genre, patronus totalus analus !
Et le petit plus pour la dominatrice, ça touchait le plafond et le fond de sa cale!
Elle en bavait même d’avance, après tout, elle avait testé la came coté Laora et sachant qu’elle n’avait rien à craindre, pourquoi pas testé le mari hein ? Elle ne semblait pas gênée !


Elle commençait même déjà à s’attaquer au monstre de voilures et de mats, pas trop rassurée d’avoir vue ses chers petits spectateurs décapités d’un coups de rame, d’un seul!
C’est donc entre bâillons et harnais, liasses, cuirs, laisses et clous que la Dominante tentait d’accrocher tout le bordel des navires non sans ajouter une pic ou deux à l’adresse du voyageur qui était perché-caché quelque part dans ce foutoire digne de Délivrance !
Et c’est les yeux écarquillés que Laora vit le poing de barrage arriver dans la trogne de la dominante. Sur le coups elle pensait que s’en était finie, le choc et la blessure au visage aurait dû détruire totalement la créature… Elle ne comprit pas comment elle pouvait encore se relever.

Laora en profita pour voir qu’elle était de nouveau libre et arracha vulgairement son baîlon non sans ouvrir sa bouche en exagérant sur les muscles des commissures qui l’agaçaient à rester ainsi figer plusieurs minutes. Elle tira sur les colliers et essaya de se dégager de la laisse et de tout ce qui n’était pas naturel, sauf la ceinture de chasteté of course.
De ce fait, en voyant que le Simon récidivait les coups, de son côté la demoiselle fit monter son adrénaline dans son corps pour essayer de réparer les tissus et les organes touchés et salement blessés, elle poussa un petit cri et fit quelques exercices de respirations pour conserver son sang froid et juste, ne pas crier maintenant qu’elle n’avait plus le baîlon en bouche.
L’adrénaline avait dû mal à passer les tissus de la peau, mais l’intérieur était intact par conséquent le liquide vitale qui s’écoulait sur sa peau s’était arrêté de perler, mais la peau était recouverte de longues stigmates et cicatrices encore légèrement ouvertes.

Elle soupirait avant d’entendre la mécanique de Frangipane revenir vers elle à pas lent et lourds et notre princesse l'accueillit simplement en essayant de continuer de faire fluctuer l’adrénaline le long de ses courbes pour réparer sa chair. Néanmoins à en sentir-ressentir les intentions et les émotions de son mari, la vue sur la chute de ses courbes, de ses reins et de tant de sang qui avait coulé de sa peau le rendait quelque peu fou. Elle prit un air à la fois attendrit, l’expression de son visage strié de douleurs mais à la foi de soulagement et de tendresse, à cet instant il était un monstre sans charisme, moche et peut-être en départ de l’éducation cuirastique du royaume, mais aux yeux de Laora, son âme et son corps de marin-voyageur de Dreamland en était tout autrement.

Il y avait de la tendresse sur la pointe des plaques de bois déchirés, gravés, arrachés et des navires en guerres détruits par les grandes guerres des eaux. Ces mêmes plaques qui faisaient son corps et qu’il s’arrachaient chaque nuit pour créer le fameux tunnel, elle avait quelques larmichettes qui refusaient de tomber mais qui lui piquaient les muqueuses.
Simon était un titan du chaos, mais également un être d’Amour et d’amusement, elle voyait surtout son mari d’un œil plus entier et en profondeur, jusqu’à la manifestation des navires noirs qui s’écoulaient lentement sur sa peau de bois et de cordages comme une mer noire d’aversion.
Elle ressentait bien sur, l’intensité des émotions qui la clouaient sur place et faisaient d’elle de nouveau une jeune fille sans pouvoir, impuissante et totalement soumise. Les émotions étaient écrasantes entre la destruction, le chaos, comme ce qu’elle avait ressentit plus tôt, mais en décuplés. Elle-même était dans un état où elle essayait au fond de comprendre pourquoi cette rage, elle n’était qu’effleurée… Même si c’était surtout sa pureté et son innocence qui en avait prit un coups dans l’aile : Pas certaine qu’elle reste la même après cet épisode. Pas certaine du tout.

Il y eut un énorme choc, un godmichet-katana qui transperça l’abdomen du Frangipane mais le titan ne posa ni genou à terre ni quoi que ce soit, aucune reddition si ce n’est un énorme hurlement. Laora passa son coude sur son visage pour éviter le vent de la tempête en soupirant, essayant de toujours soigner son dos de ses morts.
Puis redescendit son coude de sa vision avant de voir que le Simon des îles était déjà devant elle et sortait le bout de son nez, ainsi que sont torse et ses bras de ce qui semblait être un robot de bordels nautiques gigantesques.
Elle n’attendit pas longtemps avant de sauter directement dans ses bras en entonnant un

«  -  moooow Simooon... »

A en fendre le coeur, en passant ses bras au-dessus de ses épaules et de le serrer fort, très fortement contre elle et d’en profiter pour lâcher sa petite perle de frayeur et de douleur dans ses cheveux bruns aux odeurs de grands vents et d’une liberté sans horizon. Seule tâche au tableau, cette odeur persistante de sang… Ses prunelles bleues bien rondes se levèrent depuis les paupières lourdes avant d’observer les épaves diverses et d’y voir le sang ruisseler… Elle le serra un peu plus dans ses bras frémissant de nervosités tandis que sous ses petits muscles elle sentait l’énorme machine lever un bras pour achever un tir de barrage, le deuxième de la soirée et en moins de deux minutes.
Ca lui rappela Enrico, le combat de Tango Kingdom, le fait qu’ils n’étaient pas ensemble à l’époque mais que leur composition en avait été des plus brillantes…

Tendrement ses bras glissaient des épaules de son amant, grands yeux bleutés et expression faciale un peu plus vivante, moins pâle, elle paraît son visage d’un petit air coquin dissimulé derrière un sourire léger. Elle feinta un baiser sur la pointe de son menton en reniflant un peu, mal à l’aise…

«  - Tu aurais au moins pu prévoir un Tampax pour éviter de te retrouver avec un deuxième anus aussi grand que celui d’Universalis à l’abdomen, Simouss... »

Petit éclat de rire avant de bien évidemment s’allier à son partenaire de Crime et de lever sa main en  direction du ciel pour faire venir la hache à elle non sans ajouter un petit clin d’oeil à Simon.

«  - J’ai une jolie barre de Pole-danse à lui faire tester, ça te dis de faire équipe pour lui prouver que l’anal ce n’est pas que dans un sens, Amoré? »

Petit accent Brésilien comme elle sait les faire, celui qui rend un peu dingue, une sensation d’adrénaline qui pulse l’amusement dans tout son corps, histoire de la balayer et se doucher, purger de l’obscurité qui avait ternis son coeur quelques instants plus tôt.
Car l’envie de lui foutre une barre d’acier dans le cul, à cette dominante de ces morts avait balayé toutes autres envies destructrices chez Laora.
Autant dire, qu’elle était toujours une enfant dans sa tête, l’amusement était de mise et rapidement elle fit une contorsion de son dos pour plier et déplier son coude et la prolongation de la hache pour couper le haut et le bas de la barre à coté d'elle.
Tendant son autre main en dévoilant sa poitrine musclée et bien relevée, elle attrapa la barre d’acier, prête à la foutre dans le cul de celle qui l’avait salement souillée.

Les deux armes dans chaque main, à poil mais avec sa culotte en argent, la Laora échangea un regard entendu avec son mari et espérait qu’il puisse lui aussi se retaper sa santé… Certes il avait connu pire, mais quand même le sang qui s’écoulait de son énorme corps était inquiétant.
Soudain, elle ne sut comment, de nouveau il y eut un petit flash d’émotions négatives.
Comme si le seigneur Obscur au fond de Simon, voulait également participer à l’éclatement locale et poussait un peu le vice de voir jusqu’à où les émotions des deux époux pouvaient être partagées…

**

L’impression d’avoir de nouveau une double personnalité entre elle présentement et elle plus jeune qui l’engueulait d’arrêter de s’engluer dans les émotions et de se ramollir avec.
La plus jeune, regard espiègle inspirant une confiance en elle, qu’elle-même n’avait que très peu et qui se retrouvait dans des situations catastrophiques…
C’était comme si, intuitivement, les deux corps de souvenirs se rencontraient et combattaient intérieurement, la petite part d’obscurité la boule de nerf et d’énergie qu’était la Duracelle refaisait surface malgré la perte de mémoire et les souvenirs effacés.
Le cerveau oublie, mais le corps se remémore…
Laora entendit son propre rire, hilare, cristallin et affreux retentir et en positionnant ses mains devant elle, pu voir du sang et des os s’y tenir…
Sa mémoire lui jouait des tours… Des os ? Pourquoi tuait-elle ? Les mots « fleurs du carnage » vint à franchir ses lèvres tandis que Laora Landcaster semblait observer, les yeux grisés quelque part dans le flou en direction distraite de Jessica, qui tenait encore son god en se demandait ce qui se passait devant le grand bras de Simon levé.
La Duracelle semblait remplie de rage et de colère, enfouie dans une cage aux souvenirs distordues par les émotions refoulées.
Et c’était précisément la rage et la haine, la colère, l’horreur, l’aversion, l’exécration, la répulsion qui coulait au fond d’elle comme un venin qui ne la lâchait jamais, comme si le véritable moteur de ses angoisses et de son pouvoir venait de l’acceptation en silence de tant d’obscurité. En silence… Elle se vit saisir à douze ans d’un voyageur, le retourner et d’une traite rapide et radicale, le soustraire entièrement de sa colonne vertébrale en voyant chaque nerfs, chaque muscles et chaque épine dorsale ressortir de la chair de la victime à l’agonie totale… jusqu’au réveil… La flaque de sang et les os encore dans les mains, la Duracelle hilare s’était parée de la moelle épinière comme trophée et parader dans les rues de Kazinopolis en exerçant de la corde à sauter non sans chantonner quelques palabres, conquise par son nouveau jouet.

**

Le regard de Laora se fit plus dur, plus sombre également et comme annoncé plus tôt sa partie intime de l’innocence et de la pureté venait irrémédiablement de déménager de la Brésilovass et ce n’était pas l’amour qui lui rappellerait ce que pureté signifiait.
Il s’était passée une belle minute durant laquelle Jessica essayait de tirer sur l’énorme god pour l’arracher du corps de Frangi.

«  - Tu vas me la chopper … et J’vais lui foutre la barre dans le cul, la disséquer vivante et utiliser ses vieux os comme trophée BDSM A CETTE PUTE ! »


Cela dit, elle fit rugir l’adrénaline dans chacun de ses muscles et nerfs, bras, abdomen et jambes, et tenta un putain de dash à l’effleurement de Simon, sous son projecteur de tir de barrage elle glissa, hache et barre dans les mains, Boobies à l’air libre en train de chanter l’hymne national anglais God Save The Queen:
Que c’était bon d’être méchante.

De son Coté Jessica ne comprenait pas trop le bordel et invoquait des cuirs pour arrêter Laora qui s’était tellement gonflée d’adrénaline dans son dash qui était apparut pile à coté de l’invocation, puis comme à un mauvais jeu de chamboule tout dans une esquive parfaitement exécutée durant sa jeunesse, renvoya d’un revers de hache un bâillon dans la gueule de la dominante en mode ping-pong.
Inutile de préciser que les cuirs furent tranchés et qu’arrivé proche de Jessica qui s’était propulsé au loin avec des cuirs-balançoires, Laora avait monté son javelot tel le plus magnifique des Atelètes d’Olimpie.
Elle calcula l’angle, l’arrivée et sentit le moment ou Frangi attrapa la Jessica avec ses cordes pour la ramener à nouveau… (ou pas?)
Dans tous les cas, une fois le trou’d’cul en vue, elle balança la barre si férocement et avec une précision si chirurgicale que la retraité était obligée de se la prendre dans l’cul.
Y a un moment, même sans lubrifiant faut que ça passe !
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Le Trader

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MessageSujet: Re: [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora   [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora EmptyMer 2 Fév - 11:40

Kaboom...


