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 [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora

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Le Trader

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MessageSujet: Re: [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora   [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora - Page 3 EmptyMar 19 Avr - 11:18

Ca allait bientôt passer en crypté, non ?

La bouche de Simon se faisait grandes marées, vagues léchant les murailles de Saint-Malo, qu’importait où se trouvait cette foutue ville ! Vague après vague, le marin donnait des coups de langues à en faire défaillir des marchands de glaces, surtout que là, les boules étaient présentement les BrézilaBoobs, qui se faisaient aborder piratement encore plus sauvagement que dans Odyssey. Le capitaine comptait bien jusqu’à 60, mais pas pour inverser les rôles. Non il faisait ça comme à Délivrance : affoler jusqu’à ne plus savoir où se trouve la poupe, la proue, les cales et les voiles. Faire que son amante se perde elle-même dans de savants calculs pour mieux...la saisir, lui agripper les doigts, mains dans les mains, voguant ainsi vers un même horizon...mouillé…

Le pirate explorait la carte de sa femme en faisant mille détours, mais sans en faire non plus énormément, de manière à l’égarer elle-même sur ses propres terres. Il léchait les collines, les creux, le trou de trésor et il finit dans la crique de son sexe, sa féminine lagune, et sa tête resta au mouillage pour parcourir de sa langue et de ses doigts chaque aspérité, et les grottes qui se présentaient presque d’elles-mêmes à lui, surtout celle qui pulsait au rythme du coeur laoresque, qui lâchaient de l’écume comme une marée inversée, et qui l’appelaient, comme une petite voix, une pulsation secrète et intime, celle des époux, d’une langue et des roches qui se laissaient embrasser, qui s’embrasaient et qui laissaient des flammes liquides, transparentes, sirupeuses sur les lèvres du Frangi, qui faisaient briller ses poils de moustache, de barbe. Le rhum de la passion, comme on disait à Délivrance, et du meilleur cru, celui de l’amour et du désir, de l’affolement des sens au plaisir de donner, de recevoir, d’aborder ou de saborder, puisque le capitaine-princesse avait déjà la tête au fond de l’antre-cuisse de sa femme et sabordait tout à l’intérieur, pour qu’elle coule dans ses eaux, pour qu’elle le rejoigne et que leurs plaisirs se mêlent, alors que la tempête s’avançait.

Et puis, Simon hissa les couleurs. Oh, pas comme on pouvait prendre la chose, et je parle bien sûr en crypté. Non, le lit à baldaquin était de sa création, il l’avait volé à un noble proche de Daoloth, le Seigneur du Vide. Le lit, une fois dedans, pouvait mettre les amants à la verticale, à l’horizontale, en diagonale, n’importe comment – il restait toujours pour les amoureux cette sensation d’allongement, d’être alanguis, allongés, tournant dans tous les sens et laissant une possibilité de mouvements et de positions infinie et savoureuse. Simon hissa le rouge pourpre de son lit de capitaine et continua sa grande marée linguistique entre les jambes de sa femme, tandis qu’elle était au-dessus de lui, debout, à quatre pattes et lui derrière, et il l’abordait de toutes les manières, léchant comme s’il explorait son corps pour la première fois, les zones les plus recalées, les cavernes les plus interdites, sa langue et ses doigts jouant de concert, comme un navire bien guidé, manoeuvré par quelqu’un qui connaît et qui sait écouter le vent des gémissements et qui prend les courants comme des cascades, les geysers d’amour comme des excursions, des escales, pour mieux replonger. Et puis 60 secondes...tout dépendait de comment le temps s’écoulait, car son lit à baldaquin avait ce luxe de suspendre le temps et de passer au-delà des minutes ou des heures.

Simon cependant était peut-être un pirate-capitaine-barbu-princesse, il n’en était pas moins qu’un homme. A force d’hisser les couleurs, le grand mât prenait de plus en plus de place et dans le lit de folie qui donnait toute longitude et latitude à Laora, cette dernière pouvait maintenant connaître la carte de son homme, du moins l’explorer à son tour. Car, il était complètement offert, ouvert et disponible, sa peau se mêlait de pourpres d’envie et de boiseries diverses, son corps-bateau dressait le grand mat et c’était le branle-bas de combat un peu partout. Le ruisselement des écoutilles avait commencé et les voiles gonflaient ce qui devait rester gonflé, prêt à l’emploi. Le gouvernail du capitaine était offert à tous les délices de sa femme, de la manière qu’elle le voudrait. Et peut-être qu’il indiquerait l’emplacement du trésor sur une île isolée, et peut-être bien que les deux cartes pouvaient se complèter pour atteindre une nouvelle mer, secrète, déjà explorée mais encore inconnue...tout était possible, c’était ça, voguer vers la Délivrance...
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Røgette
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Røgette