En vrai ça a fait plus de bruit, et on aurait pu croire que la moitié du Royaume du Cuir venait de sauter, et pas à cheval sur son bidet. Mais c’est surtout pour l’effet de style, quoi. Tandis que Laora amenait sa hache pirate à sa main, Simon rengainait son tir de barrage et passait en mode corps à corps de la Tombe-Issoire, en sortant des mats tranchants et des ensembles de cordages et de poutres d’acier, et pas celles qui font plaisir. La brésilienne voulait tenter une pénétration anale avec une barre de pole-dance, car comme on dit « qui a vécu par l’épée, périra par l’épée ». Elle entrait dans une rage certaine et répondait aux envies meurtrières de Simon, qui n’était pas le dernier sur les kills depuis qu’il était revenu sur les terres du top 100 de la Major. Surtout, Domdom avec une règle : on faisait le ménage maison dans son Royaume, les déchets doivent être évacués, et Jessica n’avait pas l’apparât de ses jeunes années, ni même la hargne qui animait tous les fans dignes de ce nom de bondage. Il était temps de nettoyer le pont de navire de cuir.

Tandis que la Laorette fonçait, gonflée d’adrénaline, Frangi chargea au corps à corps tout en lançant un peu partout ses cordages avec des calculs non pas savants, mais entraînés. Selon les pas qu’il forçait à faire du côté de Jessica, elle était obligée de parer, esquiver, bouger de pied, invoquer des cuirs, et oublier les cordages disposés ici et là à la sortie du corps du pirate. Au bout d’un moment, il suffisait d’un seul mouvement de poulie présente dans le coude du pirate pour tendre toutes les cordes, choper une cheville, la deuxième, s’enrouler autour de son ventre, s’emparer des épaules, des poignets, tenir le cou en liens serrés avec les chevilles et nouer le tout avec tant de force que même une ancienne du Royaume pourrait y trouver son bonheur. Enfin...façon de parler. Envoyant tout ce qui était prévu, le plan se déroula sans accrocs et Jessica finit par comprendre où le pirate voulait en venir. Saucissonnée, elle s’attendait à une dernière attaque mais n’avait pas capté la voyageuse à la barre de pole-dance qui l’envoyait droit dans son fondement. Avec la puissance de l’adrénaline, et la capacité naturelle des créatures de Dominatrixxx à jouer les ouvertures faciles, la barre rentra dans son fion et la transperça jusqu’au haut du crâne. Clouée sur place, les yeux révulsés pleurant encore des larmes de foutre, les cuirs fanaient et se déployaient comme des pétales autour d’elle, fleur crevée par la tige…


Après un instant de flottement, Aden réapparut, en format homme culturiste, Furioso en sang mais encore bien debout et mort de rire sur son épaule. Il regarda son ancienne amante clouée par le duo et eut une exclamation amusée en avisant la puissance de Frangipane et la vivacité, le dynamisme de sa femme. C’était donc ça, le couple de pirate qui avait repris les mers à toutes les vieilles légendes de la piraterie, il comprenait mieux. Aden eut un sourire et prit son ex vers des chambres et des lendemains meilleurs, comprenant qu’il fallait laisser les tourtereaux tranquilles maintenant. Frangipane était en train de se calmer, et la partie la plus obscure en son corps s’éteignait comme un feu de braises qui venait de se manger un seau d’eau. Revenant à son corps humain, le pirate enlaça sa dulcinée et l’embarqua tel le mari portant sa femme pour la nuit de noces.


- Bon, maintenant qu’on est tranquille, tu veux aller où ? On reprend la chasse ou on s’arrête dans un coin tranquille ?


Il songeait à toutes les salles qu’ils devaient encore explorer...la chambre de Cupifond, la salle de bain des Douches de Sang, le Donjon d’Amour, le Hall des Esclaves, les Enfers des Fers, la salle de Jeux entre Amis, le Salon du Consenti, le Dressroom de la Nudité ou l’Exposition de Peintures au sang...tellement de possibilités, tellement de choix...mais il était possible que la brésilovass ait une envie particulière, quelque chose qui aurait plus de sens et qui leur permettrait de se retrouver réellement, comme à l’époque, comme si Kelua était encore présent partout et pas en train de se farcir encore une Reine devant un Roi furax. Dans tous les cas, il montrait à sa femme un regard nommé désir, qui prenait le tramway du plaisir, et il lançait à ses courbes fabuleuses et à ses boobs de déesse des ondes d’envies qu’elle ne pouvait ignorer...il la portait à travers un jardin, toujours dans l’ambiance versaillaise, avec des balançoires très particulières, des buissons touffus, des statues de femmes-fontaines et des vergers garnis de tous les fruits confits imaginables...l’endroit n’était pas si mal, mais Simon savait qu’ils pouvaient trouver mieux…


- Je compte jusqu’à dix et je te cours après...ou on compte rien du tout et on assure les devoirs conjugaux comme Kanaka dans Hisseo ?


Alors qu'il disait cela, un éternuement soudain retentit dans un buisson proche d'eux, assez fort pour qu'il puisse être entendu, quand même retenu par quelqu'un qui ne voulait vraiment pas se faire prendre...enfin se faire choper...bref, pris en flag quoi.
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MessageSujet: Re: [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora   [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora EmptyMer 2 Fév - 14:10

Les muscles de ses bras bandés à leurs paroxysmes et encore frémissants sous la nervosité et l’adrénaline, la Brésilaboobs s’étirait dans toute sa longueur féline en poussant un petit gémissement de contentement, les vertèbres de sa colonne vertébrale craquant sous les étirements de son corps tendu, puis détendu.
Plaçant ses mains sur ses hanches elle avisa le clou de son spectacle ainsi que chacune des pièces encordées et poulies qui avaient retenues et capturées la prise et se félicita de ne pas avoir été à la place de cette mégère de retraité, quelle tarée !
Le comble, pour elle, qui pris quelques instants pour se rappeler de ce petit souvenir obscur afin de repenser à ce qui lui était arrivé et en percutant que le Nécronomignon s’était calmé en Simon. Elle comprit le danger, mais également la puissance grisante que son mari ressentait à chaque pic de pouvoir sans parler de la prise de conscience que s’il explosait totalement, la créature pouvait en sortir et mettre fin à leurs nuits.

Loin d’être un problème, elle nota l’intensité de cette mémoire comblée de rage au sentiment destructeur qui l’eut aidé à trouvé un fragment de ces souvenirs oubliés, ce qui ne lui donna pas forcément envie d’aller au royaume des souvenirs.
S’imaginant le pire, du genre VK à courir après les voyageurs uniquement pour tester les limites de ses capacités, comme si finalement elle n’avait pas connut de véritable limites à son pouvoir plus jeune, elle émit un faible déglutissement de dégoût mais également d’envie.
D’envie car l’adrénaline était un sacré pouvoir qui n’avait pas l’air de connaître de limite sur les corps à corps… Quand on prenait en compte le coté boost de cerveau, résistance du corps, restructuration des organes et rapidité d’exécution quasi inévitable.

Ses pensées prises entre deux marées elle méditait pendant que le Fucking King des Pirates revenait gentiment vers elle pour l’enlacer tendrement et la prendre dans ses bras de par ses jambes et des épaules, de nouveau marquant cette nuit comme une soirée propice à leurs noces romantico-catastrophiques.
Elle émit un petit rire saugrenu en lui octroyant un second baiser plus doux, long et tendre, oubliant ses pensées pour se focaliser sur lui… Bien que toutes ces histoires la rongeait lentement mais sûrement.

«  - Hummm… La destination de tes bras pour le moment me semble parfaite mon doux... »

Ajouta-t-elle en murmure, s’offrant le luxe de ronronner et de se blottir contre lui, les bras entourant son encolure, son nez trouvant sa juste place sous l’écrin délicat de ses cheveux bruns, sous sa douce oreille afin d’y aspirer son parfum fugace et sensuel.
Les yeux mi-clos, elle vit cependant Furioso et Aden en train de se marrer en les matant avant de prendre une autre route, après dirons-nous une certaine prise de conscience, qui fit lever les yeux de dépit notre Queen des lancés de javelots en acier.
Et de se reculer un peu du torse de son époux pour prendre un peu de contenance et croiser ses iris brûlants d’une envie insatiable, celle d’explorer chaque recoin de sa peau et d’en faire sa Terra Nova à lui seul.
Réceptive elle en rougissait de sensualité et d’envie et non plus de gênes, l’innocence s’était totalement envolée, enfuie, karapatée, genre TGCM barre-toi sale pureté ingrate !
A la seule pensée de nouveau se reprendre quelques cordages et distribuer quelques fessée déculottée et pas moins fugaces elle s’en mordillait les lèvres et s’humectait la bouche de désir tandis qu’ils marchaient dans un jardin.

Depuis quand dans ce jardin ? Elle n’en savait rien, elle avait de la vapeur qui s’échappait de ses oreilles, de son cerveau et son nez commençait à saigner sous la beaugosse-attitude de son mari en rut !
Enfin ça c’était avant d’entendre un éternuement, sinon elle aurait certainement demandé à ce qu’elle soit prise, là maintenant tout de suite en BDSM fouettée claquée possédée contre la fontaine de joies sans aucune pudeur ni retenues.
Sauf que, bah évidemment comme à chaque moment ou la demoiselle s’enflammait, il y avait toujours un con, un retord, une crasse, une vraie merde qui s’immisçait dans l’air et les empêchait d’aller au bout de leurs objectifs commun.

Elle détacha son regard brûlant aux désirs inassouvis, le corps en feu et le sexe en joie pour plisser ses paupières d’une manière vénère en serrant les dents, ses prunelles devenant tempêtes et ouragans en fusillant promptement le buisson ou se cachait un type qui avait éternué, ou même deux type qui s’en donnaient à coeur joie.
Frustrée comme pas possible, elle descendit de son propre chef de Simon en essayant de calmer ses ardeurs, pouce et index massant ses paupières pour essayer de reprendre ses esprits…

Reprendre ses esprits ? Oui oui et pas parce qu’elle s’imaginait Kanaka et Hisseo derrière le buisson ! Genre… Elle venait de rencontrer la compagnie des bras cassées de l’ancienne Tombe Issoire, alors en rencontrer les anciens chefs n’auraient pas été une coïncidence !
Après les éternuements, elle mit ses mains sur ses hanches comme une vraie daronne et se mit à tousser TRES fortement en direction du buisson, les boobs de dominante à l’air libre, les abdos bien serrés en visio, prête à distribuer des claques, des baffes et même des coups de pied footesque de capitaine de cotton-ball à qui le voulait !

«  - … Je vais faire comme si je vous avais JAMAIS remarqués ici. »

Elle se retourna vers Simon avec un putain d’air dépité, les tips relevés prêts à s’armer et à tirer.

«  - Le grand délire Français et blingbling dorée versaillais puduc c’est pas mon genre Simouss. On va dire que je vais continuer à courir et buter quelques gens sur le chemin si l’envie m’en prend. Si t’as une liste des racailles du coin à épurer ça pourrait être également ton chemin pour me retrouver. Dans un sens comme dans l’autre on kiff trop se battre pour faire une nuit de noce sans quelques pics d’adrénalines bien dosées.
So, je vais prendre un peu d’avance avec ta liste d’ancien flic cuir moustache, je la mémorise, tu la gardes et puis on se retrouve quand tu auras arrêté de te faire plaisir en solitaire pour la 42em fois de la nuit, hein ? »


elle mit son pouce sur son menton avec un air songeur.