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MessageSujet: Re: [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora   [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora - Page 3 EmptyMar 19 Avr - 20:29

[DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora - Page 3 0wcu

Pour une demoiselle qui se perd même dans trois centimètres d’eau, forcément qu’essayer de lui faire perdre la tête, l’esprit, le lieu, la notion du temps et qu’elle se perde elle-même n’était pas quelque chose de difficile.
On pourrait avouer ce qu’on voudrait sur The Laorette la Fucking Duracell qui n’arrête jamais de penser, songer, rêver, calculer, réfléchir et optimiser ce qui se passe dans son environnement aussi fragile que ses émotions, il n’en est pas moins qu’en ce moment elle se perdait… encore…

Et encore, sous les brûlures de sa peau en émulsion des effleurements subtiles et brutes.
Des expirations brûlantes et tièdes de son amant sur ses cuisses et son sexe gorgée de désire ou sa peau en devenait rougies par la pression sanguine.
Des coups de langues ravies, ardentes, précises arborant la peau de la terre Duracell de teintes parfois bleutés, blanches telles les couleurs festives d’une boule de disco roulante sous sa peau satinée.

La tête relevée un peu en arrière, ou en avant, ou qu’importe le sens de ce putain de lit de ces morts qui semblaient les envoyer en l’air et en diagonale sans qu’on ait vraiment eut à lui dire quoi que ce soit.
Laora yeux grands ouverts dans la montagne Russe de la passion aurait pu en gerber, mais au contraire, tant de sensations différentes et de pratiques sur un sujet aussi vaste qu’elle en était inexpérimentée, la ravissait.
Entre gémissements d’orgasmes et cris brûlants s’étouffant dans sa gorge, elle essayait de camoufler sa limite à supporter autant de bien-être que d’Amour en si peu de temps.

Il avait sous ses yeux les poitrines fermement et fièrement érigées en son honneur vers le plafond noir d’étoiles salines, mais également quelques ravissements d’expirations authentiques à celles qui ne veulent pas se laisser faire, qui ne connaissent pas le lâcher prise dû aux nuits de folles enlaçades. Un jeu qui pourrait autant le faire frissonner de challenge que d’y retourner avec plus d’ardeurs ferait de lui certainement un forceur.
C’était sans compter leurs encres lié dans leurs peaux qui s’embrasait à chaque millième de secondes, le challenge était doublé de sarcasme, d’union heureux dans un jeu de limites où justement, Laora cherchait à les reconnaître et à s’en défaire sur ce chemin de la sensualité érotique.

Ses doigts aux ongles limés se crispaient de délices autours de ceux de son Epoux et seuls les murmures à peine prononcés, au silence uniquement lisible à la prune de ses lèvres déchiffraient les palabres « d’Encores … S’il vous plais, Encore » sans autant en être audible.
Subtilement, le marquage noir pulsait cette mélodie par une nette montée d’adrénaline à en rendre fou l’Homme qui la targuait avec cette langue si finement bien taillée pour ces expéditions délicieuses.
Quant aux expériences de positions multiples, folles et variées comme les envies peu chastes de notre Pile de compétitivité, Laora avait l’impression d’être dans les montagnes-Russes de son sexe fragile aux complexités érotiques aussi variés que le champs lexicale de la marine en temps d’écriture poético-érotisées.

Rouvrant de délice, ses iris turquoises aux constellations de surprises, elle ne put réprimer un énième cri étouffé en resserrant ses doigts entre ceux de son amant, lit à la semi verticale ? Verticale ?
Elle plissait les iris en pensant qu’il y avait tricherie ! Piraterie ! C’était quoi ce lit du Diable ?
Elle déglutissait en voyant leur position et profita d’un mouvement de rotation léger du lit, sourire sournois sur la commissure de ses lèvres, pour utiliser sa divine compétence d’Adrénaline pour sortir le Pirate embusqué dans sa grotte ruisselante.