« - Si je zigouille les mauvaises personnes j’imagine que Domdom m’en voudra un peu. Au pire tu t’occuperas de mon cas de manière consentis. Et si d’autres VK ou créatures veulent mon cul, bah t’as qu’à te grouiller et arriver en preum’s. Jsais pas, l’ancienne Dominante Jessica m’a appris un truc assez salace que je commence à apprécier… à moins que ce soit Mini-Dark-Poto en retraçant un souvenir … BREF ! A toi d’assurer, autant dire que si j’ai tout le royaume du cuir à mon cul tu en seras le seul responsable. »

Cela dit, elle s’étira, fit quelques exercices d’assouplissement avant de lever sa crinière de nyx en mode trop bonne t’as vu ? Et de faire un putain de bond vers les décors en se rapprochant d’un mur vitré…

«  - NUIT DE NOCES TORRIDES J’OFFRE MON CUL A QUI VEUT BIEN LE CLAQUER BANDES DE RATS DE CALES ! »

Et hop, une fenêtre de cassée, des bruits assez spongieux de corps coupés en deux dont un qui venait d’exploser l’intérieur de la vitre pour voler…. Et atterrir à la place de Simon… pile là ou il était… Le cadavre avait les yeux révulsé avec un énorme sourire comme s’il n’avait même pas fait gaffe à la ruée de la nouvelle dominante des lieux.
Car qui tue une dominante au royaume du cuir, en devient une, quoi que cela veuille dire.


De son coté Laora dans sa propre énergie orange sanguine, parfois noire aux contours d’or utilisait sa technique de la balle rebondissante couplée à sa mémoire à image rapide pour repérer les black listés et se faufiler entre couilles, bites, poils, chattes, cuirs, fouets sans jamais se faire réellement toucher. Le challenge de pécho son petit boule de Brésilovass titilla l’ardeur et l’envie de quelques habitués du royaume qui commençaient à se complaire et s’endormir dans leurs petites habitudes.
Un voyageur nommé Roger et vu au début de cette soirée, qui avait amené ses gosses bugga très fermement sur l’apparition de Alice-en-slip, en comprenant qu’il y avait le Lapin Noir pas trop loin derrière. Il hésita fermement en connaissant les risques de son ami Panus… Mais tellement envieux d’être châtié par Simon ou de taper le cul tendu de Laora lui fit faire la connerie coûteuse de sa vie, et il commençait à s’élancer à l’appel de la fessée.

De son coté, roulant dans tous les sens et sautant, sautillant, bondissant partout, les poursuivants avaient réellement du mal à la suivre ne serait-ce des yeux, seul demeurait une tache d’argent bien visible qui n’avait de cesse de se mouvoir. Parfois des morceaux de cuir et de fer s’élançaient vers Laora, mais rien ne la touchait, la bombe lancée était bien trop chargée pour être touchée par n’importe qui.
De même, elle se posa quelques instants au sol le temps de prendre une longue respiration, plisser ses yeux vers une ligne droite de gardes, avant de relâcher sa respiration, gonfler ses muscles et… Leur rentrer dedans tel un bélier fabuleux et de les faire sauter dans les airs jusqu’à les faire s’éclater au plafond. L’un eut la cervelle collée au plafond d'or et mourut sur le coups.

La furie continuait de bondir en attrapant les poignée des portes pour les ouvrir avec brutalité et toutes les portes furent ouvertes montrant les hommes se faisant tout simplement pénétrer par leurs femmes en mode gros pudiques, d’autres portes ou une orgie de chats et de chiens avaient lieu, puis une autre avec un thème sur les flammes d’Aspinoza bleues, vertes, blanches et des fouettés dont leur peau fondaient au contact des fouets de flammes.

Arrivée à la dernière porte ouverte, elle fit demi-tour avant de se fixer l’objectif de Trois portes, pénétrer à l’intérieur non sans rependre une troisième victime… Qui était black listée. En même temps qu’est-ce qu’ils foutaient là s’ils étaient bannis et exilés du royaume, sans dec ?
Notre fleur du carnage nationale s’arrêta au milieu de la pièce, les étoiles plein les yeux dilatés par cette chambre qui était juste magnifique.
Seulement, se rappelant qu’elle avait tout le royaume du cuir au cul, du moins, une bonne partie, elle fit front à la porte ouverte en prenant un air innocent et minaudant.
La pièce était celle de Maëlstrom et de Mickael angelo, il y avait des coquillages, du sable noir aux étoiles fluorescentes de part et d’autres, mais également une bonne dizaines de trous d’eaux, une place de rochers brillants aux lunes et astres visibles, le ciel sentait bon l’iode et un vent frais relevait délicatement sa propre crinière noire.

Elle avisa, le nombre de cachettes en poussant un soupire divin… Le retrouverait-elle ?
Le doute était permis. Elle fit quelques pas, ramassa un truc au sol qui ressemblait à un petit poisson de cuir au chocolat et en matant les arrivés au niveau de la porte, essayant de voir qui voulait son cul pour les noter dans sa tête et les buter plus tard, hors de ce royaume, elle croqua dans le petit fruit défendu.
Le poisson se mit à appeler à l’aide de se faire bouffer, et elle-même commençait à se sentir bizarre… Sa peau se durcissait et à quelques endroits des écailles noires aux reflets d’aurores apparurent petits à petits au niveau de ses boobs pour cacher ses tips, mais également sur son visage…
Laora, une putissima dominante ?
NANIIIII ?!!
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Le Trader

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MessageSujet: Re: [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora   [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora EmptyMer 2 Fév - 23:04

Le pirate laissa un soupir lui échapper...s’en sortir face à une ancienne lorde n’avait pas été de tout repos, et il préférait éviter de trop alerter les lords actuels et la Reine elle-même, qui se ferait une multitude de plaisir de s’occuper des jeunes mariés, à sa manière, évidemment. Il se concentra et sentit le cuir contre sa peau. Il sentit le poids de ce qu’il avait en lui ; le calme aussi. Il sentit tout autour de lui les hurlements, les crissements des peaux sur du métal ou du cuir vieilli. Il sentait également les peurs, les afflictions, les blocages qui se libéraient, qui se planquaient derrière les masques et les baillons ; il sentait les revendications d’existence derrière les tenues, les textures et les couleurs. Chaque pore de sa peau devenait un buvard qui aspirait le monde autour de lui, ainsi que lui avait appris Stella et Akmon, quand il devait être plus que simplement un voyageur, avec un pouvoir, avec des techniques, avec son bagage de voyageur. Il le savait, son corps allait au-delà de tout ça, son propre corps était capable de tracer sa femme simplement en suivant son aura, qu’il suivait avec son flair de voyageur, mais...où était le plaisir ? Elle partait comme une balle, un escalier, un corridor, deuxième porte droite, suite à la fenêtre, passage sur une cour intérieure qui donnait sur une salle orgiaque, oui, mais...où résidait le plaisir ? Il avait du mal à la suivre, tout devenait confus, si bien qu’il se releva tranquillement et prit les raccourcis, comme un véritable ancien flic du Royaume de Dominatrix, bien sûr !


L’avantage, quand on prend les portes dérobées, cachées, invisibles aux yeux des clients, c’est qu’on peut suivre à la trace la proie qui fait un barouf de tous les diables. Il sauta sur plusieurs façades, savait où il pouvait prendre tel escalier planqué ou arriver sur telle zone qui avait une trappe pour laisser passer des serviteurs ou des cargaisons d’objets. Il suivait à peine la piste « officielle » qui laissait sa dose de cris et de protestations, qui parvenaient à ses oreilles de temps à autre. Il voyait quel chemin la brésilienne avait pu emprunter, à chaque instant, à l’aise entre les murs du Royaume, comme un chat de gouttière ou un Kelua de contrebande, au choix.Prenant le temps de s’arrêter boire un canon ou fêter l’anniversaire de telle créature du royaume, il laissait une marge de manœuvre à sa femme pour la laisser courir et se dépenser, créer de la confusion et apporter une touche de fraîcheur aux brûlures habituelles du royaume. Passant aux différents comptoirs mis en place par la Reine, il checka les serveurs, se faisait servir et on lui proposait un dîner aux chandelles avec une dominatrice et les outils nécessaires, des chambres diverses et nouvelles, des propositions de séjour longue durée à l’enfermement anxiogène avec des fous furieux du cuir et du fouet, pour la partie la plus abordable...Le pirate déclinait poliment toutes les propositions et reprenait sa marche, tantôt en prenant un escalier réservé au personnel et en assomant le garde en poste, tantôt en passant dans des réceptions qui allaient bientôt dégénérer en folie sexuelle non contenue de toutes parts. Il avait même hésité à aller du côté de l’aile de la Reine, celle qui menait au dernier étage et au loft personnel de Domdom, mais il n’avait pas le temps d’aller boire le thé. Des affaires plus sérieuses l’attendaient. 


Suivant la fin de trajectoire de la voyageuse de l’adrénaline, il arriva grâce aux odeurs marines et aux accents salés qui impregnaient les vêtements et les peaux des servantes qui passaient en vahiné toutes vêtues de cuir bleu azur. Un soupir sortit naturellement de sa chambre, et des chambres autour, avec les portes ouvertes. Oh, il connaissait bien cet endroit, il avait accompagné quelquefois Maelström, l’ancienne Reine de Neptunopolis, toujours perdue pour la nation des moules, avec ses amants et autres amoureux secrets. Généralement il s’agissait de Michel-Ange le Roi des Peluches, qui était loin de rester immobile quand il était question de literie. Frangi avait souvent fait l’escorte à travers le royaume, surtout pour éviter les Dreamjournalistes qui se régalaient de ce genre de nouvelles et qui avaient à une époque la fâcheuse tendance à camper dans le jardin du Royaume. Dans tous les cas, le chemin de la Laorette s’arrêtait ici. Elle avait donc choisi la chambre fétiche d’une ancienne ennemie ? Pourquoi pas. La colère et la vengeance avaient de la saveur, quand les claquements étaient bien donnés et dosés…


Le pirate pénétra dans la chambre, qui était comme à son habitude bercée des langueurs marines aux rythmes lents baudelairiens « Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts, Encor tout fatigués par la vague marine ». Les coquillages amenés depuis le Royaume éponyme dansaient et jouaient une sérénade douce et hypnotique, le sable étoilé donnait une impression de s’allonger dans l’espace, et une mer indigo, fluorescente dans le ciel de sable, battait la mesure pour mieux couper les résidents du monde, de tous les mondes possibles. Un vent frais venait chatouiller le galbe des fesses du pirate, une lune venait éclairer la lueur de malice de ses yeux. Oui, cette chambre était un bon choix, pour une invitée comme Maelström. Pour le temps que ça durait, comme à chaque fois, comme pour chaque souverain de Dreamland.


- La...ora ?


Le capitaine pirate s’avançait sur le sable de la chambre, que dis-je, de la suite nuptiale et balnéaire ! Il s’approcha de quelques rochers qui dévoilaient une vaste fresque de lunaisons pâmées dans le ciel, quelque part. Marchant dans une flaque d’eau lumineuse parmi les étoiles, il sentit soudainement de petites piqûres, et des poissons, en cuir de chocolat, venaient pour lui grignoter les pieds. Il les repoussa, sans voir exactement leur nature. Alors qu’il arriva devant une sirène qui prenait les traits de Laora...il commença lui-même à se transformer…


- Nooooon...les Reverse-Fluid ! Les poissons crées spécialement pour les Rois et Reines qui veulent changer de rôle pour la nuit !! J’espère que tu n’y as pas touché, Laoooooora…. !!!


Il tomba au sol et il sentit, un peu comme un autre Simon sortant de chez le véto, des changements importants dans son corps. Tandis qu’il voyait un peu mieux la sirène aux traits laoratiens, dotée en réalité d’un pénis tout ce qu’il y avait de plus pénis, musclée et gonflant ses nouveaux pectoraux de pur beau gosse chevalier-des-mers , il sentit sa virilité disparaître entre ses jambes et creuser l’endroit, ses boobs pousser et prendre du volume, et ses fesses devenir de nouvelles candidates pour des sessions de twerk décomplexé…


- Nooooon...attends, c’est peut-être pas si pire !!


S'exclama Frangipania, LA seule et unique Putissima dominante dotée d’un vagin et de tout le reste, LA seule et unique femme présente dans la pièce, devant Laoro. Loaro ?


Frangipania:
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MessageSujet: Re: [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora   [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora EmptyJeu 3 Fév - 13:49

La source de lumière de la pièce, autre que celle des astres lunaires de la chambre était avant tout celle de la porte d’entrée, grande ouverte qui fut longuement interrompue par des ombres allant et venant par leurs foulées hésitantes, dans le sable étoilé.
Les premiers intervenants étaient surtout doués de petits ustensiles d’amusements et cherchaient à tâtons de manière plus que vigilante les traces de leur proie féminine au cul qui faisait enfin la renommée du royaume du cuir. Un cul bombé à en faire baver les créatures d’envie, à en faire frémir de plaisir les mâles viriles de tout ce royaume, en soit la trouvailles était à quelques pas d’eux si les traces respectivement élaborées par la Brésilovass étaient les bonnes.

Seulement, alors que le petit groupe avançait vers la source de leur orgueil et envie ils ne s’attendaient absolument pas à tomber sur une sorte d’oeuf écaillé. En pensant que l’adrénaline-girl pouvait également gonfler ses os pour se faire œuf d’écaille, le premier qui avança fut tout simplement frappé de stupeur en voyant depuis l’oeuf s’éclore, un putain de Triton Mâle de ces morts comme il n’en existe que rarement dans Dreamland.
La stupeur du groupe fu telle que les fouettards ne reconnaissaient pas Laora à la première vue de la bête aux iris transperçant de colère (d'avoir été interrompu...) et ainsi connaissant la dangerosité d’une telle créature, préférèrent lâcher leurs armes de dévotion pour mieux repartir en sens inverse en laissant tomber l’idée de Laora… En se disant qu’elle avait dû se réveiller ou se faire bouffer par un truc pareil !

De son coté, notre Mâle Dominant s’était simplement présenté avec son immense queue de poisson combattant qui faisait trois fois la taille de son corps Humanoïde, fournie d’écailles aussi luisantes qu’elles en étaient voilées de la plus magnifiques des manières.
De ce fait, simplement voilé, caché derrière son immense queue déployée de façon ovale, Laora observait les iris grands ouverts de l’autre coté de son voile noir aux reflets d’aurore chatoyant l’immensité de son corps aquatique.
Iel n’en revenait tout simplement pas de ce changement de situation, bouche bée et totalement égaré entre le plaisir unique d’être ENFIN une sirène putissima, mais également un putain de mâle en haut de la chaîne alimentaire, c’était comme si, au fond d’elle, son vœux le plus intime et le plus enfouit était enfin exaucé.
Et malgré ses ressentiments pour Maëlstorm,Laora lui envoya une belle dose de pensées d’amour et de compassion pour la remercier elle, de lui permettre de réaliser ce rêve fantasmagorique.

Spoiler:

Notre Brasilovass effleurait le vent et les vagues avec ses ailerons apaisées qu’iel rétractait et développait à la façon d’un éventail japonais raffiné. Au toucher les écailles étaient si durcies et lissés, un bonheur de découvrir son corps autrement qu’avec des poils et une peau nues aux sensations mornes et habituelles.
Ses mains étaient rocailleuses et musclées, pas nerveuses pour un sous, ses pectoraux saillants aux écailles brillantes étaient développés d’une manière totalement divine et avec ses tatouages qui parsemaient sa peau miellée d’Apollon Grec, iel se sentait totalement irrésistible.
Puis en matant sa queue abondante de voiles iel tomba sur THE petit détail, c’est à dire deux petits pompons qui étaient de sortit avec un chibre qui faisait au moins deux fois la taille de sa grosse main…
Autant dire qu’iel mourut de rire à l’intérieur de son corps avant de prendre le truc en main et juste au contact de sa peau hey beh…
dû se palucher au moins 52fois, dépassant le nombre de branlage habituel de Frangipane tant c’était bon de se toucher l’asticot !

Après avoir juté pas moins de cinquante fois sans pouvoir s’arrêter, notre Triton des occasions entendit des bruits de pas suspect, en pensant au loup on y voyait la queue! Et le voilà qui s’engageait dans un chemin dont il ne pouvait pas faire demi-tour.
Les oreilles bien relevées notre Triton leva un sourcil virile, la bave du plaisir sur la commissure des lèvres en train de se branler allègrement quand son mari ? Femme ? On ne sait plus trop, fit irruption inopinément.
Il n’est jamais bon de se faire stopper en pleine branlette par maman ou papa, alors imaginez la scène de Laora-Frangi qui se redécouvrent en mode WTF t’as un zizi ?
Et Frangi, devenant une putissima dominante, dans lequel maintenant notre triton avait juste envie de se défourailler ? Ses iris turquoise-flashy s’ouvrirent grand, en mode dilatées par la drogue à la vue de l’appelle de la FEMELLE et le zizi redoubla de volume. Oui peepoodoo, c’est ta femme t’y a le droit, mais seulement en te protégeant ! Ou pas, c’était qu’une question de papa dans maman à ce moment de leur histoire.

Tandis que Frangipana semblait s’y faire, à son corps de rêve, en essayant de trouver le point ou le trou culminant de son existence, Bernardo Claudio dé la Laoros agita son énorme queue de poisson-combattant avant de frapper sauvagement et brutalement le sol en créant une énorme levée de poussière d’étoiles avec le sable noir brillant.

«  - FEMEEEELLLLLEEEUUUH »

Ceci ajouté non sans profiter du brouillard pour gonffler son corps d’adrénaline et je ne dirais pas ou et sauter en direction de la seule et unique femelle des lieux, toutes voiles dehors comme aurait pu le dire Simon l’encastré et pas que…
Seulement avec sa queue il fit un rebond vulgairos le Tritonos et se cassa la gueule dans le sable pour atterrir tête la première dans l’eau de mer avec quelques remous de vagues et d’écumes qui n’indiquaient pas que notre foufou-du-zizi allait remonter à la surface.

De son coté, Frangipana du voir de nouveau l’arrivé d’un autre groupe de créatures et voyageurs prêts à sévériser le cul d’une Laora… Et en voyant la putissima à la place, leur sang ne fit qu’un tour dans leur cerveau, pour le peu qu’ils en avaient, et fondirent, tous objets, gods michets, fouets et filets de pêches vers Frangipana la putissima.
De son coté, Bernardo Claudio dé la Laoros gros patapouf de Dominant au zgeg qui lui pompait tout le sang jusqu’aux écailles, se laissait couler par son encre naturelle dans l’eau qu’iel trouvait tout simplement à sa convenance.
Lâchant même quelques fois sa semance gratuitement dans l’eau, en calculant les nombres de fois, et s’arrêtant à 68, afin de conserver la 69em semence pour Frangipana, question de respect et de principe.
Dans tous les cas notre Triton avait d’autant plus salé la mer qu’elle ne l’était déjà avec son foutre naturel !

Bernardo Claudio dé la Laoros ou BCDL mit ses bras derrière sa nuque comme le gros BG qu’iel était en observant l’arrivée de Frangipana non sans mater sévèrement son propre zizi enflammé de façon à utiliser l’adrénaline et se propulser comme fusée-man, quand il faudrait pour lui mettre son jonc là ou iel pensait… Sans la moindres hésitation ni possibilité d’échouer…
après quand tu es Laoro et que tu n’as jamais utilisé le pouvoir du zizi… un trou est un trou et un zizi n’a qu’un œil… La tromperie était permise, mais avec qui est comment… Toute l’histoire de changement de sexe allait se reposer sur la future victime...
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MessageSujet: Re: [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora   [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora EmptyDim 13 Fév - 16:37

C’était donc ça être femme, se sentir femme des années 80, femme jusqu’aux bouts des seins qu’ielle sentait pointer à cause du froid...et de la vue du bel éphèbe triton qu’était Laoro del Claudio di Bernado. Se sentir femme, être femme, devenir femme, c’était donc ces sensations, ce sentiment d’oppression, d’injustice, de révolte, et en même temps...se sentir bonne et désirable, entre les hommes dire « femelle » dans leurs têtes et leurs pompons gorgés de sucs lactés. C’était encore se sentir toujours un peu irritable ou irritée, incomprise et jamais prise comme il fallait, vouloir le fromage ou le dessert, alors que c’est le fromage ET le dessert. C’était en effet ça, l’accès au pouvoir secret de dire les choses et vouloir l’inverse, affirmer par la négation pour faire réfléchir de manière subtile que c’était le contraire qu’on voulaitn ce qui était tu, qui devait être deviné, facilement pourtant, si facilement, qu’il n’y avait pas besoin de l’énoncer explicitement. C’était enfin ça, cette posture, ce déhanché de contraste, pouvoir faire du twerk et vouloir dormir en pyjama murlock de chevalier de la mort, marcher comme une impératrice dans un bordel en feu et ronfler comme Gégé après le dernier ricard d’une longue série de petites sœurs. Simona Lancaster aka La Frangiapina en australo-bonnasse, sentait tout ça lui traverser le corps, le mental, les charges associées et aussi et encore les serviettes de protection hygiénique qui arrêtaient les règles bleues des publicités habituelles. Ielle fit un duckface légendaire prit directement en photo par le Dream Glam et dit d’une voix suave, mais encore inquiète.


- Y’a quelqu’un...Laora ? Je crois que la chasse va…
- HEU MAIS C’EST UNE FIIIIIIIIILLE ???!!


Un groupe de créatures et de voyageurs du royaume fit son apparition, avec de quoi la faire tourner mais pas comme un gouvernail de navire. Les fouets et les filets, passaient encore, mais les godes-michels et les boules de geisha, ielle ne se sentait pas encore parfaitement prête pour ça. Surtout avec des inconnus, aussi doués et membrés étaient-ils. On disait que c’était pas la taille qui comptait, mais on oubliait de dire que le nombre pouvait compenser...comment Frangiapina en arrivait à de telles conclusions ? Sûrement pas en se questionnent sur les inégalités de salaire entre lui et de vrais mecs virils qui chantaient du Queen ou du Elton John ! Ielle les fixa du regard, ce regard intense et pénétrant d’une Putissima lassée et dont la colère allait exploser. Laissant son pouvoir faire le job à sa place, comme un vrai mansplanning finalement, il fit apparaître des éléments de bateaux, mais entièrement aqueux. Voyant ce pouvoir si particulier aux Putissimas se fusionner au sien, la Frangiapina décida de tout simplement mouiller la fine équipe d’un coup, en envoyant telle Kassandra une énorme proue dans leurs tronches. Prenez ça sales pirates, fidèles sujets ! Enervée par l’attaque et par les mouvements gauches de sa queue de poisson, Frangiapina augmenta la cadence et d’un coup de queue de sirène envoya une voile d’eau piquante et mordante de lames de fond et de canons haute pression pour finir les intrus. La chasse n’était pas finie, et d’aucun, avec encore un attribut masculin, qu’elle n’avait jamais commencé réellement. Tais-toi Géralt.


Un survivant se releva malgré tout. Il était pressenti pour devenir lord, avec ses fouets et ses jambes dotées d’une dizaine de cravaches qui tournaient toutes seules. Arborant un gode bigouden (comme une coiffe mais en sextoy quoi), maquillé comme une reine égyptienne et parée de magnifiques bijoux de famille en or à son cou, la créature défia la Frangiapina en hurlant...sans être préparé à ce qui arrivait du ciel, propulsé par l’adrénaline, gland en-avant, foutres missiles remplissant des baignoires et de poubelles à sperme, ce qui était nouveau pour le puceau-venu...ou l’inverse ? Je me suis perdu, mais Laoro aussi donc on est quitte. Arrivant droit dans la bouche de la créature masculine et virilisante, le triton de l’adrénaline s’était engouffré bite la première jusqu’à la glotte, quand l’ensemble allait jusqu’à la grotte, enfin l’estomac. Et c’était normal, car en utilisant l’adrénaline dans une pratique interdite, à savoir la masturbation, Laoro venait de réveiller l’une des malédictions passives du Royaume...son sexe, si jeune, si enflammé, devenait de plus en plus gros, de plus en plus incontrôlable...c’était ça, être un vrai mec viril ? Toujours était-il que le triton arrivait dans la fameuse posture qui faisait débat « est-ce que sucer c’est tromper ? » car dans sa position d’atterrisage, le doute était permis. Même si la gorge de la créature comprimait le jonc endiablé de Laoro et même si ce dernier allait faire exploser le visage de son lécheur malheureux, le doute était permis. Mais pas du côté de la Frangiapina.


- AAAAAAAAH OUUUUUAAAAAAIS ????