Déjà, en tirant légèrement vers les cheveux qu’elle avait agrippé, tiraillés, malmenés, ébouriffés et maintenant qu’elle baladait non sans méchanceté, rajustant sa prise par une longue caresse en convenance sur la tête, avant de l’y déloger en prenant toute la touffe entière et ne pas risquer un cheveux arraché.
Armé d’un sourire mi mou mi dur, lubrique mais loin d’être encore éteint par le plaisir, animé par le plaisir de conquérir elle-aussi son mari de bout en bout et pas sur un putain de lit comme ils l’ont fait plusieurs mois et années durant dans leur vie à deux.
Sa jambe remontait délicatement sous la barbe du pirate, allant même chercher la bouche pour lui en faire mouiller son galbe d’or.
Elle en profita pour y poser ses orteilles et son pied sur son torse et de le pousser-l'éjecter du lit… Sans ménagement et sans quartier.

Elle poussa un énorme soupire de bien être en ressentant son corps entier drogué à la caresse humide, avant de se dépêcher de sortir de ce putain de matelas rouge de ces morts pour sauter et marcher jusqu’au-dessus de Frangi dans une position dominante, pieds de chaque coté de sa tête, Caverne aux trésors humides sous les yeux du beau-brun.
Mains sur les hanches, elle le targua d’un petit sourire, mi- ravi et à moitié attendrie, aux idées pervertis par les milliers de questionnements du « et putain je fais quoi là maintenant moi ? »

Avec toute la volonté du monde elle esquissa et feinta un soupire de questionnement en un léger sifflement d’orgueil, ce genre de sifflement qu’on entonne lorsque l’on a envie de pousser la chansonnette au moment d’étriper quelqu’un ou de mettre très cher à une personne qui nous a fait une crasse. Les mains toujours sur les hanches, balayant la vigie de son regard de braise, elle trouva son idée et elle en conserva l’adrénaline sur son derme si fin et si léger que sa peau laissait entrevoir quelques couleurs de son corps comme une boule à facette.

Faisant un pas de côté, lorgnant limite son époux en continuant de siffloter joyeusement, elle traversa de quelques pas la pièce en observant les cartes moites et chiffonnées sur la table, non sans lâcher un rire franc, et de s’adosser contre l’une des poutres traversant le plafond jusqu’au sol.

Volontairement elle continua de siffler une chanson cette fois d’une manière mélodieuse et enjouée, en montant telle une danseuse de danse-sensuelle, ses deux mains le long de la poutre et en jouant de manière subtile avec ses hanches, ses Brésilaboobs, son bassin, son Brésilovass et ses jambes finement étirées pour attirer le marin à elle.
L’opération était capillotractée et osée, de ce fait, elle fit même l’improvisation de talonner la poutre et de danser autours, un peu comme un Pole-Danse à fleur de peau, à fleur de charpente, à fleur de Frangipane.
En faisant bien attention d’effleurer, caresser et promener parfois ses lèvres et ses crocs sur le bois.
Quand on sait que chaque partie du navire est également un organe de son mari, on essaie de faire classe sans être vulgaire.

Elle se promenait donc ainsi, sur la pointe de ses pieds légers, en frottant, effleurant et caressant la boiserie avec plusieurs éléments de son corps, dont elle savourait les effets sur sa peau basanée.
Parfois son corps retenu d’une main et de ses doigts agiles sur la poutre, se laissait griser par une ronde dansante autours de la barre en bois, mais quoi qu’il en était, elle essayait toujours de chercher le regard de son mari de façon à le faire venir à elle… et peut-être bientôt en elle… ? Qui sait ?

(Toujours était-il qu’elle avait terminé son petit show de jeu allant à la sensualité quand il arriva, Normalement vers elle, pour se replacer les poignets au-dessus de sa crinière noire, une jambe devant… Prête à le retourner contre la poutre pour prendre possession de sa bouche et de son corps d’une manière aussi violente et passionnées que chaque coups de langue et chaque regard passionnés qu’il lui envoyait.)
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Le Trader

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MessageSujet: Re: [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora   [DL]Nuit de Noces Chasseresse -Simon-Laora - Page 3 EmptyMer 20 Avr - 20:44

Le pirate savait très bien que le Lit du Vide, et ses draps pourpres, pouvaient destabiliser. Toujours allongée, toujours ouverte, mais circulant comme en pesanteur dans le vide, ou le trop-plein, on perdait ses repères, les sens s’affolaient et il pouvait y avoir...des surprises dignes des plus grands nobles d’un grand royaume comme celui du Seigneur Daoloth. Le luxe, en tant que voyageur, c’était de goûter aux plaisirs des immortels, des tout-puissants, sur des choses aussi insignifiantes qu’un lit sans pesanteur, avec ses particularités et ses surprises...et le bateau que formait son corps, ou bien l’inverse, le corps que formait ce bateau...tout ce qui était lui en éait rempli, de surprises, de particularités, mais aussi de souvenirs. Des vols, des abordages, des réceptions finissant en générale...tout était nimbé du parfum arhumatisé de la piraterie.