Voyant son triton de femme se faire emboucher par un random, la Putissima déclencha toute sa colère et sa rage, et tout son corps prit l’allure d’un gigantesque élémental d’eau modelant des formes de bateaux, des canons haute-pression, des voiles faisant une dizaine d’ailes d’anges à ce corps d’eau qui grandissait autant que les veines gonflées du sexe de sa femme, toujours prise en bouche par la créature. La Frangiapina hurla dans un langage de sirène typique, sa queue se transforma en immense sous-marin et une vague, que dis-je un tsunami de sel de seum et de beauté glaciale fondit sur Laoro et son amant tragique.


- Je vais tout nettoyer du sol au plafond, comme une vraie femme !!!


La Frangiapina était dans un état où même du shopping ne la calmerait pas, mais alors pas du tout. Comment ça on a épuisé le budget réservé aux clichés ? Quoi, tout est parti en maquillage ?
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MessageSujet: Re: [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora   [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora EmptyDim 13 Fév - 20:27

Bernardo Claudio dé la Laoros ou BCDL fidèle à sa réputation d’impatient et non pas d’impuissant, ne put continuer à se laisser couler au fond de la mer la trique gonflée à l’extrême pour qu’une sirène vienne bien lui tomber toute crue-toute nue-cul nu sur le jonc.
Non, un adrénaline-boy ne peut pas faire ça, jamais !
Alors d’un énorme coups de queue du fouet de la nageoire, il se propulsa de toutes testostérones et tous muscles bandés hors de l’océan.
Les poignets liés tel un plongeur de surface, la nageoire souple et guidé par son zizi à l’oeil unique, Il plongeait de toute son âme et de tout son saoul vers la bella Frangiapina !
Sauf qu’on peut tromper mille fois un homme, mais pas une fois une femme, ou l’inverse je ne sais plus les Tuches !


Et que notre amoureux ruteux désespéré finit par s’emboiter la béquille dans un salle truc épineux qui passait par là, comme un courant d’air vous passe par l’anus : On ne l’a pas sentit venir mais on le sent passé !
Notre Zoro Bernardo Laoro sentit qu’il y avait enfumage et anguille sous roche en se disant que le col de l’utérus de la sirène était assez piquant et bizarre de l’intérieur.
Il dû prendre son énorme matraque par ses mains pour observer le… la créature qui s’était empalé au bout de son foutre rare et divin depuis la bouche déchirée sur les parois des commissures jusqu’à plus loin, dans l’estomac.
Y avait mort d’homme juste par empallage, et notre Brésilovass-Triton favori se mit à pousser un soupire de lassitude si féroce qu’il en renonça presque à refaire un calcul adrénalien pour revenir vers sa belle sirène, sa seule et unique.

Il réfléchissait exactement comme un homme peut réfléchir d’une manière simple et construite, il voulait le 69em jus pour sa déesse des culs non gendrées, et n’était pas encore venu dans le déchet, ça nop. Alors… tant qu’à faire… autant poser la pratique des conseils donnés au ptit frère !
Il se retourna vers Frangiapina devenue élémentaire d’eau géant aux effets tous aussi fantastiques qu’ils en étaient complexes.
Bref, une femelle quoi.
La queue en sous-marin, les voiles en ailes d’ange, autant dire que la putissima nouvelle prenait direct des grands airs là, comme ça. Laoro monta un index vers son visage et se mit à se gratter la tempe en signe d’incompréhension.
Car derrière chaque femme en colère, il y a toujours un homme qui se demande ce qu’il a encore fait.
True quote scientifiquement prouvé à l’instant même.

«  - Qu’est-ce qui se passe chérie ? T’as vue une araignée pour être aussi apeurée que ço lo ? »

Il enfonça le clou du spectacle en se prenant un raz-demarée depuis son zizi tout dur jusqu’à la bouche grande ouverte ou passa l’énorme vague de sel, de seum et de cyprine ? Allez les enfants on va se coucher, il devient tardissimo.

Se faisant donc aspirer, repousser, pousser de la droite vers la gauche, notre Claudio de la nuit gonfla tous ses poumons avec son adrénaline et se mit à aspirer toute la flotte sans aucune façon, un énorme et dégueulasse «  SLUUURP » s’envolait d’entre ses lèvres bombées à bloc, le zizi toujours érectile, et même plus que jamais devant les parfums et les saveurs du foutre de sa bonnasova.
Avec l’adrénaline, il aspira tout le contenu, mais au fond de lui et grâce au tatouage des mariés, il sentait un brin de colère dû à une jalousie mal calculée.
Moins pire qu’une vraie jalousie piquée au vif par Laora en vrai ! Mais Du coups notre Triton du jour se remit en question sur ses propres crises de jalousies passionnées qui parfois pouvaient vraiment être handicapantes.


Ou pas en fait, t’es un mec tu osef, en plus t’as limite la communication en visio direct avec un Lord Imperator nommé Nécronomignon l’introuvé du bataillon en direct sur MachismoTV qui se facepalm devant le changement de sexe de Frangi… A croire qu’il n’a jamais connu de gonzesse celui-là ! D’un autre coté comme il ne peut rien faire de sa vie à part être spectateur, autant lui en donner du spectacle !

«  - SLUUUUUUUUURP… ET JUSQU’A LA DERNIERE GOUTTE CHERIE ! Miam ! On dirait du maquereau… SBAAAAF »

Et une demoiselle en détresse qui lui fonce d’autant plus dessus avec toute la force d’un navire, de trois .. dix cent ? Mais combien y avait de navire dedans mazette ?!
Le triton se prit royalement toute l’arsenal de la putissima en chaleur avant de retomber lourdement à la flotte, le visage un peu déformé avec la petite cicatrice sur le coté histoire de le rendre bad gay, et le Jackie toujours au bout du Michel.
D’ailleurs Michel la créature aux jambes cravacheuses continuait de cligner des yeux en larmoyant devant la dureté de la matraque en bouche ; Ca grossissait là-dedans et il n’était pas prêt pour la suite des évènements, bien qu’en tant que créature-mâle, il savait d’instinct que cette soirée allait finir en confettis…

Laoro Bernardo de la Vegas revint petit à petit à ses esprit en rotant du foutre par la bouche, jusque là, ça ne changeait pas du mon réel et en parlant du monde réel, qu’en était-il du petit bout d’Ezzio, le futur nommé Alexios qui n’avait pas encore fait découvrir son sexe à son père ? Enfin son.. sa mère… enfin à Frangiapina comme on dit pour la nuit ?
Prit d’un courage commun à une adrénaline-girl, mais moins aiguisé dans l’instinct maternel d’un homme, qu’on se le dise, Laoro soupira ses bulles de foutre jusqu’à la surface en se touchant quand même un peu la nouille au passage jusqu’à en créer des petites, toutes petits billes des yeux de son créature-de-jonc.
Dans une autre vie Laoro aurait pu évoluer en Flagados avec la coquille au bout du slip, mais pour le moment il ne pensait pas à ça, non !
Il était surtout très intéressé par le fait de calmer cette boule d’énergie et d’irritabilité qu’était sa femme, sans doute à cause de l’Amour qui rendait fout, et de la 69em.
Non Vanceslas, on ne parle pas de la 19, mais bien de la 69em, tais toi un peu vieux fripon et suis l’histoire un peu !

Le décor était inondé d’une substance suintant et brillante ressemblant à une sorte de gelée nacrée assez spéciale mais qui en fit sortir notre triton de la nuit, de sa mare sans canards, les bras toujours croisés derrière la tête, il nageait le crawl d’une manière suave, une anémone rouge passione au coin de la lèvre, tel un Roméo sortant tout droit d’un film de cul.

«  - Bah alors chérie ? On n’est pas heureuse que Roméo se protège pour toi ? C’est pas ce que j’appelle faire de la bonne pub pour ton royaume ma biche. Allez viens.. on est bien.. »

suivit d’un petit soupir de lover, en passant une main d’écailles noire-aurore dans sa chevelure ondulée mi-longue, les tips à l’air libre et les muscles du torse carrément bombé… et les pecs en train de se gonffler/dégonffler/gonffler/dégonffler pour appeler la femelle à aller le rejoindre.
Le zgeg à l’air, toujours avec la créature morte-empaillée sur le jonc, il s’arma de son plus beau et carnacier sourire avant de terminer par un :

«  - J’ai créer ce super-condom triple effets vaginou pour te refaire ton bel intérieur et tu me les brises pour un acte odieur ? Moi qui voulait jsute te protéger des MST et garder mon 69em royale foutre pour toi… Je ne sais pas ce qui me retient de juter sans toi ma chérie... »
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MessageSujet: Re: [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora   [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora EmptyLun 14 Fév - 20:04

La Frangiapina se savoure comme une bonne mozzarella : en salade et par beau temps. Cette phrase ne veut rien dire mais dans le contexte, elle prenait tout son sens, si, si ! Alors que Laoro-Bernado-ElPuçaxomucho roulait des mécaniques et jouait les jolis-cœurs, son mari devenu Putissima par chaque écaille bleutée de sa queue féminine et ensorceleuse déchaînait sa colère et sa frustration de s’être fait piqué la vedette et la place du chasseur...ou plutôt du pêcheur, car il commençait à y avoir de gros poissons, trop gros pour le même bocal, si vous voyez ce que je veux dire. La sirène avait laissé exploser sa colère, en eaux et en boudins, comme une vraie créature royale de Neptunopolis. Les alentours étaient trempés et elle fixait le plafond, les yeux levés, les bras croisés, et l’air rougi par la colère et l’emportement, elle attendait un geste, une initiative, un mot d’excuse ou des arguments assez forts venant de Laoro del Macho, sans quoi l’autre dormirait sur sa nouvelle et terrifiante béquille. Une première, peut-être, mais ce serait amplement mérité, au goût et au regard noir de la sirène pirate.


- Alors tu vas te calmer la bite Roméo, ta Juliette elle va te laisser avec ta main droite et ta main gauche que ça va pas traîner, et tu vas retourner voir Maman Agata pour te plaindre de moi, ça va pas traîner non plus. En plus tu as oublié de m’embrasser un mardi matin alors que je suis allé faire des courses en moto, y’a un mois...ou deux...peut-être trois, mais je m’en souviens très bien !


Bien sûr, Frangiapina parlait à elle-même, dans sa tête et à son corps de femme meurtrie. Elle gardait le silence et lançait des regards désillusionnés à son homme qui se prenait pour un italien trop bonnard, grosse blague ! Elle soupira intérieurement et presque extérieurement, tout en le regardant sans le regarder tandis qu’il nageait vers elle en tentant de faire le lover qui sait plus où mettre son charisme, mais sûrement là où il fallait selon la sirène qui l’attendait de queue ferme tout en le méprisant en silence – et en espérant qu’il vienne la consoler comme il le devait. Après tout c’était son rôle, elle avait besoin d’être rassurée et choyée comme une princesse, car oui, en tant que Putissima elle se sentait Princesse, elle était Princesse, elle vivait Princesse. Et oui, elle était devenue réellement la Princesse Barbue, mais la barbe avait migré vers le maillot qui sentait bon la marée fraîche, et l’aspect princesse prenait de plus en plus de place dans les désirs de la seule et unique Frangiapina.

Fixant un œil foudroyant sur Laoro, elle suivit avec dégoût et gêne le mouvement dégueulasse de son pectoral qui semblait lui faire un clin d’œil, un appel à la drague bien lourd comme il fallait. Comme quoi, à force de détester Akmon, Laoro agissait comme lui. De toute manière il était comme tous les autres, il ne faisait aucun effort pour la comprendre ni même pour essayer d’être un tant soit peu romantique...des fleurs, des chocolats, même du poisson frais, ce serait passé ! Mais là, avec son pec’ qui se prenait pour un smiley MSN, c’était la fin, c’était plus comme avant, c’était le féminisme qui venait hurler dans sa tête de claquer ce gros lourd de Laoro. Aaaaah les brésiliens...ils savaient peut-être danser, mais ils n’avaient aucune compétence de drague telle que la Frangiapina en voulait. Et elle en voulait, ça oui…


- C’est ça..Parle-moi comme à une pute, continue de parler de préso, de vaginou, de te les briser, des mst et de foutre…Est-ce que je lui parle de bitou, de glandinet, de couillonnax ou du fait qu’il vient de barricader ma culotte jusqu’à mes ovaires avec sa phrase de gros connard ? Je ne sais pas ce qui me retient de l’encastrer dans un mur avec un poing de flotte...Sans doute mon père qui me tapait avec sa canne d’étudiant australien de grosse merde intersidérale et qui me donnait une image viriliste de l’homme qui commandait à la maison...ou alors Akmon, qui se comportait comme le chef de notre famille alors qu’il savait même pas comment vivre au quotidien normalement. Non mais je sais ce que je vais lui répondre, je vais le mettre en face de ses erreurs, je vais lui faire prendre conscience qu’il ne fait rien de ce que j’attends, je vais le responsabiliser et le rendre plus mature et plus conscient de ses actes. A mon avis en discutant calmement il va sûrement...oh et puis zut…


La Frangiapina s’arrêta un instant et répondit en hurlant, les petits poings serrés envoyant un énorme coup de queue chargé d’eau dans la direction de Laoro.