Laora sa femme n’était pas en reste et réagissait comme une vraie pirate. Toujours dans le mouvement, toujours là où on ne s’y attendait pas aussi. Elle le repoussait, l’éjectait hors du lit, en le nargant presque, en le provoquant clairement, et en allant jouer avec une poutre de bois comme s’il s’agissait d’une barre de pole dance...ou d’une barre présente quelque part dans le corps du marin, mais où ? Tandis qu’elle sifflotait, tandis qu’elle minaudait et cherchait toujours plus d’intensité, Simon prit un malin plaisir à disparaître dans le bois, faire apparaître parfois son visage, son corps, à différents endroits de la cabine, déjà pour la voir sous toutes les coutures, sous tous les angles, mais aussi...pour garder de l’effet de surprise. Il sentait le tatouage gavé à l’adrénaline et au désir, à la volonté de fusion, d’union totale de la voyageuse, volonté qu’il ressentait aussi, en lui et dans leur tatouage, qui communiait déjà pour eux.

Le pirate sentait cependant sa peau se faire caresser, le bois répondait aux appels charnels de la brésilienne, et le navire tout entier semblait frémir et trembler d’excitation et de toutes ces choses que Frangi avait peine à retenir...Le pirate disparaissait dans le bois mais ne quittait jamais sa moitié du regard, ou bien il faisait en sorte de la guider, ou de la retrouver, de surgir ou de faire comme s’il était en train de la contempler, chatte lascive, tigresse passionnée, panthère accrochée à son arbre de bateau, à sa branche, à ses branches, autant qu’il le pouvait, le bois étant de plus en plus gonflé. Puis, sortant du bois comme un loup aux abois, il apparût au-dessus d’elle, la prit par les poignets et laissa le reste de son corps apparaître et se coller à elle. Toujours avec ses mains gardant ses poignets, il la colla contre lui, tandis que le bois laissait la place à de la chair. Puis il disparut. Retenta la scène, cette fois en apparaissant à mi-hauteur de Laora, en lui prenant des mains ses hanches. Il laissa glisser sa langue dans son dos arqué et disparut de nouveau. Puis ce fut juste à ses pieds, il caressa ses chevilles, ses tibias, jusqu’à remonter aux cuisses, et il s’arrêta à l’estuaire de sa féminité, comme un port sacré, une rade interdite. Il disparut de nouveau, mais cette fois son corps n’avait pas encore pris l’allure du bois que les premiers bouts de doigt touchaient l’épaule de la brésilienne, et il la plaqua fort contre la poutre, qui se trémoussait, et pas à cause du roulis…


Laora prit possession de sa bouche et d’une partie de son corps, elle avait l’avantage de la rapidité. Les doigts du capitaine s’égarèrent dans la chevelure brune et bouclée de sa femme, ses yeux dans les deux océans laoriens, leurs corps collés l’un contre l’autre, il la plaqua de nouveau en lui mordant les lèvres, en captant des siennes les mamelons qui pointaient vers le ciel comme par défi. Puis il la retourna et fit ça à la manière de Délivrance, à l’abordage de son corps, comme une prise pirate ou une attaque de vaisseau...et quel vaisseau...tête contre tête, il prit ses mains dans les siennes et s’accrochèrent ensemble autour de la poutre, tandis que son bassin commençait à aller et venir comme un ressac entraînant, en elle et sur elle, tout autour d’elle. Il plongea dans son cou pour l’embrasser et le mordre, lui faire pencher la tête en arrière, et tout le navire se met à vibrer, le bois mollissait et durcissait, et de grandes gerbes d’eau salée blanche se mirent à suinter des poutres, toutes apparentes évidemment.

C’était peut-être le moment de rappeler que Frangi aurait pu être ce voyageur de la précocité. Ou pas ?
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