- TU SAIS OU TU PEUX TE LE FOUTRE TON FOUTRE ?????? ENFOIRE DE MISOGYNE !!


Les larmes aux yeux, la sirène lançait des poings aqueux sur son homme, des coups de canons visant la bouche de son époux pour qu’il arrête de déblatérer des bêtises comme n’importe quel bœuf doté de deux couilles capables d’aucune sensibilité ni même de subtilité. Retour à la maison, le colis va retourner bien rapidement à ses pénates ou à sa garçonnière. Non mais, pour qui il se prenait ? Sa mère lui avait bien répété qu’il y avait toujours meilleur parti à prendre en attendant...elle aurait dû attendre le bon au lieu de se précipiter. Ah ces brésiliens, tous les mêmes. La vie était pour eux un carnaval, mais derrière les costumes demeurait un danseur pas concerné par les problèmes qu’on pouvait ressentir quand on était Putissima. La sirène prit la fuite en faisant de sa queue des jambes aqueuses, en faisant un doigt d’eau à son époux, et en le laissant face à ses propos. La Frangiapina alla se planquer quelque part dans la zone d’eau, loin de la vulgarité masculine. Elle nageait en retenant ses larmes de colère, en espérant être à la fois suivie et à la fois être tranquille. Difficile à suivre...ou pas ? Tout dépendait du talent de Roméo pour des répliques appropriées.
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MessageSujet: Re: [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora   [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora EmptyLun 14 Fév - 22:19

Retourner voir Maman Agata ? Le cerveau de notre amant du jour ne fit qu’un tour dans sa jolie petite tête.
Qui avait connu Agatha le premier ? Qui avait fourniqué avec elle au royaume du cuir en premier ? Qui s’était laissé fouetter par Agatha en premier ?
Genre c’était la faute de notre espadon à grosse queue du jour ?
A cette réplique impulsive bien sur que Roméo arrêta de bander, les yeux rivés vers sa dulcinée en petite billes rondes derrière les orbites creusés par la méprise.
Ca se prenait pour une putissima et une gonzesse alors que ça n’arrivait même pas à calmer 42 fois ses hormones IRL ? C’était quoi ce foutoir ? Frangiapina voulait-elle réellement en arriver au point de rupture ? Alors qu’il y avait un enfant et le leur, en jeu ?

Laoro affichait une mine blasée, le black Mamba rentrant dans sa cellule d’emprisonnement hormonale et la créature-sextoy-condom se ratatina sur le sol en un "pouic" magistrale.
Le pouvoir des femmes ne s’étendait pas seulement à brises les couilles sans les toucher, mais aussi à te faire prendre une douche brûlante et glaciale en une demie teinte de seconde.
Notre crevette de triton devenant rapidement nacre de st Jacques, y avait qu’à le voir !
Les épaules s’abaissaient, la tête se rentrait un peu dans le cou tandis que ses iris perçant, hagards, regardaient la belle sirène se déchainer avec ce regard qui signifie qu’il y a pénalty Lo !
Même les mains se levaient pour montrer qu’il y avait faute, poteau but rentrant, plaquage de l’attaquant sans consentement !

Il passa suavement la main droite dans ses cheveux bleutés-noircis avec indécision pour se redonner un peu de contenance avant de s’éclaircir la gorge, mais une marée de choses vint à se présenter à lui, déjà sous forme de monologue qu’il capta très bien, puis sous forme du rage qu’il dû lui-même canaliser à cause de ce maudit tatouage.
L’Anaconda rentré à l’écurie, c’était maintenant la colère et la rage qui assaillaient son corps et meurtrissait son coeur. Comme s’il pouvait y faire quoi que ce soit !
Il n’eut pas le loisir de rétorquer, répondre, manifester son mécontentement ou symboliquement agir comme un italien mal aimé et passionné qu’il se prit une giga attaque du pirate couplé-Pute tout court !

Il se prit deux poings aqueux et des coups de canons visant sa bouche... Enfin presque !
Le problème d’un stratège et d’un adrénaline-boy du calcul et des renflements cérébraux, c’est qu’à défaut du zizi à gonfler, c’est le cerveau qui en paie les frais.
Imaginez deux secondes une sorte de Triton rare, ayant une carte marine en tête et n’ayant peur de rien. Ouais ça fait pas bon ménage, ce n’était pas la sirène qui en dirait le contraire puisqu’elle partait se planquer. Jusque là tout allait bien pour notre Roméo qui s’était montré peut-être un brin mysogine, certes, mais qui n’avait pas levé un doigt où une main sur sa dulcinée par respect envers son amour enflammé.
Mais là ou l’amour avait heurté son égo, sa fierté heurtait son mal-être : D’où Agata prenait place dans leur Romance ? Mais WTF de cette pute ? Oui c’est ma grande sœur et alors ?

D’un énorme revers de claque d’adrénaline il envoya le premier poing d’eau à droite, le deuxième poing d’eau à  gauche et mit un énorme coups de boule aux coups de canons.
Genre, c’est qui ki fait la loi ici ?
Il rageait et s’énervait en pensant qu’Agata avait mérité mille fois plus de coups de fouets et de cravaches que Frangiapina ! Sans parler du retour de baguettes sur sa femme à queue !

n’y tenant plus, notre cher Laoro Bernardo utilisa tous ses atouts de muscles, de nerfs aussi improbable et incassable que l’acier sous forme masculine et fit exploser sa colère en relâchant son adrénaline par tous les pores de sa peau.
L’effet fut tel qu’il projeta une quantité d’air brûlante autours de lui et créa une petite fissure dans le sable : La puissance et la force était chez le masculin, mais non chez le féminin : Ce que le féminin était à la réactivité et à la rapidité de fusée sous cocke.
Inutile de préciser qu’il se calma quelques instant, le temps d’essayer de répandre la douce drogue nommée adrénaline dans son corps et de le changer, transmuter dans son cerveau : Parfois un homme pense de trop même dans les situations les plus désespérées , on appel ça la pensée en Arborescence qu’il faut à tout prix brûler !

Il songea à lui faire porter la culotte en parlant de toutes les expériences que Frangiapina avait, retour de baguette en force et de placer Agata au mauvais endroit au mauvais moment.
D’ailleurs…
Laoro fit un pokerface en se demandant COMBIEN DE PUTAIN D’AGE AVAIT FRANGIPANE ?!
Là il bugga littéralement.
Il y eut un énorme vent sur la plage qui souleva sa chevelure et quelques grains de sables.
Mais en vrai il se posa la question parce qu’il avait toujours agit par amour… Mais maintenant qu’ils n’étaient plus vraiment au point de passion mais plus de rupture, qu’il réfléchissait plus qu’il n’agissait : Quel âge avait Frangiapina ?

«  -… merde… Y a attouchement sur mineure ! … Attends… l’âge légale d’un majeur est de quel âge en Australie ? »

sans doute 21ans comme aux Etats-Unis, ce qui était réellement problématique.
Et tout l’idylle de Laoro tomba à l’eau à ce moment précis, il porta ses deux mains au niveau de son bide comme s’il portait un énorme fardeaux et hurla en plein désarrois et désespoir :

«  - JE SUIS MINEUR EN AUSTRALIE Y A ATTOUCHEMENT SUR MINEURE LOOOO ! »

Elu pire Dramaqueen au monde, surtout que l’autre avait plongée.
Mais d’ailleurs c’était un peu de sa faute si elle l’avait mis en cloque non ?
Grognant intérieurement en lâchant une larmichette d’injustice, il proclama haut et fort :

«  C’EST NOTRE DERNIERE NUIT ICI, A DL! APRES CA JE TE RENVERRAI A AGATA PUISQU’ELLE A TON AGE ET QUE VOUS ALLEZ SI BIEN ENSEMBLE !
JE PENSERAI MEME A UN PLAN A 3 ENTRE TON FRERE ET ELLE C’EST TON DELIRE DEPUIS LONGTEMPS POUR CA QUE TU M’AS INITIE AU BDSM SALE POURRITURE !
PIS DE TOUTES MANIERES JE QUITTE DL POUR DE BON, J’EN AI MARRE DE PARLER ET PENSER DL TOUS LES JOURS UN VRAI CALVAIRE ! JVAIS FAIRE GRANDIR MON GOSSE LOIN DE TOI ET D’ICI! TOUS DES TARES ! T’AS RAISON CASSE TOI ET CACHE TOI LOIN DE MOI, JE VAIS DEVENIR VK ET TOUS VOUS BUTER QUAND JE VAIS RETROUVER MA MEMOIRE SALE… SALE... »


Il pleura en envoyant toute sa haine, sentant la moutarde lui remonter au nez à cause de ce tatouage de mierda.

« … SALE… Je taime… JE T’AIME POV’CONNE ! J’AI TRAVERSE TOUT LE MONDE REEEL POUR UNIQUEMENT VALOIR CA ? WALA JVAIS TE FAIRE LE VRAI MYSOGINE ET TE FAIRE LE CUL EN BOUCHANT MES OREILLES ! TELLEMENT TU VAS CRIER ! T’ES PAS PRETE! »

Ceci dit, il gonfla son corps et le modela pour devenir plus grand sous la colère, plus grand, plus musclé et plus fort, demandant à l’eau de son pouvoir de s’immiscer dans son corps pour pulser dans son coeur et chaque brin d’adrénaline. Devenant un Triton Géant dans un corps de Géant, comme seul Poséidon pouvait être symbolisé dans les temples Grecs les plus sacrés.
Il toisait les quelques quatre mètres et dépassa la toiture de la chambre par son front, frappant le sable et soulevant le plancher de la salle de Maëlstorm en hurlant de rage :

« - JE VAIS TE FAIRE LE CUL SALE PUTISSIMAAAAAAAA »

Ceci dit, défonçant le plafond et le lieu dit au passage, il frappa d’une manière ultime de sa queue et de chacune de ses voiles-nageoires de poisson-combattant.
La mer et l'écume se soulevaient tel un tsunami pour en voir chacun des êtres vivants et copulants dans cet eau.
Il récidiva, parfait maître et dieu de l’océan en soulevant la mer et en déchaînant le pouvoir de l’adrénaline en créant de magnifiques tempêtes marines jusqu’à voir, balancer ou soulever Frangiapina depuis les abysses des mers agitées.

«  - ATTOUCHEMENT SUR MINEURE ! MISE EN CLOQUE SANS DEMANDE, PRIVATION DE LIBERTE SANS PREAVIS, ACCUSATION SANS DISCUTIONS, JUGEMENT SANS FONDEMENT … MAIS JE VAIS TE JUGER MA PAROOOOOLE ! JE VAIS TE .. AAAAAAH JE VAIS TE DECHAINER MA PASSION SALE PETITE IMPERTINENTE ! »

Ceci dit, il fondit avec son adrénaline sur la « petite » putissima et l’attrapa tel un dieu puissant, dans la paume de sa main, adrénaline à bloc dans le creux de sa main et l’enferma dans la prison de sa chair, entre les barreaux de ses doigts.
Avec la puissance de l'adrénaline et de l'eau dans son corps, sa peau se renouvelait ainsi tout le temps, véritable calvaire pour quiconque l'attaquait ...
Comme si .. Le corps de Laora se souvenait d'avoir vécu un pareil moment, d'un combat chaud, dont l'élément eau lui avait sauvé la vie par cette adaptation au contact de la matière.
Il monta sa main contenant Frangiapina, depuis l’intérieur de sa paume, totalement livrée dans la cage, peut-être blessée ou non, qu’importe, jusqu’à ses iris d’un turquoise perçant, les lèvres crispées par la haine et transfigurée par la colère et la rage : ce putain de tatouage les doulouraient tous les deux.
C’était peut-être leur dernière nuit en effet… et c’était sans doute la nuit où l’Imperator tant attendu allait enfin pouvoir être libéré… qui sait…

«  - Je t’ai aimé, tu as été mon premier et mon dernier amour, comment tu peux me parler sur ce ton et remettre cette pute d’ex sur le tapis comme une masturbation sans éjaculation ?
Puisque tu aimes tant que ça parler et déblatérer des conneries, tu vas chanter pour moi. Et je t’écraserai au creux de ma main si je ne trouve pas ton chant et ta déclaration à mon goût. Tu veux jouer les divas, c’est ton moment, mais fais-le bien, car ça sera ton dernier chant de sirène avant le réveille, Ma Jolie. »


Finit par dire notre mâle Laoro l'Alpha dominant d’une manière déchaînée, levant l’autre main pour appeler l’encre-hache de Hisseo, s’en saisir et prendre la posture de Poséidon tout-puissant et badass comme on peut l’illustrer.
Des passants devant la chambre, qui avaient été alertés par l’écroulement du plafond, des chambres voisines et les journalistes se pointèrent devant la porte, les yeux ronds comme des billes.
Certains offusqués, d’autre apeurés de l’histoire qui se déroulait sous leurs yeux.
D’autres habitués de Simon Landcaster, et les derniers seulement fanatiques de la piraterie, si ce n’est leur ancien représentant, se tenaient sur le pas de la porte les yeux si ronds de surprises qu’ils en étaient paralysés de stupeurs sur les annonces du couple, certainement le plus glam, le plus badass mais aussi le plus passionné que DL ait connu depuis la mort de Miaou.
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Le Trader

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MessageSujet: Re: [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora   [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora EmptyMar 15 Fév - 21:35

La Putissima avait été certaine de parler à elle-même, pour éviter que Laoro puisse l’entendre et remettre les points sur les i, et les tampons sur les règles. Mais avec les tatouages et leur lien si particulier – pas forcément visible ou palpable cette nuit, il était vrai...Frangiapina aurait dû se méfier et penser moins fort, moins dur, moins...femme.

Pour le reste, la Putissima accueillit la réponse télépathique ou presque du Triton d’Epinéphrine avec un peu de recul, déjà parce qu’il hurlait fort et ensuite parce qu’elle ne s’attendait pas à être traitée de MILF cette nuit, comme quoi même en connaissant un royaume comme sa poche de cuir, on pouvait rester surpris et plus que surpris...effrayée ? C’était peut-être le terme. Elle avait l’impression de se faire darmaniser, un mansplanning en grandes pompes et dans les grandes largeurs...c’était donc ça le pouvoir du crier-fort des hommes ? Il comprenait maintenant qu’il possédait, le reste du temps, un grand pouvoir et des capacités insoupçonnées propres à son sexe, qu’il n’avait jamais pensé à utiliser, mais que dans sa famille on valorisait. Oui, tout ça avait du sens quand on se prenait les remarques en majuscules dans la gueule, et pas que dans la gueule, aussi dans les textes de loi. Laoro parlait d’attouchement sur mineure, mais en Australie la majorité était à 18 ans, enfin c’est ce qu’elle pensait, jusqu’à preuve du contraire. Ensuite, elle n’avait jamais eu d’histoires intimes avec Agata, même si c’était sa complice et compère dans ce royaume. Comme quoi, les rumeurs et les ragots allaient vite quand il s’agissait de fouet et de chaînes...Laoro parlait de devenir VK, de partir loin, de Dreamland, et là, la sirène retrouvait un peu son épouse de l’adrénaline qui ne savait plus trop ce qu’elle disait. La preuve : il lui faisait une déclaration d’amour alors qu’il venait d’avoir une érection monumentale finissant dans la bouche d’un Jean-Miche PUPU.

Tandis que Laoro se déchaînait et utilisait ses pouvoirs de triton, la Frangiapina l’écoutait attentivement. Son amour avait donc autant de choses à lui reprocher ? Elle n’avait pas tout à fait conscience de tout ce qu’il lui avait fait, de tout ce qu’ils avaient fait de leur vie ensemble. C’était vrai...elle était enceinte, elle était dans une situation compliquée avec Akmon et La Fondation, elle avait du mal à trouver sa place dans son passé et elle était mal tombée en changeant de sexe. La sirène laissa l’énorme triton venir à elle et s’emparer de son corps, pour lui faire le cul et tout ce qu’il voudrait. Elle lâchait prise et elle regardait simplement son bien-aimée s’exprimer, avec sérénité, et de quoi en finir avec cette situation de merde.


La Frangiapina savait exactement quoi faire, mais le royaume n’allait pas apprécier. Concentrant sur énergie vitale sur elle-même, il repéra dans son corps les morceaux digérés du poisson qui faisait changer les sexes. Il fit éclater son aura et utilisa son pouvoir pour régénérer ton son corps, en remplaçant jusqu’à ses propres molécules de chair par du bois, de la voile, des choses qui purgeraient ce que leur rendait féminine. La sirène, enfermée dans la main de son triton, laissait exploser son aura tout en la contrôlant et en la limitant au-dedans de son corps. L’énergie mise en place créait un tourbillon, une tornade d’eau tout autour d’elle, et, les yeux fermés, il se mit à arpenter tout son corps, de la cale à la vigie...jusqu’à tomber sur lui. Les yeux d’indigo sang, un corps noir qui pulsait jusqu’à ce que son cœur à lui le sente...il faisait face à la bouteille où se tenait Necronomignon, qui le regardait depuis l’intérieur de la bouteille. Avec de minuscules poissons de changement de sexe et d’hormones qui nageaient autour, très intéressés par le prisonnier de la bouteille de verre.


- Salut, Simon le pirate.
- Necronomignon...fais pas attention à moi, je fais que passer.
- C’est pour bientôt, non ?
- Oui, la naissance de notre enfant est dans quelques mois.
- Je ne parlais pas de ça.
- Je ne parle, moi, que de ce qui m’importe.
- Ta mort ne t’importe pas ?
- Elle n’arrivera pas, pas tant que j’aurai Laora ou Enzo ou Kanaka à protéger.
- Ils mourront tous, tu sais que tu n’es pas capable de me retenir.
- C’est pourtant ce que j’ai fait, et ce que je fais encore maintenant. Et je le ferai encore.
- Pavane-toi pendant qu’il est encore temps, voyageur. Les Imperatores, mes frères et mes sœurs, naissent partout dans Dreamland. Mon réveil est inéluctable.
- Pense à mettre une alarme alors.



Il ouvrit les yeux. La queue de sirène était partie, avec les attributs féminins. Il avait résisté à la tentation, son aura était encore forte et en place, assez pour tenir encore...il ne savait pas combien de temps, mais il pouvait tenir. Laoro lui disait de chanter pour lui, maintenant, voilà qui devenait très original. Mais il savait quoi faire. Il était de nouveau lui-même, et le petit dialogue avec son for intérieur venait de lui remettre les idées en place. Combien de temps venait-il de perdre ? Combien de temps Laora l’avait-il attendu ? Etre une femme, c’était vraiment pas son truc, finalement.


Il se jeta sur l’énorme triton qui se déchaînait, passait les bras autour de son cou, l’enlaça tendrement mais fermement, et l’embrassa furieusement, avec la langue et toutes les marées du monde autour, avec des morsures légères mais passionnées, avec ses lèvres qui goutaient et regoutaient avec délectation celle de son amour. Prenant les cheveux du triton, il lui roula la pelle de sa vie et comprit ce que pouvait ressentir Aden, qui, arrivé pas loin du bordel, regardait la scène avec la bouche bée et une main dans le slip qui s’agitait frénétiquement de bas en haut sans qu’il ne quitte la scène des yeux.


Puis, dans un bruit de débouchage d’évier presque vulgaire, Simon commença à chanter devant Laora, Laoro, qu’importe, avec du bois faisant une scène et des voiles faisant office de rideau, avec son coeur et son âme, avec son corps de voyageur fatigué et sa puissance de capitaine pirate qui en avait vu d’autres, jusqu’à ce qu’il rencontre ce petit de brésilienne qui avait fait l’abordage de son coeur, et qui le faisait depuis, à chaque instant qu’il vivait à ses côtés.


- Le ciel bleu sur nous peut s'effondrer
Et la terre peut bien s'écrouler
Peu m'importe si tu m'aimes
Je me fous du monde entier
Tant qu'l'amour inondera mes matins
Tant que mon corps frémira sous tes mains
Peu m'importe les problèmes
Mon amour puisque tu m'aimes...



Il était peut-être vieux jeu, trop vieux pour elle, mais ce qu'il chantait, c'était son cœur offert juste pour sa Laora. Rien que ça, et c'était bien tout.


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MessageSujet: Re: [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora   [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora EmptyMer 16 Fév - 12:50

Quand t’es un Bobby, la patience tu l’as mais uniquement pour quelques caprices, pour le reste en général personne n’attend trop longtemps ou alors c’est dans l’oubli que tombent les paroles.
Et vu comment notre Bobby des eaux nacrées maintenait la pression avec sa puissance d’adrénaline pulsante tout autours de lui, ça m’étonnerait qu’il oubli rapidement ce qu’il venait de subir, à ça !
Et ce n’est pas le retour à la normal d’un Simon qui finira comme son nom, Encastré ou
Séquestré, qui simplifiera l’humeur de notre nouveau MVP Dominant de la nuit.
Certes il n’y avait plus de vaginoux, plus que quetounes ni de bonnassitude, uniquement un homme, un seul. Mais ça ne changeait rien en ce que Laora ressentait en ce moment : une profonde rage cachée et du désarrois, si étroitement lié à la rage enfouit, Que Laoro se retenait pour pas casser la gueule au « ptit mec » devant lui.

La testostérone ça fait pas bon ménage et malheureusement pour Simon, notre crevette Brésilienne n’était pas du genre Homo, et la saveur de leur baiser, de l’étreinte du Simon n’y changeait rien.
Laoro attendait autre chose, des excuses en bonne et du forme.
Les paroles chez un hommes comptant plus que les actes, apparemment c’était écrit dans une poésie de DL quelque part ça, Laoro continuait de faire figure pâle et visage strié de nervures strictes sans siller une seule fois le regard.
Loin d’être joasse, la présence d’Aden qui se masturbait à coté ne l’avait même pas marqué, le publique qui s’était agglutiné proche de la porte, au niveaux des premiers macchabés au sol n’atteignaient ni n’ébranlaient sa putain de fierté masculine.

La cigale chantait toute la nuit, la fourmi travaillait pour savoir à quelle recette de saison il allait cuisiner le Frangipanier, aucun mood n’était le bon et la chanson, française de surcroît pour une « Laorette » qui avait vécu à Liverpool n’était pas le meilleur des choix.
Il y avait carton rouge sur tous les bords et baston sur la pelouse ! Les fanatique hurlaient au scandale en disant à l’arbitre qu’il y avait touche, là, non?!
Depuis le début notre triton en avait surtout rien à branler.
Et les froufrous de voilures pour faire un stage de chanteur, les rideaux hauts en branles en sortant les vieilles barques de navires pour créer un écrin ou le chanteur s’égosillait dans une chanson d’amour qui ne fit pas même sourciller Laoro.

Coups dur pour nos deux coeurs de la nuit, mais un mâle dominant qui venait de prendre sa vague de violence en terme de mysogénéité, de sexisme et de furie n’avait rien à faire ni à pardonner à un être aussi petit et insignifiant qu’un marin en tenu de discobole : Athènes c’est plus comme avant !
Laoro Bernardo Claudio eut la patience d’écouter jusqu’à la fin, toujours ce même visage impassible, stricte, à 3mètres au-dessus de Simon, les naseaux vibrants de violences.
Les spectateurs applaudissaient et Aden finit même par chialer de par tous les trous en gueulant que c’était le plus beau jour de se vie, et qu’il pardonnait tout, tout !
Sauf que c’était pas à Aden de se faire pardonner, c’était pas le bon publique qui avait été chauffé.

Une étoile de sadisme brilla dans l’iris de notre mâle Brésilien et sans plus attendre, l’énorme queue aux nageoires noires, pourpres et d’or balaya le sable en un vent violent avant de se saisir des bras et des mains de Simon et de le suspendre à quelques mètres de haut du sol, toujours aussi éloigné des lèvres de Laoro, qui conservait un air sévère et inassouvi, malgré un petit sourire machiavélique qui s’étendait de secondes en secondes...

Le Simon était ligoté à ses poignets, ses bras par les prolongements de l’énorme nageoire du Triton-combattant.
Le toucher en devait être assez complexe à définir mais peut-être pas inconnu pour Simon.
Il y avait ce quelque chose de désagréable comme le crampé, c’est à dire une centaine de petites dents coupantes qui lui perçaient la peau et à la façon d’une lierre, cherchant le bois pour le pourrir, le tordre et l’émietter.
Mais également la sensation de froideur et d’aqueux glissant, lubrifié qui s’écoulait lentement le long de ses poignets pour polir la peau, vernir le bois et l’user, l’user en le faisant rougir par les centaines de frottements jusqu’à la sensation de brûlure sans vraiment enflammer quoique ce soit.

La queue de poisson reluisait d’une couleur allant à un crépuscule chatoyant, le noir profond de chaque écaille pétillait d’un brillant enflammés, les écailles elles-mêmes sentaient la charogne putride et bientôt la peau de Frangipane également sentirait ce parfum exquis…
Laoro serra les dents et d’une traite s’arracha une de ses nombreuses petites nageoires caudales à trois arrêtes, le sang ne gicla pas, mais la peau et les écailles noirs sur le dos de sa queue devinrent blanc-de-peau à l’arrachement de cet appendice.

Le triton toisa d’un regard serein son morceau de nageoire noir aux trois appendices, souples d’allures et rigides tels de longs fouets noirs recouverts de deux voiles membrés glissantes…
et glissa un regard suspicieux vers le Simon menotté-encordé au bout de son énorme queue, comme si le Triton disposait de trois mains.
Son regard se faisait indubitablement moins dur, moins stricte, mais beaucoup plus langoureux, volontaire et exigent. Il avait demandé une musique et une chanson, mais le registre désiré n’en était pas dans ce « genre » de musique…

Et à en croiser le regard du géant dominant, il y avait de quoi suer glacialement.
Pesant ses mots avec une voix sombre et doucereuse, il poétisa :

« Quant on est sur le pont, celui qui chante n’est pas mort
Il a la sueur aux tempes il a la sueur aux bras
d’avoir ramé comme un bétail la nuit des passeurs
d’âme en âme il chérit le fourbe espoir en caresse
l’esprit vogue à temps réel d’illusions en détresses
dans une cabine ou demeure l’Obscure panragon

Quand on est sur le pont, celui qui chante est celui qui reste,
Le sang se glace et dans sa tête couvre le néantisme
la chair tendu devient l’objet de convoitises sans désirs
A abriter pâle ses fantasmes de guerres nihilistes
A courir toutes les chattes et chiennes en Délivrance
Le corps se tord en contorsion, quand le sang coule sur sa peau,
Quand on est sur le pont, celui qui chante est celui qui vit...
 »


L’énorme bras musclé remplit d’adrénaline se mit à reculer d’une traite, déployant la lanière d’écailles gracieuses en parfum de charogne : le prochain geste déchirerait le cuir, la chair, le bois et cela jusqu’à caresser nerfs et os si Frangi le souhaitait…
Dans tous les cas, il n’aurait jamais connu tel fouet, telle fessée et tel décalottage de chair de la part de sa femme ? Homme ? Il le méritait quoi qu’il en soit, pleinement !

De l'autre coté de la salle, ça avait grave changé en ambiance, genre on sentait l'odeur nauséeux et putride de la charogne, de la mort dégueulasse, le parfum du nénuphar noir était omniprésent.
Et il ne se trouvait nulle part! les visiteurs finirent par fuir momentanément, mais Aden fière au post, s'étant jutée dessus, les étoiles plein les yeux, commençait sérieusement à déchanter en sentant et l'aura du Simon en mode PTDR nécronomignon PLZ et l'odeur du nénuphar.
Se sachant pas trop que faire, aider son pote durant sa nuit de noce, ou fuir, c'était peut-être la seule personne encore présente et témoin des sévices sadiques qu'allait vivre son petit protégé...
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Le Trader

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MessageSujet: Re: [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora   [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora EmptyJeu 17 Fév - 17:27

- On pourra dire que je l’avais cherché…


Le pirate à la virilité retrouvée se retrouvait donc menottée et encordé, tel était pris qui avait cru prendre, quand le triton ne faisait pas de discrétion sur ce qu’il avait prévu pour son amant d’époux...ou ce qui allait en rester. Simouss, les yeux fermés, repartit dans les souvenirs de ses premières nuits dans le royaume, il pensait au fait de s’accoutumer à la douleur, aux claquements chauds des coups, aux sons et au sang qui giclaient à leurs manières. Il se rappelait des entraînements à la dure d’Akmouche, des coups qui pleuvaient entre Aloan et Stella, les brisures de ses os sous les parapluies noirs de la folie de Mademoiselle Agata...il se souvenait pas que du monde des rêves, il y avait aussi les coups et les blessures physiques et psychologiques. Son père, pas le dernier sur les tartines de bon matin, comme on disait dans les chantiers navals de Simon. Ses frères, qui pensaient bien agir en reproduisant les actions du paternel. Sa sœur, la pire, qui avait une passion pour les ongles et les doigts dans les tiroirs, comme ça, l’air de rien. Il avait croisé un VK une nuit, pouvoir des chocs...l’autre lui avait sorti, avec de se prendre un canon en pleine tête, que tous les voyageurs avaient une fracture en eux, une douleur, des fêlures irréparables qu’ils étaient, eux-seuls, capables de vaincre et d’atténuer, en devenant ce qu’ils étaient. Mais une fois refermée, la cicatrice ne peut qu’amener que d’autres cicatrices. En somme, ils étaient condamnés à souffrir. Ce royaume prenait tout son sens quand on comprenait ça, et Simon en avait fait tellement de fois l’expérience, que de supporter encore une nuit des coups pour le plaisir n’était qu’une promenade...tant qu’il serrait les dents pour saisir sa chance.


La Reine Pirate, toujours en triton, donnait dans le lyrisme le plus pur de Délivrance. Simon esquissa un sourire avant de lancer un cri étouffé. Elle était pirate depuis deux mois et elle comptait lui apprendre ce qu’était la vie sur un pont de navire ? Ce n’était pas de l’ego, mais de l’expérience, comme disait Barty. Tandis que le bras du titron d’adrénaline s’abattait encore et encore sur l’australien, celui-ci laissait le bois de sa peau s’écailler et partir en multitudes d’échardes partout dans la pièce. L’odeur de charogne était présente, ce qui signifiait que Laora perdait un peu le contrôle, et le pouvoir mystérieux d’Agata, concentré dans les nénuphars noirs de la folie, à terme pouvait aider Necronomignon à prendre ses aises dans le corps du pirate. Mais pas cette nuit. Simon avait déjà guéri de son corps de souffrance, et il savait faire abstraction de la douleur. Il savait, grâce aux nuits passées auprès de sa véritable amante de ce royaume, transformer chaque douleur en plaisir, chaque coup en orgasme, et chaque attaque en jardin hédoniste où il profitait d’être un voyageur avec ce bagage si particulier. Est-ce que son épouse pouvait soupçonner tout ça ? Peut-être, mais il fallait bien garder des cartouches pour les tirer comme il se devait.


Tout autour d’eux, le public commençait à partir, sentant que ça allait dégénérer. De toute manière, est-ce qu’un RP avec Aden pouvait rester sage et tranquille ? Impossiburu. Ca avait déjà dégénéré et Simouss ne tenait que parce que ce genre d’ambiance était quotidienne dans sa vie d’avant, depuis son plus jeune âge. Il poussait donc des cris enthousiastes et en redemandait encore et toujours plus, tandis que son sang éclaboussait les visages des spectateurs, la laine blanche des cheveux d’Aden et la queue virile de Laora – et on ne précisera pas laquelle exactement. Le pirate avait entendit le poème énoncé par sa femme, et il lui en venait un, des nuits passées au long cours, allongé sur les mailles des filets des figures de proue. Un poème qui pouvait même défier ou invoquer Ak’, ce qu’il restait d’humain en lui, avec les yeux ou les lèvres pulpeuses de Stella, et l’air fou et rêveur du chansonnier du dimanche Léo. Savourant chaque claquement sur sa peau, sur ses bois, il pensait aussi à sa vieille amie, à sa belle amante, comme un vieux souvenir. Du temps était passé depuis ses débuts en tant que flic dans le royaume, maintenant il savait non seulement endurer, mais aussi transcender la douleur et la sublimer...comme un vrai voyageur.


- L’équipage n’est pas mort
Puisque le rhum veille encore au grain
Puisque le dernier marin soupire
Endormi à la vigie, épuisé d’horizons

J’ai donné ma vie au fracas du sel
Aux ardeurs de la grand’voile
Aux ordres du capitaine éternel
J’ai laissé ma jeunesse sur les flots

Roulant de la quille jusqu’à la proue
Mes rêves furent les compagnons
Des grandes baleines, des sirènes
Des lagons d’or et des élégantes, élé-

-gantes étoiles, mes sœurs de route
Mes confidentes de voyage, reines sages
A l’écoute des bancs, des quais, verres
Et saillies des ports, laissant mon coeur

Leur parler de ma femme, future
Etoile, brillante, puissante, un soleil
Presque mon univers tout entier, ô
Elle, cet être né de mon amour et de la vie

Elle, éloignée de la mort en poche
Traversant mes veines à pas énormes
Géante dans mes hémisphères, petite
Si fragile si un jour dans le bal, oui,

Je danserai avec elle la renaissance

De notre équipage et du plus beau des navires
Mon coeur, son coeur, nos voiles, notre coque
Lancée à pleine vitesse sur la cime des choses
Jadis si graves et si lourdes, si importantes

Qui ne sont rien, qui n’ont jamais été
Aussi belles et fortes que son âme dans mon âme
Ses yeux bleus dans les miens et, il faut
Le dire, c’est Elle, mon Dernier Navire

Mon bel équipage, les voiles sont ses cheveux
Mes meilleurs pirates ont ses bras, ont ses jambes
Les mâts ouvrent sa puissance et son énergie folle
Mon gouvernail conduit par son cœur de rêverie

Toi mon Rêve, toi ma Nuit, mon Ultime
Navire entre toutes les embarcations des mondes
Toi, ma Femme, Toi, ma Laora, si tu es là
C’est que mon équipage ne peut pas mourir



Simon finit sa réponse en poème, les larmes aux yeux, buvant son propre sang et sentant ses chairs entredéchirées lui hurler d’arrêter. Puis, il sortit un énorme pavois de son corps et l’envoya droit vers Laoro del Fuego y Fouetto, direction l’entrejambe. Il envoya le pavois, côté tranchant, cisailler les parties viriles, qui généralement se baladent par paire chez les furets pas sages et chez les masculinistes que Simouss détestait cordialement. Il était temps que Laoro retrouve sa place, non pas à la KOUISINE, mais dans le coeur de son époux, dans le lit de leur foyer, et dans son corps à elle, son corps et son coeur d’adrénaline enflamés. Simon pensait avoir fait une bonne diversion avec son poème, si bien qu’il tentait la coupure nette et légèremment arhumatisée au niveau des bourses, tout en gueulant une phrase si chère à Aden...


- QUE LE GRAND COUIC ME CROQUE !


Et que les maracas retournent à l’orchestre, bon sang.
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